
L'étude menée auprès de 600 professionnels de l'informatique et de la cybersécurité révèle que plus de la moitié des personnes interrogées pensent que les ransomwares ou les attaques de type "zero-day" constituent les plus grandes menaces pour leur organisation.
Les personnes interrogées consacrent environ 10 heures par semaine à l'évaluation des alertes faussement positives, et 69 % d'entre elles reconnaissent que le moral du personnel pourrait être affecté par une lassitude à l'égard des alertes en raison du volume écrasant de faux positifs. Par ailleurs, 80 % des répondants affirment que le temps qui n'est pas consacré aux faux positifs est consacré à l'application de correctifs et de mises à jour de sécurité, qui prennent beaucoup de temps, afin de garantir que les solutions restent efficaces.
"Les événements majeurs récents ont fait de la sécurité une priorité accrue, mais ces menaces méritent depuis longtemps l'attention qu'elles ne reçoivent que maintenant au niveau mondial. Alors que nous travaillons à la mise en place d'une couche de défense plus solide, il sera tout aussi important de protéger les employés assidus qui siègent dans le SOC que de sécuriser l'entreprise", déclare Guy Caspi, PDG de Deep Instinct. "Les résultats de ce rapport mettent en lumière les défis épuisants auxquels les équipes d'opérations de sécurité d'aujourd'hui sont confrontées au quotidien. Reconnaissant la nécessité d'une nouvelle approche, nous avons entrepris d'apporter le soulagement dont les équipes ont désespérément besoin."
Parmi les autres conclusions, 66 % estiment que le paiement d'une rançon devrait être rendu illégal, 63 % pensent que le niveau d'innovation perturbatrice dans le domaine de la cybersécurité a augmenté, et 38 % rachèteraient certainement leur solution existante de détection et de réponse aux points d'extrémité.
Source : Deep Instinct
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