Sundar Pichai, CEO de Google, annonce l'intégration de l'intelligence artificielle conversationnelle à son moteur de recherches
En réponse au succès de ChatGPT d'OpenAI financé par Microsoft
Le 2023-04-07 09:27:40, par Patrick Ruiz, Chroniqueur Actualités
Google annonce l’intégration de l’IA conversationnelle à son moteur de recherches. La décision n’est pas inattendue. En effet, elle fait suite au lancement par Microsoft d’une version de son propre moteur de recherches Bing qui s’appuie sur ChatGPT. La publication d’un comparatif entre ChatGPT et le moteur de recherche de Google (sans IA) aide en sus à comprendre la manœuvre en cours de gestation chez Google. C’est l’avenir des moteurs de recherche qui est en jeu avec une question centrale : les moteurs de recherche qui s’appuient sur l’intelligence artificielle sont-ils meilleurs que les moteurs de recherche classiques ?
La réponse de Google à ChatGPT a un nom : Bard. C’est une version allégée de LaMDA – le puissant modèle de langage de Google présenté lors de l’édition 2021 de la conférence Google I/O. Bard était d’abord réservé à des testeurs de confiance. L’annonce de Sundar Pichai est un signe de l’imminence de son ouverture au grand public dans les semaines à venir. Le tableau soulève la pertinence de la tendance des grandes entreprises technologiques à aller vers des moteurs de recherche qui s’appuient sur l’intelligence artificielle.
Les chatbots sont sujets à controverse en raison de la désinformation qui résulte de leur utilisation
Ce qu’on sait de ces intelligences artificielles d’OpenAI et de Google est qu’il s’agit de chatbots capable de comprendre le langage naturel et de répondre en langage naturel. Elles peuvent donner de façon directe des solutions à des problèmes complexes. C’est la raison pour laquelle certaines institutions universitaires en interdisent l’usage à leurs étudiants. Le professeur Arvind Narayanan de l’université de Princeton tire néanmoins la sonnette d’alarme sur la pertinence de s’appuyer sur des moteurs de recherche intégrant ces chatbots en déclarant que c’est de la « poudre de perlimpinpin. »
« Sayash Kapoor et moi-même l'appelons un générateur de conneries, comme d'autres l'ont aussi fait. Nous n'entendons pas cela dans un sens normatif mais dans un sens relativement précis. Nous voulons dire qu'il est entraîné à produire des textes plausibles. Il est très bon pour être persuasif, mais il n'est pas entraîné à produire des déclarations vraies. Il produit souvent des affirmations vraies comme effet secondaire de sa plausibilité et de sa persuasion, mais ce n'est pas son objectif.
Cela correspond en fait à ce que le philosophe Harry Frankfurt a appelé connerie, c'est-à-dire un discours destiné à persuader sans se soucier de la vérité. Un conteur humain ne se soucie pas de savoir si ce qu'il dit est vrai ou non ; il a certaines fins en tête. Tant qu'il persuade, ces objectifs sont atteints. En fait, c'est ce que fait ChatGPT. Il essaie d'être persuasif et il n'a aucun moyen de savoir avec certitude si les déclarations qu'il fait sont vraies ou non », déclare-t-il à propos de ChatGPT.
D’ailleurs, une mouture de Microsoft Bing a affiché 2,5 milliards de personnes en réponse à la question de savoir quelle est la population de la planète Mars. La situation soulève la question de savoir si la montée en puissance de l’intelligence artificielle ne va pas plutôt amener les humains à travailler plus dur pour lutter contre la désinformation.
Un GIF partagé par Google montre Bard répondant à la question : « De quelles nouvelles découvertes du télescope spatial James Webb puis-je parler à mon enfant de 9 ans ? » Bard propose une liste à puces de trois éléments, parmi lesquels un élément indiquant que le télescope « a pris les toutes premières images d'une planète en dehors de notre propre système solaire. »
Cependant, un certain nombre d'astronomes sur Twitter ont souligné que c'était incorrect et que la première image d'une exoplanète avait été prise en 2004 - comme indiqué sur le site Web de la NASA (voir en source) : « Ce n'est pas pour faire mon connard (en fait, si finalement) et je suis sûr que Bard sera impressionnant, mais pour mémoire : JWST n'a pas pris 'la toute première image d'une planète en dehors de notre système solaire' », a tweeté l'astrophysicien Grant Tremblay.
Les développements en cours soulèvent des questions que l’on décide de faire de faire usage du moteur de recherche qu’il soit de Google ou de Microsoft : faut-il vraiment s’appuyer sur un chatbot pour rechercher des informations sur Internet ? L’approche est-elle meilleure que l’ancienne qui consiste à laisser l’humain aller lui-même à la recherche des informations pour en faire la synthèse ?
En effet, des chatbots comme ChatGPT ont une tendance bien documentée à présenter de fausses informations comme des faits. Les chercheurs mettent en garde contre ce problème depuis des années. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certains enseignants ont adopté des politiques ouvertes d’utilisation de ChatGPT en précisant à leurs étudiants que « l’intelligence artificielle peut se tromper. Les étudiants doivent donc vérifier les résultats qu’elle leur renvoie à l’aide d’autres et qu'ils seront responsables de toute erreur ou omission fournie par l'outil. »
Source : Wall Street Journal
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La réponse de Google à ChatGPT a un nom : Bard. C’est une version allégée de LaMDA – le puissant modèle de langage de Google présenté lors de l’édition 2021 de la conférence Google I/O. Bard était d’abord réservé à des testeurs de confiance. L’annonce de Sundar Pichai est un signe de l’imminence de son ouverture au grand public dans les semaines à venir. Le tableau soulève la pertinence de la tendance des grandes entreprises technologiques à aller vers des moteurs de recherche qui s’appuient sur l’intelligence artificielle.
Les chatbots sont sujets à controverse en raison de la désinformation qui résulte de leur utilisation
Ce qu’on sait de ces intelligences artificielles d’OpenAI et de Google est qu’il s’agit de chatbots capable de comprendre le langage naturel et de répondre en langage naturel. Elles peuvent donner de façon directe des solutions à des problèmes complexes. C’est la raison pour laquelle certaines institutions universitaires en interdisent l’usage à leurs étudiants. Le professeur Arvind Narayanan de l’université de Princeton tire néanmoins la sonnette d’alarme sur la pertinence de s’appuyer sur des moteurs de recherche intégrant ces chatbots en déclarant que c’est de la « poudre de perlimpinpin. »
« Sayash Kapoor et moi-même l'appelons un générateur de conneries, comme d'autres l'ont aussi fait. Nous n'entendons pas cela dans un sens normatif mais dans un sens relativement précis. Nous voulons dire qu'il est entraîné à produire des textes plausibles. Il est très bon pour être persuasif, mais il n'est pas entraîné à produire des déclarations vraies. Il produit souvent des affirmations vraies comme effet secondaire de sa plausibilité et de sa persuasion, mais ce n'est pas son objectif.
Cela correspond en fait à ce que le philosophe Harry Frankfurt a appelé connerie, c'est-à-dire un discours destiné à persuader sans se soucier de la vérité. Un conteur humain ne se soucie pas de savoir si ce qu'il dit est vrai ou non ; il a certaines fins en tête. Tant qu'il persuade, ces objectifs sont atteints. En fait, c'est ce que fait ChatGPT. Il essaie d'être persuasif et il n'a aucun moyen de savoir avec certitude si les déclarations qu'il fait sont vraies ou non », déclare-t-il à propos de ChatGPT.
D’ailleurs, une mouture de Microsoft Bing a affiché 2,5 milliards de personnes en réponse à la question de savoir quelle est la population de la planète Mars. La situation soulève la question de savoir si la montée en puissance de l’intelligence artificielle ne va pas plutôt amener les humains à travailler plus dur pour lutter contre la désinformation.
Un GIF partagé par Google montre Bard répondant à la question : « De quelles nouvelles découvertes du télescope spatial James Webb puis-je parler à mon enfant de 9 ans ? » Bard propose une liste à puces de trois éléments, parmi lesquels un élément indiquant que le télescope « a pris les toutes premières images d'une planète en dehors de notre propre système solaire. »
Cependant, un certain nombre d'astronomes sur Twitter ont souligné que c'était incorrect et que la première image d'une exoplanète avait été prise en 2004 - comme indiqué sur le site Web de la NASA (voir en source) : « Ce n'est pas pour faire mon connard (en fait, si finalement) et je suis sûr que Bard sera impressionnant, mais pour mémoire : JWST n'a pas pris 'la toute première image d'une planète en dehors de notre système solaire' », a tweeté l'astrophysicien Grant Tremblay.
Les développements en cours soulèvent des questions que l’on décide de faire de faire usage du moteur de recherche qu’il soit de Google ou de Microsoft : faut-il vraiment s’appuyer sur un chatbot pour rechercher des informations sur Internet ? L’approche est-elle meilleure que l’ancienne qui consiste à laisser l’humain aller lui-même à la recherche des informations pour en faire la synthèse ?
En effet, des chatbots comme ChatGPT ont une tendance bien documentée à présenter de fausses informations comme des faits. Les chercheurs mettent en garde contre ce problème depuis des années. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certains enseignants ont adopté des politiques ouvertes d’utilisation de ChatGPT en précisant à leurs étudiants que « l’intelligence artificielle peut se tromper. Les étudiants doivent donc vérifier les résultats qu’elle leur renvoie à l’aide d’autres et qu'ils seront responsables de toute erreur ou omission fournie par l'outil. »
Source : Wall Street Journal
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schlebeMembre actifLa moindre des choses à exiger des articles publiés par ChatGPT et qu'il les signe afin de permettre aux lecteurs de connaître la véritable source des articles.
Il faudrait également sanctionner les sociétés qui publient des articles générés par ChatGPT avec du contenus inventés ou mensongers.
Une amende de 2% du chiffre d'affaire par articles mensongers publiés et une amende de 2% du chiffre d'affaire par jour et par articles mensongers constatés et toujours publiés plus d'une semaine après le constat.
Dans moins d'un mois, on ne parlera plus de ChatGPT de la même façon et il faudra engager du personnel pour vérifier tout ce qu'il aura écrit.le 08/06/2023 à 19:26 -
walfratMembre émérite"Hey chatGPT, voilà toutes les donneés confidentielles économiques de mon entreprises, fait moi le rapport financier stp, j'ai la flème".le 07/04/2023 à 9:55
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Jon ShannowMembre extrêmement actifHeu ! Tu as des infos la dessus ? Non seulement sur la préparation, mais aussi la faisabilité...le 09/06/2023 à 14:59
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totozorMembre expertC'est pas marrant d'être sans emploi dans un système capitaliste.
Que se passerait il si les gens n'avaient plus besoin de se salarier pour vivre?
La plupart travailleraient.
Par exemple que font les retraités qui ont la santé?
Il s'investissent dans les associations, ils gardent leurs petits enfants, ils investissent dans leur quartier, ils s'entreaident etc.
(Et ceux qui revaient d'être rentiers partent en voyage)
Pourquoi ceci n'est pas souhaitable?
Comment nos dirigeants s'assureraient d'avoir de la main d'oeuvre (au sens large)?
Bernard Arnault perdrait "de la valeur" (je ne dit pas qu'il n'en aurait plus) et Gérard l'éboueur, Géraldine l'aide soignante, Marcel le passionné d'astronomie en gagneraient
Oui le monde que je décrit est peut être idéaliste mais il y a des faisceau de pistes qui suggèrent que c'est viable
Et ce n'est qu'un monde à envisager parmi d'autres
Celui dans lequel on vit ne semble pas viable pour la majorité.le 09/06/2023 à 15:48 -
e-ricMembre expertSalut à tous
Ok pour l'estimation, mais le vrai de problème est de savoir qui va capter tout cet argent. Perso, je pense que cela ne va pas ruisseler et que bien au contraire, cela va mettre beaucoup de gens (comme nous) sur la paille.
tchüssle 16/06/2023 à 9:42 -
petitoursMembre chevronnéUne fois que l'on a compris que ChatGPT n'est qu'un agent conversationnel on peut le trouver super.
Dans le détail ça ne vaut pas plus qu'une discussion de lundi matin à la machine à café basée sur le fait qu'il faut absolument dire un truc et où le plus bavard, ici chatGPT, va absolument avoir un anecdote et répondre un truc quel que soit le sujet.
J'ai testé, longuement, et reçu des réponses régulièrement débiles.
Aujourd'hui je ne l'utilise que sur des sujets que je connais très bien pour voir ce qu'il me répond, notamment dans le cadre d'enseignements que je donne pour voir ce que mes étudiants vont avoir comme informations en passant par lui. Ce qu'il raconte est au mieux très vague, au pire profondément faux, souvent parce que révélant des mauvaises pratiques.
Cette médiocrité de l'information est à mon sens le plus négatif, sans doute basée sur le volume de données qu'il va chercher copieusement "enrichies" par des forums, blogs ou autres écrits par des non spécialistes.
Le fait qu'il fouine partout et utilise des données personnelles ou viole les droits des auteurs est un autre problème majeur mais personnellement je le le mettrait en 2, après celui de donner des informations fausses ou médiocres qui tirent vers le bas celui qui pose la question.le 31/01/2024 à 8:42 -
chrtopheResponsable SystèmesPas d'emploi => Pas de revenu
Pas de revenu => Pas d'impôt
Pas d'impôt => Pas de service public
Je modifierais par :
Pas d'emploi => Pas de revenu
Pas de revenu => Pas de quoi acheter les produits des entreprises => pas de revenus pour les entreprises
pas de revenus ni d'entreprises, ni de particuliers=> pas d"impôts => pas de services publics
en gros effondrement de notre modèle.
Postulons que le revenu universel pourrait être la solution : comment le financer ? Le seul financement viable que je vois c'est par les entreprises, et éventuellement par les personnes qui continueront à travailler en plus du revenu universel. Mais si ce qu'ils gagnent est taxé à 80% pour financer le système, quel est l’intérêt de travailler ? Les entreprises manqueront alors de personnel, et devront donc payer leur salariés chers, et payer des taxes encore plus lourdes, charges qui seront répercutées sur le prix des produits, rendant du coup le revenu universel insuffisant pour pouvoir les acheter.
Parade au problème : le blocage des prix. Les entreprises iront alors vendre ceux-ci ailleurs provoquant des pénuries, c'est ce qui se passe actuellement avec les médicaments.
Avoir un vrai revenu universel implique une non d'obligation de travailler, donc travailler doit réellement apporter quelque chose : argent , épanouissement, occupation, lien social, activités, en dehors de l'aspect financier, pouvant être réalisé dans le cadre associatif par exemple, pouvant apporter à la société et étant plus pertinent qu'un travail pour plein de gens. Comment viabiliser le truc ? Il faudrait déjà calculer le besoin de financement de ce revenu universel et ensuite voir comment le financer. Perso je passe mon tour, de toute façon je ne serais pas écouté.
Si de toute façon les gens n'ont plus de travail, une économie parallèle se généralisera je pense.le 09/06/2023 à 13:53 -
xavier-PierreMembre éclairéSelon une nouvelle étude menée par des chercheurs de Stanford, les étudiants en médecine de première et de deuxième année peuvent obtenir de meilleurs résultats que les étudiants en médecinele 21/07/2023 à 8:10
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calvaireExpert confirménon, le full remote n'a jamais été l'avenir.
c'est le travail hybride qui était l'avenir et clairement ca prends, je trouve aucune boite en it qui impose du 100% en présentiel (et heureusement sinon ils trouverait personne), c'est 2-3j de télétravail/semaines.
capgemini (la plus grosse esn) c'est 4 jours de télétravail/semaines par exemple.
tu raisonnes en mode "l'état me le finance gratos ou hj'ai les moyens de me le payer"
dans les pays anglo-saxons, les populations s'appauvrisses avec l'inflation, ils a des grande coupe budgétaire à faire. éduquer ces enfants par chatgpt et se faire soigner par chatgpt c'est leurs seul solution pour survivre hélas.
dans les pays disons plus "socialiste" comme la France, les gens sont pauvres aussi mais peuvent encore avoir accès a ces services gratos. Mais la dette explose et quand faudra la rembourser, l'état va devoir bien tailler dans les dépenses, donc les flics ce seront des drones de combats autonomes, les profs remplacer par des bots et les docteurs (y'a déjà une pénurie) remplacer par chatgpt.
Faut bien payer la dette.
les pays comme la Roumanie, la France leurs volent leurs médecins, eux n'ont donc plus le choix c'est chatgpt ou crève.
La 5G ou les voitures électriques sont des fiascos industriels car les gens n'ont pas les moyens de se payer ces technos. Je me demande qui va acheter les batteries qu'ils vont produire dans le nord. La moyenne d'âge pour l'achat une voiture neuve en france c'est...57ans
donc la relance par l'industrie c'est juste une grosse blague.
et en 2027 ce sera la taxe carbone ne qui va venir (450€/ans)
donc les gens n'ont plus les moyens d'aller voir un médecin, de se payer un avocat ou d'aller a l'école, aujourd'hui beaucoup de francais peuvent juste acheter des pates le soir (le midi ils sautent le repas) pour se nourrir et acheter une tablette wiko pour lancer chatgpt pour s'instruire et se soigner.
C'est extrême ce que je dis mais lentement et surement on y va. Actuellement l'état est tellement dans la merde niveau finance qu'il en est a réfléchir a devenir copropriétaire de tous les bien immobilier de France pour déduire la dette. Donc de t'expropriée à terme.
Les entreprises doivent absolument alimenter la croissance pour les actionnaires, a n'importe quel prix, donc licenciements massifs obligatoire, même si la qualité est mauvaise.le 07/06/2023 à 9:40 -
kain_tnExpert éminentFaux. ChatGPT, comme toutes les IA génératives est capable de te raconter un tissu de mensonges. Tu as même un article aujourd'hui sur l'exploitation de ces IA pour inciter les devs à intégrer des packages malveillants dans leurs projets...
Les données, il faut les classer correctement. L'argument des données, c'est celui utilisé par Tesla pour dire que leurs voitures autonomes sont au top, et plus sûres qu'une voiture conventionnelle. Et pourtant, il suffit de chercher sur ce forum (avec le leak Tesla récent) pour voir que ce n'est pas vrai et qu'ils cachent les problèmes sous le tapis...
Pas besoin. Une IA générative = une grosse société derrière. Ils feront simplement des partenariats financiers et leur IA dira ce qu'il faudra. Pour le prochain scandale du Mediator, ce sera plus simple de corrompre quelqu'un de chez OpenAI (ou autre), que tout un tas de médecins.le 08/06/2023 à 15:41