Un avocat a cité 6 fausses affaires inventées par ChatGPT, l'outil d'IA conversationnelle développé par Open AI,
Le juge qualifie cette affaire de « sans précédent »
Le 2023-06-01 10:52:49, par Bruno, Chroniqueur Actualités
Dans une affaire judiciaire inhabituelle, un avocat a été sanctionné par un juge pour avoir cité six affaires fictives générées par ChatGPT, un système d’intelligence artificielle qui produit du texte à partir d’un mot-clé. L’avocat, Steven Schwartz, a reconnu avoir utilisé pour compléter ses recherches juridiques, mais qu’il n’avait pas vérifié l’authenticité des sources.
Le juge a qualifié cette pratique d’ « inédite » et de « trompeuse », et a ordonné à l’avocat de payer une amende de 10 000 dollars et de suivre une formation sur l’éthique professionnelle. Le juge a également mis en garde contre les risques de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine juridique, et a appelé à une réglementation plus stricte. L’avocat a cité six affaires fictives dans ses mémoires. Ces affaires avaient été générées par ChatGPT, un système d’intelligence artificielle qui produit du texte à partir d’un mot-clé. Il a présenté ses excuses et a affirmé qu’il ne recommencerait plus.
ChatGPT est un robot à grand modèle de langage (ils permettent de prédire le mot suivant dans une série de mots) développé par OpenAI et basé sur GPT-3.5. Il a une capacité remarquable à interagir sous forme de dialogue conversationnel et à fournir des réponses qui peuvent sembler étonnamment humaines.
L'apprentissage par renforcement avec retour d'information humain (RLHF) est une couche supplémentaire de formation qui utilise le retour d'information humain pour aider ChatGPT à apprendre à suivre des instructions et à générer des réponses satisfaisantes pour les humains. ChatGPT a été créé par OpenAI, une société d'intelligence artificielle basée à San Francisco, connue pour son célèbre DALL-E, un modèle d'apprentissage profond qui génère des images à partir d'instructions textuelles appelées prompts.
Le juge en charge de l’affaire, Robert Katzmann, a sévèrement sanctionné l’avocat pour avoir induit le tribunal en erreur. Il a ordonné à Schwartz de payer une amende de 10 000 dollars et de suivre une formation sur l’éthique professionnelle. Il a également dénoncé les dangers de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine juridique, et a appelé à une réglementation plus stricte pour éviter les abus et les erreurs.
Dans une autre affaire opposant une compagnie d’assurance maladie et l’un de ses clients, un juge, Juan Manuel Padilla Garcia, déclare s’être fait aider par le célèbre outil d’OpenAI, ChatGPT, pour prendre sa décision de justice. Padilla, qui a statué contre la compagnie d’assurance, a déclaré avoir posé à ChatGPT, entre autres, la question suivante : « Un mineur autiste est-il exonéré du paiement des frais de ses thérapies ? ». La réponse de ChatGPT correspondait à la décision préalable du juge : « Oui, c'est exact. Selon la réglementation en vigueur en Colombie, les mineurs diagnostiqués autistes sont exonérés de frais pour leurs thérapies. »
L'affaire concernait un différend avec une compagnie d'assurance maladie sur la question de savoir si un enfant autiste devait bénéficier d'une couverture pour un traitement médical. Selon le document du tribunal, les questions juridiques entrées dans l'outil d'IA comprenaient « Un mineur autiste est-il exonéré du paiement des frais pour ses thérapies ? » et « La jurisprudence de la cour constitutionnelle a-t-elle rendu des décisions favorables dans des cas similaires ? »
ChatGPT n'a « pas pour but de remplacer » les juges, a précisé le juge. Padilla a insisté sur le fait qu' « en posant des questions à l'application, nous ne cessons pas d'être des juges, des êtres pensants. » « Je soupçonne que beaucoup de mes collègues vont se joindre à cela et commencer à construire leurs décisions de manière éthique avec l'aide de l'intelligence artificielle », a déclaré Padilla.
Le juge fédéral Kevin Castel envisage des sanctions à l'encontre de Schwartz et de ses associés. Dans une ordonnance rendue vendredi, Castel a fixé au 8 juin une audience au cours de laquelle M. Schwartz, son confrère Peter LoDuca et le cabinet d'avocats devront justifier les raisons pour lesquelles ils ne devraient pas être sanctionnés.
« La Cour est confrontée à une situation sans précédent, a écrit Castel dans une ordonnance rendue le 4 mai. Un mémoire déposé par l'avocat du plaignant en opposition à une requête en irrecevabilité est rempli de citations de cas inexistants... Six des cas soumis semblent être de fausses décisions judiciaires avec de fausses citations et de fausses citations internes ».
Les documents déposés comprenaient non seulement des noms d'affaires inventées, mais aussi une série de pièces à conviction contenant des « extraits » des fausses décisions. Par exemple, l'avis erroné Varghese v. China Southern Airlines cite plusieurs précédents qui n'existent pas. L'avis erroné « Varghese » contient des citations internes qui, à leur tour, sont inexistantes », a écrit Castel. Cinq autres « décisions soumises par l'avocat du plaignant contiennent des lacunes similaires et semblent également erronées », a écrit Castel.
Pour certains analystes, cette affaire est un exemple des défis posés par l’intelligence artificielle, qui peut produire du contenu crédible, mais faux. Il est important de vérifier les sources et de faire preuve d’esprit critique face aux informations générées par l’intelligence artificielle.
Source : Déclaration sous serment de Schwartz
Et vous ?
Quel est avis sur le sujet ?
Utilisez-vous chatGPT pour avancer dans certains de vos tâches ?
Quelles peuvent être les conséquences juridiques et éthiques de l’utilisation de ChatGPT pour la recherche juridique ?
Quelle est, selon vous, la fiabilité de ChatGPT pour fournir des informations exactes et pertinentes ?
Quelles peuvent être les mesures à prendre par le tribunal pour éviter que ce genre de situation ne se reproduise ?
Voir aussi :
Chat GPT a atteint un million d'utilisateurs en un temps record, cinq jours seulement après sa création en novembre 2022, révolutionnant le gain de temps dans divers domaines
Un juge utilise ChatGPT pour prendre une décision de justice, alors que l'outil d'IA n'aurait pas encore la maturité suffisante, pour être utilisé dans la prise des décisions conséquentes
Le juge a qualifié cette pratique d’ « inédite » et de « trompeuse », et a ordonné à l’avocat de payer une amende de 10 000 dollars et de suivre une formation sur l’éthique professionnelle. Le juge a également mis en garde contre les risques de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine juridique, et a appelé à une réglementation plus stricte. L’avocat a cité six affaires fictives dans ses mémoires. Ces affaires avaient été générées par ChatGPT, un système d’intelligence artificielle qui produit du texte à partir d’un mot-clé. Il a présenté ses excuses et a affirmé qu’il ne recommencerait plus.
ChatGPT est un robot à grand modèle de langage (ils permettent de prédire le mot suivant dans une série de mots) développé par OpenAI et basé sur GPT-3.5. Il a une capacité remarquable à interagir sous forme de dialogue conversationnel et à fournir des réponses qui peuvent sembler étonnamment humaines.
L'apprentissage par renforcement avec retour d'information humain (RLHF) est une couche supplémentaire de formation qui utilise le retour d'information humain pour aider ChatGPT à apprendre à suivre des instructions et à générer des réponses satisfaisantes pour les humains. ChatGPT a été créé par OpenAI, une société d'intelligence artificielle basée à San Francisco, connue pour son célèbre DALL-E, un modèle d'apprentissage profond qui génère des images à partir d'instructions textuelles appelées prompts.
Le juge en charge de l’affaire, Robert Katzmann, a sévèrement sanctionné l’avocat pour avoir induit le tribunal en erreur. Il a ordonné à Schwartz de payer une amende de 10 000 dollars et de suivre une formation sur l’éthique professionnelle. Il a également dénoncé les dangers de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine juridique, et a appelé à une réglementation plus stricte pour éviter les abus et les erreurs.
Dans une autre affaire opposant une compagnie d’assurance maladie et l’un de ses clients, un juge, Juan Manuel Padilla Garcia, déclare s’être fait aider par le célèbre outil d’OpenAI, ChatGPT, pour prendre sa décision de justice. Padilla, qui a statué contre la compagnie d’assurance, a déclaré avoir posé à ChatGPT, entre autres, la question suivante : « Un mineur autiste est-il exonéré du paiement des frais de ses thérapies ? ». La réponse de ChatGPT correspondait à la décision préalable du juge : « Oui, c'est exact. Selon la réglementation en vigueur en Colombie, les mineurs diagnostiqués autistes sont exonérés de frais pour leurs thérapies. »
L'affaire concernait un différend avec une compagnie d'assurance maladie sur la question de savoir si un enfant autiste devait bénéficier d'une couverture pour un traitement médical. Selon le document du tribunal, les questions juridiques entrées dans l'outil d'IA comprenaient « Un mineur autiste est-il exonéré du paiement des frais pour ses thérapies ? » et « La jurisprudence de la cour constitutionnelle a-t-elle rendu des décisions favorables dans des cas similaires ? »
ChatGPT n'a « pas pour but de remplacer » les juges, a précisé le juge. Padilla a insisté sur le fait qu' « en posant des questions à l'application, nous ne cessons pas d'être des juges, des êtres pensants. » « Je soupçonne que beaucoup de mes collègues vont se joindre à cela et commencer à construire leurs décisions de manière éthique avec l'aide de l'intelligence artificielle », a déclaré Padilla.
Le juge fédéral Kevin Castel envisage des sanctions à l'encontre de Schwartz et de ses associés. Dans une ordonnance rendue vendredi, Castel a fixé au 8 juin une audience au cours de laquelle M. Schwartz, son confrère Peter LoDuca et le cabinet d'avocats devront justifier les raisons pour lesquelles ils ne devraient pas être sanctionnés.
« La Cour est confrontée à une situation sans précédent, a écrit Castel dans une ordonnance rendue le 4 mai. Un mémoire déposé par l'avocat du plaignant en opposition à une requête en irrecevabilité est rempli de citations de cas inexistants... Six des cas soumis semblent être de fausses décisions judiciaires avec de fausses citations et de fausses citations internes ».
Les documents déposés comprenaient non seulement des noms d'affaires inventées, mais aussi une série de pièces à conviction contenant des « extraits » des fausses décisions. Par exemple, l'avis erroné Varghese v. China Southern Airlines cite plusieurs précédents qui n'existent pas. L'avis erroné « Varghese » contient des citations internes qui, à leur tour, sont inexistantes », a écrit Castel. Cinq autres « décisions soumises par l'avocat du plaignant contiennent des lacunes similaires et semblent également erronées », a écrit Castel.
Pour certains analystes, cette affaire est un exemple des défis posés par l’intelligence artificielle, qui peut produire du contenu crédible, mais faux. Il est important de vérifier les sources et de faire preuve d’esprit critique face aux informations générées par l’intelligence artificielle.
Source : Déclaration sous serment de Schwartz
Et vous ?
Voir aussi :
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schlebeMembre actifLa moindre des choses à exiger des articles publiés par ChatGPT et qu'il les signe afin de permettre aux lecteurs de connaître la véritable source des articles.
Il faudrait également sanctionner les sociétés qui publient des articles générés par ChatGPT avec du contenus inventés ou mensongers.
Une amende de 2% du chiffre d'affaire par articles mensongers publiés et une amende de 2% du chiffre d'affaire par jour et par articles mensongers constatés et toujours publiés plus d'une semaine après le constat.
Dans moins d'un mois, on ne parlera plus de ChatGPT de la même façon et il faudra engager du personnel pour vérifier tout ce qu'il aura écrit.le 08/06/2023 à 19:26 -
Jon ShannowMembre extrêmement actifHeu ! Tu as des infos la dessus ? Non seulement sur la préparation, mais aussi la faisabilité...le 09/06/2023 à 14:59
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totozorMembre expertC'est pas marrant d'être sans emploi dans un système capitaliste.
Que se passerait il si les gens n'avaient plus besoin de se salarier pour vivre?
La plupart travailleraient.
Par exemple que font les retraités qui ont la santé?
Il s'investissent dans les associations, ils gardent leurs petits enfants, ils investissent dans leur quartier, ils s'entreaident etc.
(Et ceux qui revaient d'être rentiers partent en voyage)
Pourquoi ceci n'est pas souhaitable?
Comment nos dirigeants s'assureraient d'avoir de la main d'oeuvre (au sens large)?
Bernard Arnault perdrait "de la valeur" (je ne dit pas qu'il n'en aurait plus) et Gérard l'éboueur, Géraldine l'aide soignante, Marcel le passionné d'astronomie en gagneraient
Oui le monde que je décrit est peut être idéaliste mais il y a des faisceau de pistes qui suggèrent que c'est viable
Et ce n'est qu'un monde à envisager parmi d'autres
Celui dans lequel on vit ne semble pas viable pour la majorité.le 09/06/2023 à 15:48 -
e-ricMembre expertSalut à tous
Ok pour l'estimation, mais le vrai de problème est de savoir qui va capter tout cet argent. Perso, je pense que cela ne va pas ruisseler et que bien au contraire, cela va mettre beaucoup de gens (comme nous) sur la paille.
tchüssle 16/06/2023 à 9:42 -
petitoursMembre chevronnéUne fois que l'on a compris que ChatGPT n'est qu'un agent conversationnel on peut le trouver super.
Dans le détail ça ne vaut pas plus qu'une discussion de lundi matin à la machine à café basée sur le fait qu'il faut absolument dire un truc et où le plus bavard, ici chatGPT, va absolument avoir un anecdote et répondre un truc quel que soit le sujet.
J'ai testé, longuement, et reçu des réponses régulièrement débiles.
Aujourd'hui je ne l'utilise que sur des sujets que je connais très bien pour voir ce qu'il me répond, notamment dans le cadre d'enseignements que je donne pour voir ce que mes étudiants vont avoir comme informations en passant par lui. Ce qu'il raconte est au mieux très vague, au pire profondément faux, souvent parce que révélant des mauvaises pratiques.
Cette médiocrité de l'information est à mon sens le plus négatif, sans doute basée sur le volume de données qu'il va chercher copieusement "enrichies" par des forums, blogs ou autres écrits par des non spécialistes.
Le fait qu'il fouine partout et utilise des données personnelles ou viole les droits des auteurs est un autre problème majeur mais personnellement je le le mettrait en 2, après celui de donner des informations fausses ou médiocres qui tirent vers le bas celui qui pose la question.le 31/01/2024 à 8:42 -
chrtopheResponsable SystèmesPas d'emploi => Pas de revenu
Pas de revenu => Pas d'impôt
Pas d'impôt => Pas de service public
Je modifierais par :
Pas d'emploi => Pas de revenu
Pas de revenu => Pas de quoi acheter les produits des entreprises => pas de revenus pour les entreprises
pas de revenus ni d'entreprises, ni de particuliers=> pas d"impôts => pas de services publics
en gros effondrement de notre modèle.
Postulons que le revenu universel pourrait être la solution : comment le financer ? Le seul financement viable que je vois c'est par les entreprises, et éventuellement par les personnes qui continueront à travailler en plus du revenu universel. Mais si ce qu'ils gagnent est taxé à 80% pour financer le système, quel est l’intérêt de travailler ? Les entreprises manqueront alors de personnel, et devront donc payer leur salariés chers, et payer des taxes encore plus lourdes, charges qui seront répercutées sur le prix des produits, rendant du coup le revenu universel insuffisant pour pouvoir les acheter.
Parade au problème : le blocage des prix. Les entreprises iront alors vendre ceux-ci ailleurs provoquant des pénuries, c'est ce qui se passe actuellement avec les médicaments.
Avoir un vrai revenu universel implique une non d'obligation de travailler, donc travailler doit réellement apporter quelque chose : argent , épanouissement, occupation, lien social, activités, en dehors de l'aspect financier, pouvant être réalisé dans le cadre associatif par exemple, pouvant apporter à la société et étant plus pertinent qu'un travail pour plein de gens. Comment viabiliser le truc ? Il faudrait déjà calculer le besoin de financement de ce revenu universel et ensuite voir comment le financer. Perso je passe mon tour, de toute façon je ne serais pas écouté.
Si de toute façon les gens n'ont plus de travail, une économie parallèle se généralisera je pense.le 09/06/2023 à 13:53 -
xavier-PierreMembre éclairéSelon une nouvelle étude menée par des chercheurs de Stanford, les étudiants en médecine de première et de deuxième année peuvent obtenir de meilleurs résultats que les étudiants en médecinele 21/07/2023 à 8:10
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calvaireExpert confirménon, le full remote n'a jamais été l'avenir.
c'est le travail hybride qui était l'avenir et clairement ca prends, je trouve aucune boite en it qui impose du 100% en présentiel (et heureusement sinon ils trouverait personne), c'est 2-3j de télétravail/semaines.
capgemini (la plus grosse esn) c'est 4 jours de télétravail/semaines par exemple.
tu raisonnes en mode "l'état me le finance gratos ou hj'ai les moyens de me le payer"
dans les pays anglo-saxons, les populations s'appauvrisses avec l'inflation, ils a des grande coupe budgétaire à faire. éduquer ces enfants par chatgpt et se faire soigner par chatgpt c'est leurs seul solution pour survivre hélas.
dans les pays disons plus "socialiste" comme la France, les gens sont pauvres aussi mais peuvent encore avoir accès a ces services gratos. Mais la dette explose et quand faudra la rembourser, l'état va devoir bien tailler dans les dépenses, donc les flics ce seront des drones de combats autonomes, les profs remplacer par des bots et les docteurs (y'a déjà une pénurie) remplacer par chatgpt.
Faut bien payer la dette.
les pays comme la Roumanie, la France leurs volent leurs médecins, eux n'ont donc plus le choix c'est chatgpt ou crève.
La 5G ou les voitures électriques sont des fiascos industriels car les gens n'ont pas les moyens de se payer ces technos. Je me demande qui va acheter les batteries qu'ils vont produire dans le nord. La moyenne d'âge pour l'achat une voiture neuve en france c'est...57ans
donc la relance par l'industrie c'est juste une grosse blague.
et en 2027 ce sera la taxe carbone ne qui va venir (450€/ans)
donc les gens n'ont plus les moyens d'aller voir un médecin, de se payer un avocat ou d'aller a l'école, aujourd'hui beaucoup de francais peuvent juste acheter des pates le soir (le midi ils sautent le repas) pour se nourrir et acheter une tablette wiko pour lancer chatgpt pour s'instruire et se soigner.
C'est extrême ce que je dis mais lentement et surement on y va. Actuellement l'état est tellement dans la merde niveau finance qu'il en est a réfléchir a devenir copropriétaire de tous les bien immobilier de France pour déduire la dette. Donc de t'expropriée à terme.
Les entreprises doivent absolument alimenter la croissance pour les actionnaires, a n'importe quel prix, donc licenciements massifs obligatoire, même si la qualité est mauvaise.le 07/06/2023 à 9:40 -
kain_tnExpert éminentFaux. ChatGPT, comme toutes les IA génératives est capable de te raconter un tissu de mensonges. Tu as même un article aujourd'hui sur l'exploitation de ces IA pour inciter les devs à intégrer des packages malveillants dans leurs projets...
Les données, il faut les classer correctement. L'argument des données, c'est celui utilisé par Tesla pour dire que leurs voitures autonomes sont au top, et plus sûres qu'une voiture conventionnelle. Et pourtant, il suffit de chercher sur ce forum (avec le leak Tesla récent) pour voir que ce n'est pas vrai et qu'ils cachent les problèmes sous le tapis...
Pas besoin. Une IA générative = une grosse société derrière. Ils feront simplement des partenariats financiers et leur IA dira ce qu'il faudra. Pour le prochain scandale du Mediator, ce sera plus simple de corrompre quelqu'un de chez OpenAI (ou autre), que tout un tas de médecins.le 08/06/2023 à 15:41 -
PomFritzMembre confirméJe n'ai aucune idée des références de ce monsieur. Mais, avec toutes les prédictions sur les voitures autonomes, les cryptos, le métavers, les objets connectés, etc... , on voit qu'on est toujours ratrappé par la complexité de la réalité.le 08/06/2023 à 20:21