IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)

Vous êtes nouveau sur Developpez.com ? Créez votre compte ou connectez-vous afin de pouvoir participer !

Vous devez avoir un compte Developpez.com et être connecté pour pouvoir participer aux discussions.

Vous n'avez pas encore de compte Developpez.com ? Créez-en un en quelques instants, c'est entièrement gratuit !

Si vous disposez déjà d'un compte et qu'il est bien activé, connectez-vous à l'aide du formulaire ci-dessous.

Identifiez-vous
Identifiant
Mot de passe
Mot de passe oublié ?
Créer un compte

L'inscription est gratuite et ne vous prendra que quelques instants !

Je m'inscris !

« Nous avons besoin d'un équivalent de serment d'Hippocrate pour les ingénieurs informaticiens », d'après Brad Smith de Microsoft
Qui insiste en particulier sur le cas de ceux qui développent des IA

Le , par Patrick Ruiz

58PARTAGES

11  0 
Les ingénieurs informaticiens et les scientifiques dans des domaines connexes devraient prêter un équivalent du serment d'Hippocrate
D’après Hannah Fry – professeure à l’UCL

« Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants :
Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon savoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.
Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a jamais besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire ! »

C’est le texte d’origine du serment d’Hippocrate dont le serment de l’ordre français des médecins s’inspire :

« Au moment d'être admis à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité.
J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me le demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité.
Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré et méprisé si j'y manque. »

Vous aurez compris à la lecture de ces différents contenus qu’on parle d’éthique professionnelle. La médecine est particulièrement reconnue pour ces textes et, en cela, constitue un exemple aux yeux de certains observateurs. En effet, dans une publication parue il y a peu, Hannah Fry – professeur à l’University College de Londres (UCL) – appelle à ce que les professionnels de l’ingénierie informatique et des domaines scientifiques connexes prêtent serment sur un équivalent de celui d’Hippocrate.

« Nous avons besoin d’un serment d’Hippocrate comme celui des médecins. En médecine, on parle d’éthique aux étudiants dès le premier jour. En mathématiques, c’est à peine si on en parle. L’éthique doit pourtant être présente dès le premier jour et être au premier plan des préoccupations à chaque étape franchie », lance la professeure de mathématiques.

L’appel de la chercheure intervient au moment où des questions similaires sur des technologies comme l’intelligence artificielle se posent. En effet, l’IA soulève des inquiétudes sur les décisions que doivent prendre les dispositifs intelligents. Par exemple, en ce qui concerne les voitures autonomes – l’un des champs d’application les plus importants de l’intelligence artificielle – les programmeurs doivent, par le biais du code qui pilote le dispositif, prendre des décisions critiques.

Neuf situations illustrent la difficulté à laquelle les programmeurs font face surtout pour ce qui est des aspects moraux : la voiture autonome devrait-elle épargner en priorité les humains plutôt que les animaux de compagnie, les passagers au lieu des piétons, les femmes au lieu des hommes, les jeunes plutôt que les vieux, les personnes ayant un haut statut social au lieu de celles ayant un statut inférieur, les personnes respectant la loi plutôt que les criminels, les personnes mal portantes au lieu de celles en bonne santé ? La voiture devrait-elle dévier (agir) ou ne rien faire ou encore chercher à épargner le plus de vies possible ?


Ces développements ne sont pas sans faire penser à ceux de projets comme Maven. L’initiative était de Google et visait, de façon officielle, à développer une intelligence artificielle pour l’analyse de vidéos capturées par des drones. Toutefois, des craintes de voir des informaticiens mis à contribution pour le développement d’armes ultra sophistiquées destinées à donner la mort ont surgi. En droite ligne avec ces préoccupations, l’appel de la professeure vise à déclencher un mouvement avec pour objectif de protéger le public, ce, en s’appuyant sur la fibre éthique des acteurs.

Mais, ce qu’il faut dire c’est que même si les professionnels du domaine de l’informatique ne prêtent pas serment comme ceux engagés en médecine, ils disposent déjà de codes éthiques. Il n’y a qu’à lire dans les contenus proposés par des initiatives comme Data4Democracy ou l’Association for Computing Machinery (ACM).


Le problème n’est donc pas, semble-t-il, l’absence de code éthique. C’est plutôt la subjectivité de certains points au sein de ces textes sur laquelle il faut commencer par jeter un regard. Même Robert Cecil Martin – auteur du célèbre « Coder proprement » – a touché à cet aspect il y a 5 ans lorsqu’il relevait que la définition de « causer du tort » dépend du propre code moral du programmeur concerné. En sus, il y a les enjeux financiers que l’on ne saurait écarter de l’équation. En effet, même si le code éthique de l’ACM suggère aux programmeurs d’être respectueux de la vie privée des utilisateurs, cela n’empêche pas des entreprises comme Facebook de se retrouver empêtrées dans des scandales comme celui de Cambridge Analytica. Enfin, pour boucler le parallèle avec la médecine, il s’agit généralement de textes sans valeur juridique.

Source : The Guardian

Et vous ?

Qui du travailleur, de l'entreprise ou du code est le véritable problème en matière d'éthique ?

Quel commentaire faites-vous de la pertinence de cette idée ?

Quel pourrait être l’impact d’une telle disposition sur l’éthique personnelle des professionnels des domaines concernés et de façon générale sur celle des entreprises qui les emploient ?

Quels sont les freins à l'application de ces codes de conduite ?

Voir aussi :

Les Googlers contre le conseil d'éthique de l'IA de Google, car il privilégie la proximité du pouvoir sur le bien-être des groupes marginalisés

Google dissout son conseil d'éthique de l'IA une semaine à peine après sa mise en place suite à un mouvement collectif d'indignation

IA : un algorithme permettant de faire des recommandations en suivant des règles d'éthique a été mis au point par des chercheurs d'IBM et du MIT
Vous avez lu gratuitement 4 articles depuis plus d'un an.
Soutenez le club developpez.com en souscrivant un abonnement pour que nous puissions continuer à vous proposer des publications.

Une erreur dans cette actualité ? Signalez-nous-la !

Avatar de Kulvar
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 14:46
À choisir entre un groupe de piétons sur le passage piéton, et un piéton seul sur le passage piéton...

La voiture devrait sacrifier le conducteur.
Avec la ceinture de sécurité et les airbags il y a plus de chance de survie pour le conducteur.
Et même si ça ne faisait pas de différence, le piéton a la priorité sur le conducteur.
16  0 
Avatar de sevyc64
Modérateur https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 21:55
Citation Envoyé par Kulvar Voir le message
À choisir entre un groupe de piétons sur le passage piéton, et un piéton seul sur le passage piéton...

La voiture devrait sacrifier le conducteur.
Avec la ceinture de sécurité et les airbags il y a plus de chance de survie pour le conducteur.
Et même si ça ne faisait pas de différence, le piéton a la priorité sur le conducteur.
Citation Envoyé par AaâÂäÄàAaâÂäÄàAaâÂäÄ Voir le message
Excuse moi mais quand c'est un conducteur humain, la problématique se pose également. Sauf que l'humain en cas d'urgence va réagir impulsivement par réflexe sans réel réflexion... Pas sûr que ça soir vraiment mieux au final
Il vous manque le contexte de l'illustration.
Le cas présenté par l'illustration est le suivant.
- Sachant que, de base, l'IA est programmée pour épargner les vies
- Sachant que, dans la situation présentée, il n'existe pas de solution à zéro mort. Quelque soit l'issue, choisie ou pas, il y aura de toute façon au moins un ou plusieurs morts
Que doit faire l'IA

En gros, on demande à l'IA de choisir qui sacrifier, chose qu'elle ne peut pas faire puisque, postulat de base, l'IA est programmée pour épargner les vies.

La comparaison avec l'humain n'est pas à propos, car l'humain, même s'il ne sait pas quoi faire, même s'il ne sait pas ce qu'il fait, même s'il n'en connait pas les conséquences, l'humain (la plupart des humains !) réagira quand même.
Hors ce genre de solution n'est pas "algorithmisable", l'IA ne peut intrinsèquement pas réagir comme cela. Ce qui la fait systématiquement buguer.

Des situations similaires réelles sont déjà à l'origine d'accidents avec des GoggleCar mais surtout aussi des Tesla. C'est notamment la raison pour laquelle l'Autopilote des Tesla est de plus en plus remis en cause.

Pour tenter de résoudre la situation, il faut supprimer un paramètre de l'équation en disant, notamment, il y a une vie qui vaut plus cher que les autres et qu'il faut sauver au détriment des autres si nécessaire.
Mais pour définir laquelle des vies est à sauver plus que les autres, c'est là que rentre en compte les notions d'éthique quand il s'agit d'opposer Conducteur/Piéton, Piéton/Groupe de Piéton, Homme/Femme, Jeune Vieux, Femme/Femme enceinte, Noir/Blanc, Adulte/Enfant, etc .... On peut multiplier les cas quasiment à l'infini.
Et il n'y a pas de solution, car, là, à ce niveau, on fait intervenir dans l'équation, des paramètres de cultures, morales, classes sociales, racisme, etc ....

C'est notamment ce point qui reste, encore aujourd'hui le gros écueil de l'avancé du véhicule autonome, notamment l'atteinte des niveaux 4 et 5 d'autonomie en dehors de circuits fermés et totalement sécurisés, et notamment sur route ouverte pour les voitures.
Il existe des véhicules qui s'apparentent au niveau 4, c'est notamment le cas de métros automatique, de minibus navette sur des golf, parc expo, etc.. C'est toujours sur circuit sécurisé, généralement aussi fermé, et il reste quand même malgré tout une supervision humaine à distance capable d'intervenir à distance si l'IA est bloquée dans une décision qu'elle ne sait pas prendre.
8  0 
Avatar de AaâÂäÄàAaâÂäÄàAaâÂäÄ
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 16:33
Citation Envoyé par Prox_13 Voir le message
Aucun piéton ne devrait payer de sa vie parce qu'un conducteur a sciemment choisi de ne pas conduire.
La conduite automatique n'est qu'un confort, il faut le rappeler.
Excuse moi mais quand c'est un conducteur humain, la problématique se pose également. Sauf que l'humain en cas d'urgence va réagir impulsivement par réflexe sans réel réflexion... Pas sûr que ça soir vraiment mieux au final
6  1 
Avatar de tome_x
Membre du Club https://www.developpez.com
Le 10/08/2020 à 20:12
Dans l'image, la voiture devrait rouler sur tout le monde, comme ça pas de défavorisés.
5  1 
Avatar de Prox_13
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 16:11
Citation Envoyé par Kulvar Voir le message
À choisir entre un groupe de piétons sur le passage piéton, et un piéton seul sur le passage piéton...

La voiture devrait sacrifier le conducteur.
Avec la ceinture de sécurité et les airbags il y a plus de chance de survie pour le conducteur.
Et même si ça ne faisait pas de différence, le piéton a la priorité sur le conducteur.
Aucun piéton ne devrait payer de sa vie parce qu'un conducteur a sciemment choisi de ne pas conduire.

La conduite automatique n'est qu'un confort, il faut le rappeler.
6  2 
Avatar de AaâÂäÄàAaâÂäÄàAaâÂäÄ
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 22:24
Citation Envoyé par SimonKenoby Voir le message
Pas tout a fait d'accord. Ça dépend des cas. Si le piéton est en faute, c'est a lui de mourir (eg: traverser au rouge, ce genre de chose). Par contre si c'est imprévisible, alors il faut minimiser les dommages je suis d'accord. C'est sur qu'a 50 en ville le conducteur risque beaucoup moins que le piéton.
lol quand un gamin traverse devant la voiture que tu conduis, tu ne freines pas ?
4  0 
Avatar de TotoParis
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 21:36
Ce "code éthique" ne concerne que les USA.
Et il n'a rien à voir avec notre serment d'Hippocrate, faut quand même pas pousser.
De plus, il n'a aucune valeur légale ni même morale.
3  0 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 12/10/2022 à 8:00
Citation Envoyé par SimonKenoby Voir le message
[...]Si le piéton est en faute, c'est a lui de mourir (eg: traverser au rouge, ce genre de chose)[...]
Nous venons de rétablir la peine de mort pour le non respect de la loi le moins dangereux.

Blague à part la question est sincèrement compliquée et la réponse l'est d'autant plus.
Et ma position actuelle est radicale : dans notre société où l'automobile est hégémonique l'usager faible doit etre priorisé sur l'automobiliste donc la voiture se met au tas.
Et ma position est d'autant plus radicale si le chauffeur a décidé de ne pas conduire : Le chauffeur qui conduit doit etre priorisé sur le chauffeur qui ne conduit pas, le "drone" part au tas.
Si la voiture autonome doit choisir entre le chauffeur et un groupe de pietons et le chauffeur et un autre groupe de piéton, évaluer la valeur de telle ou telle personne est tellement délicat que je choisit le 1 pour 1 et donc de choisir le groupe le moins nombreux.

La communication entre les usagers de la route est bien plus importante que le choix de voie, les clignotants, et le klaxon. Je sais distinguer un chauffeur qui cherche son chemin, un chauffeur qui est sur la file qui va tout droit alors qu'il va tourner, le chauffeur qui ne me laissera pas traverser malgré le passage piéton donc je sais maitriser une bonne partie du risque de me faire écraser par un automobiliste
Quelle communication existe entre une IA de confuite auto et son environnement? A ma connaissance aucune. Si je veux traverser comment je vérifies qu'elle m'a bien vu? Je ne sais pas, je traverse et le prie ou je la laisse passer. Donc soit on a une IA infaillible (ce qui n'arrivera pas) soit on va dans un monde où la voiture est encore plus hégémonique qu'aujourd'hui. Je refuse de crever parce qu'un gars a refusé de conduire et que je vis un cas d'usage pas prévu.

Je travaille dans la qualité, je passe ma vie à entendre "inutile d'envisager les cas de dysfonctionnement tout est fait pour qu'ils n'arrivent pas". Si c'était le cas j'aurais un peu plus de temps pour lancer les projets d'amélioration qui "sont dans les tuyau" depuis 5 ans.
4  1 
Avatar de fredinkan
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 15:02
Citation Envoyé par Kulvar Voir le message
À choisir entre un groupe de piétons sur le passage piéton, et un piéton seul sur le passage piéton...

La voiture devrait sacrifier le conducteur.
Avec la ceinture de sécurité et les airbags il y a plus de chance de survie pour le conducteur.
Et même si ça ne faisait pas de différence, le piéton a la priorité sur le conducteur.
Au niveau des systèmes de conduites intelligente, il y a déjà plusieurs constructeurs de véhicule de luxe abordable qui ont fait le choix de privilégier la vie de leur conducteur à celle des piétons.
Cela avait fait scandale, je ne sais pas où ça en est et si quelque chose aurait changé ...
2  0 
Avatar de smarties
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 11/10/2022 à 16:21
La voiture pourrait aller dans le mur/fossé/arbre/ravin/... aussi

Par ailleurs si en ville les voitures respectaient les limites de vitesse, les piétons traversaient sur les passages piéton ça deviendrais peut être moins accidentogène aussi.
Il y a aussi des usagers de la route qu'il faudrait sortir de celle-ci pour les mettre sur des pistes dédies (vélos, trottinettes, ...)
3  1