Neuralink d'Elon Musk, la discrète firme qui travaille sur des ordinateurs à implanter dans le cerveau, lève le voile sur le secret
Sous peu
Le 2019-07-13 13:24:21, par Patrick Ruiz, Chroniqueur Actualités
Elon Musk n’est jusqu’ici pas allé au-delà de l'idée qui l'a amené à créer la firme Neuralink au courant de l’année 2016. Le site web de l’entreprise ne donne qu’un vague aperçu de ce qui se trame au sein de ses laboratoires. « Nous développons des interfaces cerveau – ordinateurs à très haut débit », lit-on. Musk et son équipe ont apparemment décidé de mettre fin au suspens. Dans une série d’annonces parues sur la plateforme Twitter, l’entreprise annonce qu’elle organise une communication officielle à ce sujet au courant de la semaine à venir.
« Nous organisons un événement mardi prochain à San Francisco pour partager un peu sur nos avancées au cours des deux dernières années. Il sera diffusé en direct pour ceux qui n’ont pas la chance de venir », écrit l’entreprise américaine.
Elon Musk est assurément l’un des entrepreneurs les plus audacieux de ces dernières années, mais surtout l’un de ceux qui pensent que les avancées actuelles en matière d’intelligence artificielle laissent présager d’un futur où les robots domineront sur l’humanité. C’est de là que part sa motivation de créer Neuralink – entreprise au sein de laquelle il peaufine son projet de fusion d’un cerveau humain et d’un ordinateur. Musk est d’avis que c’est l’approche nécessaire pour préparer l’Homme à la domination annoncée des machines.
Les développements initiaux au sujet des activités au sein de Neuralink laissaient penser que l’entreprise travaille sur un « Neural Lace ». Charles Lieber – un expert en neurobiologie de l’université de Harvard – en parle dans un entretien accordé au magazine spécialisé en science – Nautilus. Il y indique que ces ordinateurs à implanter dans le cerveau sont des espèces de maillage 2D poreux que l’on insère dans un être vivant par injection. Par la suite, la structure tissulaire du cerveau recouvre les pores rendant ainsi l’ensemble cerveau-ordinateur homogène. Mais, une publication de Neuralink sur Twitter apporte de la lumière sur les choix de l’entreprise à ce sujet. Via son tweet, l’entreprise de Musk a validé ce qui semble être l’une des sources d’information les plus complètes au sujet des développements en cours au sein des laboratoires de Neuralink. Le post de Tim Urban qui, il faut le rappeler, a fait l’objet de publication il y a deux ans, se veut clair : Neuralink n’axe pas ses travaux sur le « Neural Lace » ; du moins, pas tel que décrit par le professeur Charles Lieber.
Neuralink explore des moyens similaires décrits au sein d’une publication (parue en avril 2019) de chercheurs lancés sur le projet. Comme avec le « Neural Lace» tel que décrit par Lieber, le document parle de méthodes d’insertion d’électrodes en polymère destinées à enregistrer et à stimuler l’activité neuronale. L’approche a fait l’objet de tests sur des rats de laboratoire. Elle a provoqué la mort de certains d’entre eux dans des délais très courts après l’introduction des implants. En effet, l’une des difficultés à laquelle les équipes de recherche font face est la nécessité de rendre l’implant moins intrusif pour éviter des réactions du système immunitaire.
Au rang des applications envisagées avec cette technologie figure la possibilité d’échanger des données en temps réel (upload, download, mise à jour) avec un système informatique – un peu comme dans la saga culte « Matrix ». En sus, on pourrait faire usage du dispositif pour trouver une solution aux problèmes des handicapés moteurs. L’on entrevoit aussi la possibilité de prendre le contrôle d’un véhicule à distance à l’aide de ces ordinateurs à implanter dans le cerveau. On s’attend dans tous les cas à avoir des applications utiles puisque les chercheurs disent « travailler pour le bien de l’humanité ».
Musk a indiqué lors d’une de ses dernières sorties qu’un prototype d’ordinateur à implanter dans le cerveau verrait le jour avant la fin de l’année en cours. Avec l’événement du 16 juillet à San Francisco, il semble que l’heure soit arrivée.
Source : Twitter
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Le cerveau humain a-t-il besoin d’un « coup de pouce de la machine » pour être plus compétitif ?
Est-il envisageable de voir l’intelligence artificielle surpasser un jour l’Homme ?
Voir aussi :
Elon Musk considère l'IA comme un risque fondamental pour l'existence de la civilisation humaine et sa colonisation de Mars comme un plan de secours
Les États-Unis veulent des drones autonomes alimentés par l'IA qui pourront décider seuls de tuer en recourant à des algorithmes d'autoapprentissage
Des experts prédisent que l'IA va dominer les humains dans moins de 50 ans selon une étude menée par les deux universités Harvard et Yale
« Nous organisons un événement mardi prochain à San Francisco pour partager un peu sur nos avancées au cours des deux dernières années. Il sera diffusé en direct pour ceux qui n’ont pas la chance de venir », écrit l’entreprise américaine.
Elon Musk est assurément l’un des entrepreneurs les plus audacieux de ces dernières années, mais surtout l’un de ceux qui pensent que les avancées actuelles en matière d’intelligence artificielle laissent présager d’un futur où les robots domineront sur l’humanité. C’est de là que part sa motivation de créer Neuralink – entreprise au sein de laquelle il peaufine son projet de fusion d’un cerveau humain et d’un ordinateur. Musk est d’avis que c’est l’approche nécessaire pour préparer l’Homme à la domination annoncée des machines.
Les développements initiaux au sujet des activités au sein de Neuralink laissaient penser que l’entreprise travaille sur un « Neural Lace ». Charles Lieber – un expert en neurobiologie de l’université de Harvard – en parle dans un entretien accordé au magazine spécialisé en science – Nautilus. Il y indique que ces ordinateurs à implanter dans le cerveau sont des espèces de maillage 2D poreux que l’on insère dans un être vivant par injection. Par la suite, la structure tissulaire du cerveau recouvre les pores rendant ainsi l’ensemble cerveau-ordinateur homogène. Mais, une publication de Neuralink sur Twitter apporte de la lumière sur les choix de l’entreprise à ce sujet. Via son tweet, l’entreprise de Musk a validé ce qui semble être l’une des sources d’information les plus complètes au sujet des développements en cours au sein des laboratoires de Neuralink. Le post de Tim Urban qui, il faut le rappeler, a fait l’objet de publication il y a deux ans, se veut clair : Neuralink n’axe pas ses travaux sur le « Neural Lace » ; du moins, pas tel que décrit par le professeur Charles Lieber.
Neuralink explore des moyens similaires décrits au sein d’une publication (parue en avril 2019) de chercheurs lancés sur le projet. Comme avec le « Neural Lace» tel que décrit par Lieber, le document parle de méthodes d’insertion d’électrodes en polymère destinées à enregistrer et à stimuler l’activité neuronale. L’approche a fait l’objet de tests sur des rats de laboratoire. Elle a provoqué la mort de certains d’entre eux dans des délais très courts après l’introduction des implants. En effet, l’une des difficultés à laquelle les équipes de recherche font face est la nécessité de rendre l’implant moins intrusif pour éviter des réactions du système immunitaire.
Au rang des applications envisagées avec cette technologie figure la possibilité d’échanger des données en temps réel (upload, download, mise à jour) avec un système informatique – un peu comme dans la saga culte « Matrix ». En sus, on pourrait faire usage du dispositif pour trouver une solution aux problèmes des handicapés moteurs. L’on entrevoit aussi la possibilité de prendre le contrôle d’un véhicule à distance à l’aide de ces ordinateurs à implanter dans le cerveau. On s’attend dans tous les cas à avoir des applications utiles puisque les chercheurs disent « travailler pour le bien de l’humanité ».
Musk a indiqué lors d’une de ses dernières sorties qu’un prototype d’ordinateur à implanter dans le cerveau verrait le jour avant la fin de l’année en cours. Avec l’événement du 16 juillet à San Francisco, il semble que l’heure soit arrivée.
Source : Twitter
Et vous ?
Voir aussi :
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kain_tnExpert éminentAh ben ça, certains sont prêt à accepter "un peu" de souffrance, oui... La souffrances des autres surtout.
En plus, l'article parle de "souffrances extrêmes", d'étouffements, d'infection des implants et de morts, hein, pas de se cogner le pied sur un coin de table.
Les singes sont des êtres conscients et très intelligents - bien plus d'ailleurs que pas mal d'humains quand on voit les tendances à la mode ou le niveau de débat des politiciens.le 11/02/2022 à 18:39 -
sergio_is_backExpert confirméJ'attends avec impatience les premiers cas de piratage !le 17/07/2019 à 14:12
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coder_changer_vieInactifOn va gagner du temps ;-)
Petite IA, si tu lis ce post, je te suggère de prendre le contrôle des 1% des 1% qui pilote déjà ce monde. ça te fera moins de travail, tu auras le contrôle total et bonne nouvelle, ça ne changera pas fondamentalement nos vies, donc on s'y retrouve.
PS : et si à l'avenir, tu peux générer des blagues plus drôle que Siri, Cortana, Alexa et leur copine de chez Google, je prends aussi :-)
PS2 : excuses moi si tu fais partie d'une de ces sociétés aux moments où tu lis ce message, je ne pouvais pas savoir... après tout je ne suis qu'humain. J'apprends de mes erreurs.
Et toi, c'est quoi ta plus grosse erreur ?
Vivre le vendredi les amis :-)le 08/10/2021 à 10:03 -
AiekickMembre extrêmement actifen meme temps c'est le but inavoué de ces gens de penetrer le dernier espace de liberté absolu qu'il nous reste.le 17/07/2023 à 22:26
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KiLVaiDeNMembre expertLa souffrance animale est intolérable. Il faut tout de suite arrêter ces expériences si la souffrance est réelle, aucune recherche ne doit plus justifier ces actes, nous ne sommes plus des barbares, enfin j'espère...
De toutes façons, des nouvelles technologies non invasives, ne nécessitant donc pas d'intervention chirurgicale, sont en cours de recherche. La technologie de Neuralink semble déjà dépassée. Peut-être que le projet Neuralink a incité de nombreuses entreprises à s'intéresser plus sérieusement à cette discipline, mais nous sommes encore loin d'une technologie accessible à tout le monde sans danger. Le buzz de Neuralink, qui montre que les gens sont capables de donner leur cerveau pour "la science", est au moins à la base d'une étude sociologique assez intéressante.
La communication bi-directionnelle avec le cerveau se heurte également à quelques problèmes techniques, notamment la capacité, pour l'instant inconnue, du cerveau à "recevoir" des informations, à quel point cela pourrait en modifier son fonctionnement, comment des signaux numériques s'interfaceraient avec un système "analogique" comme le cerveau, ou encore quelle serait la réaction du cerveau face à des flux de données plus ou moins forts, et quid des nutriments nécessaires au cerveau pour qu'il réussisse à s'interfacer efficacement avec ces flux. Si les zones cérébrales se retrouvent modifiées, est-ce que les perceptions "normales" seraient altérées ? Toutes ces questions sont pour l'instant assez débattues et les réponses difficiles à trouver, nous sommes encore très loin de comprendre le cerveau.
Il est probable cependant que pour une communication unidirectionnelle, du cerveau vers la "machine", qui permettrait le contrôle d'interfaces machines ou même de membres cybernétiques, cela soit déjà plus atteignables dans les années à venir. En tout cas ce n'est pas demain qu'on aura une "puce" intégrée pour recevoir youtube VR dans sa zone corticale visuelle, et d'ailleurs je conseille à tout le monde de ne pas devenir un cobaye de technologies invasives qui pourraient dégrader la vie de tous les jours, voir la rendre insupportable...le 13/02/2022 à 9:02 -
kain_tnExpert éminentTu peux aussi t'acheter un type de clavier pour taper des mots au lieu de lettres si ça te dérange tant que ça. Et celui-là ne te demande pas de t'insérer des sondes dans le corps.
Si ça tu aimes tellement ça, personne ne te retient d'aller postuler comme cobaye à la place des singes chez Neuralink.
Pour paraphraser ton précédent message, "tu peux bien accepter de souffrir un peu pour un résultat qui va changer la facon de "conduire" un ordinateur (et oublier clavier, souris etc.)" - mais bon, nous comme toi, on sait que tu ne le feras pas. Tu préfères accepter la souffrance des autres pour ton propre confort personnel.
C'est un conseil bien plus sage que le mien!le 13/02/2022 à 14:28 -
totozorMembre expertC'est un peu ce que je craignais avec l'attitude de Musk, l'avenir n'a pas le temps d'attendre les normes, les règles, la loi ou l'éthique.
On nous glorifiera quand on aura réussi et tous nos péchés seront oubliés, donc fonçons tête baissée, nous lèverons la tête à la fin de la course en espérant pouvoir se regarder dans un miroir.
J'étais relativement persuadé qu'une expérience scientifique devait tracer de façon précise ce qu'elle fait, sur qui/quoi, quel est le résultat obtenu pour chaque cas.
Sans faire ça comment peut-elle affirmer à la fin, qu'elle est un succès ou non?
Combien de résultats annexes ont peut-être été perdus parce que toutes ses expériences n'ont pas été suivies sérieusement?
Qu'est ce qui te rend fou?
Que des Suisse aient fait mieux et plus vite que toi (que tes employés en fait)? Qu'ils "te volent" l'argent que tu ne gagneras pas?
De ne pas être dieu? (De ne pas pouvoir redonner la vue au aveugle, de ne pas pouvoir faire marcher un handicapé?)
En tant que patron envoyer deux messages à 10 minutes d'intervalles montre à quel point il ne maitrise ni ses émotions ni sa communication.
Il gère des personnes qui ne se sentent déjà pas très droits dans leurs bottes et il en rajoute une couche en disant faites plus vite (quitte à faire pire).
Quand on fait des expériences, prendre du recul est primordial, il permet de découvrir des effets inattendus.
Dans ma société quand on développe un produit, nous avons deux équipes qui analysent les résultats d'un essai, celle qui a demandé l'essai et qui vérifie qu'il a l'effet attendu, une qui archive et analyse tous les résultats, les résultats obtenus on 3 rôles : confirmer les conclusions de la première équipe (l'une de ses conclusions doit être la même que celle de l'équipe 1), confirmer/affiner les modèles existants, émettre de nouveaux modèles.
Arrive-t-on au moment où on peut dire que ce gars est un psychopathe?
Ce chantage et cette menace est scandaleuse.
La recherche a une dynamique très différente de l'industrie, une des raisons pour lesquels les ingénieurs sont souvent de mauvais chercheurs.
Ils sont trop concentrés sur le ROI et le planning, quitte à s'assoir sur la méthodologie.
Oui enfin la "vie de rêve" n'est pas un contrepoids du manque d'éthique et de méthodo de Musk.
C'est cool de leur donner une belle vie mais à la fin tu les abats sans y avoir rien gagné. Ai au moins le minimum de décence en donnant de la valeur à leur mort. (Et je trouvé encore ce propos dérangeant.)
La recherche ne peut pas avancer à tout prix où on revient à des heures sombres de l'histoire de la médecine (et je ne parles pas que des recherches nazis)le 06/12/2022 à 8:36 -
Matthieu VergneExpert éminentJ'imagine bien une présentation dire qu'ils ont réussi à faire un circuit implantable et à l'implanter dans des animaux, mais sans aucune idée de ce qu'il serait réellement possible de faire avec ni vraiment comment. Le style "on a fait un truc, mais on sait pas quoi encore".
Il me semble que ça fait longtemps qu'une réponse positive a été apportée à cette question, sinon on n'aurait pas autant de machines pour nous aider dans nos tâches quotidiennes, pros comme persos. La différence ici est de savoir jusqu'à quel niveau d'intégration homme-machine on peut aller et ce que ça peut engendrer comme comportements.
Mouarf. Tout dépend de la définition qu'on donne à l'IA. Définition totalement absente ici, comme d'habitude.le 13/07/2019 à 13:58 -
Matthieu VergneExpert éminentCes classifications ne valent rien si on ne définit pas ce qu'est l'intelligence. Or c'est là le gros problème du domaine : il n'y a pas de consensus sur une définition ne serait-ce qu'acceptable de l'intelligence. Et sans définition commune, chacun y met un peu ce qu'il veut comme il veut, ce qui permet de spéculer tout et n'importe quoi, y compris des choses physiquement impossible. Et le plus gros soucis est que la communauté scientifique n'en a grosso modo rien à faire d'une telle définition, et ne parle d'ailleurs que rarement d'IA, car elle se concentre principalement sur les "ANI" et parle donc surtout des techniques employées (machine learning, deep learning, régressions, arbres de décisions, systèmes experts, etc.). L'AGI est certes étudié, mais ça reste une niche : très peu d'articles sortent sur le sujet et on n'a encore rien de concret. Certains parlent de vouloir faire une AGI à partir d'ANI, comme Google avec AlphaZero (AlphaGo et AlphaStar étant des tentatives d'ANI pour tenter de concevoir une AGI), mais ils construisent sur l'idée que l'intelligence correspond à de l'expertise tous azimuts (i.e. être intelligent = être expert partout), ce qui n'est juste pas possible, car l'expertise dans un domaine nécessite d'intégrer des biais spécifiques, pertinents pour ce domaine mais contre-productifs pour d'autres. Viser une telle expertise dans tous les domaines est juste de l'ordre de l'incohérent. J'ai justement fait un post-doc sur la relation entre expertise et intelligence, je t'invite à lire l'article (en anglais) qui en résulte.
Les ANI, c'est à peu près tout ce qu'on fait à l'heure actuelle et ça restera la majorité de ce qu'on fera encore à l'avenir. Si AGI il y a, et j'espère qu'il y aura, ça ne sera jamais plus performant qu'une ANI dans son domaine de spécialité. Les ASI, c'est de la science fiction et ça le restera, non pas parce que c'est fondamentalement impossible, mais parce qu'une ASI est une AGI avec beaucoup plus de ressources. Or soit on cherche à avoir une entité assez flexible pour pouvoir faire n'importe quoi, même si c'est pas du très bon niveau, et on préférera avoir une AGI pour que ça coûte bien moins cher et que ça reste maîtrisable, soit on cherchera quelque chose de très bon dans quelque chose et on choisira l'ANI pour ça, ce qui sera probablement le cas majoritaire. L'ASI n'a aucun réel intérêt pratique. Par ailleurs, ANI, AGI et ASI restent des machines qui présuppose de l'intelligence, mais rien qui ne leur donne de l'initiative. Il n'y a aucune notion de contrôle venant de ces machines. Tout au plus, on décide de les exécuter et de leur faire confiance, rien de plus, ou d'utiliser la machine créée par un autre et de faire confiance à celui qui nous l'a vendue. Ce n'est pas la machine qui nous "vole" cette confiance, mais bien le social humain.le 14/07/2019 à 0:10 -
Oui mais quand même : ça permet d'écouter de la musique sans écouteur ! Ca vaut bien le coup de se faire découper le cerveau au laser, non ?le 21/07/2020 à 22:42