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Les départs des membres de la direction d'OpenAI suscitent le scepticisme quant aux échéances imminentes de l'IAG
Un ingénieur OpenAI donnait un délai de trois ans pour atteindre ce niveau

Le , par Stéphane le calme

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6  0 
Au cours de la dernière semaine, OpenAI a connu un bouleversement significatif au niveau de sa direction : Greg Brockman, président et co-fondateur de l’entreprise, prend un congé sabbatique prolongé jusqu’à la fin de l’année. Un autre co-fondateur, John Schulman, a quitté définitivement OpenAI pour rejoindre la société concurrente Anthropic. Peter Deng, vice-président du produit grand public, a également quitté l’équipe derrière ChatGPT.

L'IAG (intelligence artificielle générale) est le niveau d’intelligence artificielle qui peut accomplir n’importe quelle tâche intellectuelle qu’un humain peut faire. Bien que les chercheurs peinent à trouver une définition universelle, il s’agit d’un objectif ambitieux et controversé, qui soulève de nombreuses questions tant éthiques et sociales que techniques. Certains experts estiment que l’IAG est impossible à atteindre, tandis que d’autres prédisent qu’elle pourrait se produire dans les prochaines décennies.

Sam Altman a accepté de participer au Hawking Fellowship Award 2023 au nom de l'équipe derrière OpenAI avec les étudiants de Cambridge. À cette occasion, des étudiants ont eu l'opportunité d'échanger avec lui pendant une séance d'une heure environ. Altman a alors affirmé que l’IAG était l’un des plus grands défis de l’humanité, mais aussi l’une des plus grandes opportunités. Il a expliqué que l’IAG pourrait résoudre des problèmes majeurs comme le changement climatique, la pauvreté, la santé ou l’éducation, mais qu’elle pourrait aussi représenter un risque existentiel si elle n’était pas contrôlée.

En janvier, Sam Altman a affirmé que l'IAG pourrait être développée dans un « avenir raisonnablement proche ». Puis, en juin, l'estimation de trois ans a été sortie du chapeau d'un ingénieur d'OpenAI. Une affirmation qui contraste avec les prédictions plus conservatrices du PDG de Google DeepMind, qui anticipe une décennie, et de Shane Legg, cofondateur de DeepMind, qui évalue à 50 % la probabilité d'atteindre l'IAG d'ici 2028.


De multiples départs dans la direction d'OpenAI qui entraînent des interrogations sur l'imminence de cette réalisation

Au cours de la semaine dernière, OpenAI a connu un important bouleversement de sa direction, trois personnalités clés ayant annoncé des changements majeurs. Greg Brockman, président et cofondateur de l'entreprise, prend un congé sabbatique prolongé jusqu'à la fin de l'année, tandis qu'un autre cofondateur, , a quitté définitivement l'entreprise pour sa rivale Anthropic.

Peter Deng, un chef de produit qui a rejoint OpenAI l'année dernière après avoir travaillé chez Meta Platforms, Uber et Airtable, a également quitté l'entreprise, bien que nous ne sachions pas encore où il se dirige. En mai, le cofondateur d'OpenAI, Ilya Sutskever, a quitté l'entreprise pour fonder une startup rivale, et l'éminent ingénieur logiciel Andrej Karpathy a quitté l'entreprise en février, lançant récemment une entreprise éducative.

Schulman s'est montré optimiste quant à l'avenir d'OpenAI dans sa note d'adieu sur X. « Je suis convaincu qu'OpenAI et les équipes dont je faisais partie continueront à prospérer sans moi », a-t-il écrit. « Je suis incroyablement reconnaissant d'avoir eu l'occasion de participer à une partie aussi importante de l'histoire et je suis fier de ce que nous avons accompli ensemble. Je continuerai à vous encourager tous, même si je travaille ailleurs ».

Dans un post sur X, Brockman a écrit : « Je prends un congé sabbatique jusqu'à la fin de l'année. C'est la première fois que je me détends depuis que j'ai cofondé OpenAI il y a 9 ans. La mission est loin d'être achevée ; nous avons encore une IAG sûr à construire ».

Ces mouvements ont conduit certains à se demander si OpenAI est proche de la percée d'une sorte d'intelligence artificielle raisonnante dont on parle depuis longtemps, si les employés les plus en vue quittent le navire (ou prennent de longues pauses, dans le cas de Brockman) si facilement. Comme l'a déclaré le développeur d'IA Benjamin De Kraker sur X, « si OpenAI est sur le point de parvenir à l'IAG, pourquoi les personnes les plus en vue continuent-elles de partir ? »

Si OpenAI est sur le point de développer une technologie d'IA révolutionnaire, pourquoi ces experts de l'IA ne restent pas ?

Et d'ajouter que si OpenAI est sur le point de développer une technologie d'IA révolutionnaire, ces vétérans de l'IA très en vue ne voudraient-ils pas rester dans le coin et participer à ce moment historique ? « C'est une vraie question », écrit-il. « Si vous étiez presque sûr que l'entreprise dont vous êtes un élément clé - et dans laquelle vous avez des parts - est sur le point de mettre au point l'IA d'ici un ou deux ans... pourquoi quitteriez-vous le navire ? »

L'IAG fait référence à un système d'IA hypothétique qui pourrait égaler l'intelligence humaine dans un large éventail de tâches sans formation spécialisée. C'est l'objectif ultime d'OpenAI :

« Notre mission est de veiller à ce que l'intelligence artificielle générale, c'est-à-dire les systèmes d'intelligence artificielle qui sont généralement plus intelligents que les humains, profite à l'ensemble de l'humanité. Si l'IAG est créée avec succès, cette technologie pourrait nous aider à élever l'humanité en augmentant l'abondance, en donnant un coup de fouet à l'économie mondiale et en contribuant à la découverte de nouvelles connaissances scientifiques qui repoussent les limites du possible.

« L'IAG a le potentiel de donner à chacun d'incroyables nouvelles capacités ; nous pouvons imaginer un monde où chacun d'entre nous aurait accès à de l'aide pour presque toutes les tâches cognitives, ce qui multiplierait considérablement la force de l'ingéniosité et de la créativité humaines.

« D'un autre côté, l'IAG s'accompagnerait également d'un risque sérieux de mauvaise utilisation, d'accidents graves et de perturbations sociétales. Étant donné l'importance des avantages de l'IAG, nous ne pensons pas qu'il soit possible ou souhaitable pour la société d'arrêter définitivement son développement ; au contraire, la société et les développeurs de l'IAG doivent trouver le moyen de bien faire les choses ».

L'IAG est également un concept qui a suscité des inquiétudes quant aux risques existentiels potentiels pour l'humanité et au remplacement des travailleurs du savoir. Toutefois, le terme reste assez vague, et la communauté de l'IA débat considérablement de ce qui constitue véritablement l'IAG ou de la mesure dans laquelle nous sommes sur le point d'y parvenir.

L'émergence de la « prochaine grande avancée » en matière d'IA a été considérée par des critiques tels qu'Ed Zitron comme une étape nécessaire pour justifier les investissements massifs dans des modèles d'IA qui ne sont pas encore rentables. L'industrie retient son souffle en espérant qu'OpenAI, ou un concurrent, fasse une percée secrète qui justifiera les coûts massifs associés à la formation et au déploiement des LLM.

Mais d'autres critiques de l'IA, comme Gary Marcus, ont émis l'hypothèse que les grandes entreprises d'IA ont atteint un plateau de capacité des grands modèles de langage (LLM) centré sur les modèles de niveau GPT-4, étant donné qu'aucune entreprise d'IA n'a encore fait un grand pas au-delà du LLM révolutionnaire qu'OpenAI a publié en mars 2023. Le directeur technique de Microsoft, Kevin Scott, a réfuté ces affirmations en déclarant que les « lois d'échelle » des LLM (qui suggèrent que les capacités des LLM augmentent proportionnellement à la puissance de calcul qui leur est attribuée) continueront à apporter des améliorations au fil du temps et qu'il faudra faire preuve de plus de patience pendant la formation de la prochaine génération (par exemple, GPT-5).


Atteindre l'IAG est-il possible ?

Jusqu'à présent, aucun système d'IA n'a démontré de manière convaincante les capacités d'IAG, bien que certains aient montré des exploits impressionnants d'ANI dans des domaines spécifiques. Par exemple, GPT-4 peut générer des textes cohérents et diversifiés sur divers sujets, ainsi que répondre à des questions et effectuer des calculs simples basés sur des entrées textuelles ou visuelles. Cependant, GPT-4 repose toujours sur de grandes quantités de données et des invites prédéfinies pour bien fonctionner. Il fait souvent des erreurs ou produit des résultats insensés lorsqu'il est confronté à des scénarios inconnus ou complexes. Mais cela pourrait changer avec GPT5.

Certains experts affirment que pour atteindre l'IAG, il faudra une compréhension approfondie des interactions complexes entre la cognition, la perception et l'action, ainsi que la capacité d'intégrer de multiples sources de connaissances et d'expériences.

Malgré les défis et les incertitudes entourant la signification de l'IAG, de nombreux chercheurs et organisations poursuivent activement cet objectif, motivés par le potentiel d'importants avantages scientifiques, économiques et sociétaux.

Pour mémoire, il existe différents types d’IA selon leur niveau de complexité et de généralité. Voici les principales différences entre l’IA générale, l’IA étroite et la superintelligence artificielle :
  • L’IA générale (IAG ou IA forte) est un type d’IA qui serait capable de comprendre et d’interagir avec n’importe quelle tâche ou domaine, qu’il s’agisse de langage naturel, d’image, de musique, de logique ou d’autres domaines. L’IA générale serait à la hauteur des capacités humaines dans tous les aspects cognitifs et non seulement dans une seule tâche spécifique. L’IA générale n’existe pas encore dans le monde réel, mais c’est le but ultime de beaucoup de chercheurs en IA.
  • L’IA étroite (ANI ou IA faible) est un type d’IA qui existe actuellement et qui est spécialisée dans une seule tâche ou domaine particulier. Par exemple, l’IA étroite peut reconnaître les visages, les voix ou les objets sur une image; jouer aux échecs; traduire des textes; conduire une voiture; ou rechercher des informations sur Internet. L’IA étroite est très performante pour accomplir sa tâche spécifique, mais elle ne peut pas s’étendre à d’autres domaines ou situations.
  • La superintelligence artificielle (ou ASI) est un type hypothétique d’IA qui serait capable de dépasser les capacités humaines dans tous les domaines et aspects cognitifs. La superintelligence artificielle serait plus intelligente que les meilleurs humains dans toutes les disciplines scientifiques, techniques, artistiques et sociales. La superintelligence artificielle pourrait aussi avoir une conscience et une sensibilité propres à elle-même. La superintelligence artificielle n’existe pas encore dans le monde réel, mais c’est une possibilité théorique qui suscite beaucoup d’intérêt et aussi beaucoup de craintes.

Sources : OpenAI, Ed Zitron, Gary Marcus

Et vous ?

Quel pourrait être l’impact de ces départs sur la direction de l’entreprise et sur la réalisation de l’IAG ?
Comment définiriez-vous l’intelligence artificielle générale ? Partagez votre compréhension de l’IAG et discutez de la proximité de sa réalisation.
Quelles sont les implications de l’IAG pour la société et la vie quotidienne ? Réfléchissez aux avantages et aux risques potentiels de l’IAG, notamment en matière d’emploi, d’éthique et de sécurité.
Quelles sont les limites actuelles des modèles de langage basés sur des lois d’échelle ? Explorez les critiques concernant les progrès récents dans l’IA et discutez des défis restants.
Comment pouvons-nous garantir que l’IAG soit développée de manière bénéfique pour l’humanité ? Evoquez les mesures nécessaires pour éviter les dérives potentielles de l’IAG.

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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 25/09/2024 à 7:35
Citation Envoyé par Jade Emy Voir le message
Pensez-vous que ces déclarations sont crédibles ou pertinentes ?
Bien sur, nous savons tous que le climat c'est comme une voiture, quand il est cassé on le répare, avec des tournevis et du WD40.
Bien sur, nous savons tous, surtout depuis la physique quantique, que la physique est un domaine fini que nous mettons du temps à découvrir parce que nous sommes médiocres.
Quel est votre avis sur le sujet ?
Sam Altman est un clown qui ne sait pas de quoi il parle.
Mais il le dit surement mieux que moi parce qu'il lève des millions d'euros avec ce genre d'intervention.
Sam Altman prévoit que l'IA sera une ressource qui fera l'objet de guerres et deviendra principalement un outil pour les riches.[...]
Bref la même chose qu'aujourd'hui mais en pire
[...]Mais Sam Altman affirme que des triomphes stupéfiants, comme réparer le climat, établir une colonie spatiale et découvrir toute la physique, finiront par devenir monnaie courante avec l'AGI
Ah beh tout va bien alors...
Ceci dit non seulement on va réparer le climat et découvrir la physique mais en plus se sera monnaie courante...
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Avatar de popo
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 25/09/2024 à 11:13
Mais Sam Altman affirme que des triomphes stupéfiants, comme réparer le climat, établir une colonie spatiale et découvrir toute la physique, finiront par devenir monnaie courante avec l'AGI
MDR, l'IA, dont l'entraînement et l'utilisation des modèles génèrent d'importantes émissions de CO2 et dont les centres de données nécessaires à son fonctionnement consomment d'importantes quantités d'eau pour le refroidissement, serait bon pour le climat !!!
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Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 24/09/2024 à 16:45
Il fume la même chose que Musk, celui-là ?
7  0 
Avatar de Fluxgraveon
Membre actif https://www.developpez.com
Le 25/09/2024 à 8:54
Sam Altman, PDG d'OpenAI, prévoit une superintelligence dans "quelques milliers de jours", qui permettra de réparer le climat, d'établir une colonie spatiale et de découvrir toute la physique
Fuite en avant, solutionnisme technologique, annonces itératives (Coué ?)
Le problème actuellement est dans l'orientation "business as usual" d'LLM par exemple : c'est comme de faire d'un-e hyperingénieur-e généraliste ... un distributeur de prospectus. Question d'usage et de mode de vie : faire croire que de frotter un smartphone va faire apparaître un génie alors qu'i s'agit de géolocaliser, orienter le désir, toussa ...
Hors la question n'est pas de savoir à qui ça profite : la question est de découvrir si un génie va apparaître. Et à l'intérieur de cette question, il y a : quel(s) vœu(x) allons-nous faire ?
Et ça ... c'est une question d'esprit.
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Avatar de DrHelmut
Membre actif https://www.developpez.com
Le 30/09/2024 à 7:57
Le terme "IA" dans la gen AI est un pur terme marketing (et ça marche) alors qu'on a en vérité un produit qui est un simple exécutant qui ne prend aucune décision.
Pour moi, la révolution est dans la capacité d'analyse sémantique, et il est vrai que ça permet des usages très cool, avec un gain de temps certain.

Mais il faut un prompt. L'outil fait (plutôt très bien) ce qu'on lui demande. Il n'y a pas d'intelligence, de capacité d'initiative, d'autonomie dans ce qu'on nous vend comme étant de l''IA aujourd'hui.
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Avatar de Jipété
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 30/09/2024 à 18:44
Citation Envoyé par OuftiBoy Voir le message
Pour en revenir au prédiction d'Altman, qui profétice qu'on aura cela dans quelques milliers de jours, c'est assez flou comme délai... quelques milliers de jours, c'est au minimum dans (2 milliers de jours), soit 6 ans (quelques induisant un chiffre > 1), soit dans (10 milliers de jour), et donc dans 27 ans, bref, ça ne veut strictement rien dire, c'est parler pour parler, et surtout pour ne rien dire.
Oh, il y en a tout plein, ici et ailleurs, qui écrivent pour écrire-pour-eux parce que les autres ne peuvent pas comprendre ce qui est écrit tellement c'est bourré de tout et n'importe quoi, suivez mon regard...
Par exemple, les bouts de phrases entre parenthèses peuvent en général être enlevés, ce qui pourrait donner c'est au minimum dans, soit 6 ans, soit dans, et donc dans 27 ans, charabia incompréhensible et gaspilleur d'espace disque, comme souvent ici.

Tu as une manière bien personnelle d'écrire et donc (d'essayer) de communiquer mais àmha, avec cette méthode tu vas dans le mur...
Tu devrais la revoir.
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Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 12/11/2024 à 11:57
est il vraiment pertinent de faire un gros modèle ?

j'ai déja eu un cas concret dans le passé (rien a voir avec les llm), plus on faisait un gros réseau de neurone avec de la data (de "qualité" en plus) plus le modèle était mauvais/stagnait (overfitting).
au final nous avons fait plusieurs petit modèle et un classifier en front pour choisir le modèle en fonction des données d'entrées, les résultats était bien meilleurs ainsi.
l'article parle t'il d'ia généraliste comme chatgpt ou d'ia spécialisé par exemple dans le code ou des 2 ?

De toute façon cette technos et fatalement limité par la production humaine, si demain l'ia remplace les devs, alors l'ia ne pourra plus évoluer. C'est grâce à des humains qui écrive des docs, trouve des bugs les corrige ou écrive sur les forum comment les contourner et donne des réponses bénévolement sur stackoverflow que l'ia progresse.

Or l’informatique c'est surement le domaine le moins stable dans le monde, y'a toujours une nouvelle technos, une nouvelle version, des patchs de sécurité a faire...si bien que il faut évoluer et s'adapter, pour un humain, c'est un aspect que l'on peut aimer ou détester, mais ce que l'on apprends à la sortie d'école et déjà obsolète, c'est de l'apprentissage continue.

edit: même dans le cas d'ia orienté code, une fois ratissez les forums style stackoverflow, c'est compliqué d'aller plus loins

par contre, j'imagine dans le futur une fonctionnalité pour les entreprises permettant de donner à l'ia toute la base de code et doc technique de l'entreprise et s'entrainer dessus, ainsi l'ia aurait le contexte de l'entreprise et le coding standard. Ca serait déja une belle amélioration dans la qualité des réponses.
par exemple je lui demande comment me connecter une l'api d'un service interne, elle va me donner le code, comment m'y connecter (demander à Jean Jacque sur teams de me crée un compte machine avec token en lecture, ensuite de tester la connexion avec ce code et enfin la fonctionnalité que vous avez demandez)
4  0 
Avatar de vVDB.fr
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 11/12/2024 à 17:33
Triste comme ces personnes peuvent fumer de la moquette !
Ils sont donc arrivé à faire une AI Générale !
Alors plus d'hallucinations, de mensonges, de biais ! Wahoo !!!
Cette AIG est capable d'évaluer la pertinence de ce qu'elle dit avec les sources ? De tester la robustesse des données de sa base d'intelligence ? D'en demander de supplémentaires car elle ne peut répondre a la question posée ? ...
Ah ! Non... Crottes !!!

Les IA des modèles actuels sont des perroquets scolastiques qui proposent le plus probable et normalement (malheureusement) incapables de produire une idée neuve par rapport à sa base d' apprentissage.
La connaissance encyclopédique n'est pas de l'intelligence, c'est juste bluffant.
Si cette iag fait de l'inférence, quelles sont les domaines mathématiques qu'elle aurait déjà épuisé ? Les trucs sympas qu'elle a démontré avec plus de finesse que l'humain ?
Altman sera mort avant que l'humanité le voit. Il est jeune Altman...
4  0 
Avatar de OuftiBoy
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 10/09/2024 à 2:50
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Un professeur d'informatique du MIT teste l'impact de l'IA sur la formation des programmeurs :
l'attention constante portée à l'intégration de l'IA dans la plupart des secteurs d'activité modifie la manière dont l'informatique est enseignée

L’intelligence artificielle (IA) transforme de nombreux secteurs, y compris l’éducation. Une récente expérience menée par Eric Klopfer, professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), a exploré comment l’IA influence l’apprentissage des programmeurs.

L'automne dernier, Eric Klopfer a décidé de mener une expérience dans son cours d'informatique de premier cycle au Massachusetts Institute of Technology (MIT). Il a divisé la classe en trois groupes et leur a donné une tâche de programmation à résoudre en langage Fortran, qu'aucun d'entre eux ne connaissait.

Chaque groupe avait accès à différents outils pour résoudre le problème :
  • Un groupe a été autorisé à utiliser ChatGPT pour résoudre le problème;
  • le deuxième groupe a été invité à utiliser le grand modèle linguistique (LLM) Code Llama de Meta ;
  • et le troisième groupe n'a pu utiliser que Google, sans assistance d’IA.

L’objectif était de comparer non seulement la rapidité avec laquelle chaque groupe pouvait résoudre le problème, mais aussi la qualité de leur compréhension et leur capacité à retenir les informations.


Les résultats

Les résultats ont montré que le groupe utilisant ChatGPT a résolu le problème le plus rapidement, suivi par le groupe utilisant Code Llama, et enfin le groupe utilisant Google, qui a mis encore plus de temps, car il a dû décomposer la tâche en plusieurs éléments.

Cependant, lorsque les étudiants ont été testés sur leur capacité à résoudre le problème de mémoire, les résultats ont été inversés : le groupe ChatGPT « ne s'est souvenu de rien et a échoué », se souvient Klopfer, professeur et directeur du programme de formation des enseignants Scheller du MIT et de The Education Arcade. En revanche, la moitié du groupe Code Llama a réussi le test. Le groupe qui a utilisé Google ? Tous les élèves ont réussi.

« Il s'agit d'une leçon éducative importante », a déclaré Klopfer. « Travailler dur et se battre est en fait une façon importante d'apprendre. Lorsqu'on vous donne une réponse, vous ne vous débattez pas et vous n'apprenez pas. Et lorsque le problème devient plus complexe, il est fastidieux de revenir au début d'un grand modèle de langage pour tenter de comprendre et l'intégrer. »
C'est le vrai problème que causera l'IA au niveau du métier de développeur. Le métier de développeur n'aura plus aucune saveur. Et petit à petit ce "savoir" se perdra. Tout simplement parce qu'il n'intêressera plus personne. Se "former" pour devenir un bon développeur, puis ensuite ne se servir de se savoir que rarement, et en fait surveiller la sortie de l'IA n'a aucun intêret.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
En revanche, la décomposition du problème en éléments permet d'utiliser un LLM pour travailler sur de petits aspects, au lieu d'essayer d'utiliser le modèle pour l'ensemble d'un projet, ajoute-t-il. « Ces compétences, qui consistent à décomposer le problème, sont essentielles à l'apprentissage ».
Généralement, c'est le "chef de produit" qui s'occupe soit bien de ce travail (car il a au départ une formation de développeur), soit mal (car il n'a pas eu au départ une formation de développeur). Mais actuellement, c'est le développeur qui implémente une partie d'un morceau du soucis, soit s'arrache les cheveux pour essayer de comprendre ce qu'essayé d'exprimer un "chef de projet" qui ne connait rien au métier de développeur.

Mais c'est déjà une "pratique" qui existe maintenant. Avant, il y avait un développeur qui s'occupait de tout le code. Puis les projet se sont complexifiés, pas forcément par nécessité, mais pour des raisons de "marketing" et "segmentation" de marché. Et le développeur ne s'occupe plus de l'ensemble du projet, ce qui est très néfaste pour son impliquation dans le projet. Avant, il créait quelque chose, et maintenant il doit construire des brique sans vue d'ensemble du projet, il ne sait plus s'approprier le projet, et c'est très frustrant. Et puis surtout, ça ne sert pas à grand chose.

Il n'y a pas si longtemps, une équipe de 3 personnes gérait un projet et sortait le produit en 1 ans. Maintenant, c'est 9 personnes qui s'occupe d'un projet, et le produit prend 3 ans a être au point.

C'est la triple peine, des équipes plus grosses, plus de communication, plus de réunions, et des gens démotivés car il savent plus se sentir responsable des bout de code qu'on leur donne à faire. Et celui qui est le mieux placé pour faire avancer le schilblick, c'est le développeur. Parce qu'on peut décrire ce qu'il y a à faire, (mais c'est souvent incompréhensible pour le développeur qui doit partir à la recherche d'information).

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Cet exemple a permis à Klopfer de conclure avec confiance que l'informatique n'est pas condamnée à l'heure où l'IA se fraye un chemin dans tous les secteurs d'activité. D'autres experts en informatique conviennent que plus l'IA sera utilisée, plus la nature des emplois changera, et qu'il faudra donc continuer à enseigner aux humains des concepts de base tels que les statistiques et la connaissance du fonctionnement des systèmes.
Vu de cette manière, ça retire tout l'intêret du métier.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
« Il faut toujours les bases pour être des informaticiens et des ingénieurs logiciels efficaces », a déclaré Beena Ammanath, responsable de l'IA digne de confiance et de la technologie éthique chez Deloitte.
Je le redit, ça n'intéressera plus personne, car ce ne sera plus valorisant pour la personne. Et permettez-moi de rire un bon coups quand j'entend de tel dénomination de fonction: responsable de l'IA digne de confiance et de la technologie éthique. Beaucoup de mots mais se qu'ils signifie reste plus que flou. Déjà parce qu'actuellement, il n'y a aucune IA digne de confiance, et j'aimerai qu'on me dise ce qu'est une technologie "éthique" ? La technologie est ce qu'elle est, c'est ce qu'on en fait qui est éthique ou pas.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Malgré toutes les craintes concernant les suppressions d'emplois dues à l'IA, une étude récente du Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory (CSAIL) du MIT a révélé que l'automatisation des emplois humains pourrait prendre plus de temps qu'on ne le pensait auparavant. Selon l'étude, seuls 23 % environ des salaires liés aux tâches de vision pourraient être remplacés de manière rentable par l'IA, ce qui indique que le déplacement des emplois dû à l'IA, en particulier dans le domaine de la vision par ordinateur, risque de se produire plus lentement qu'on ne l'avait envisagé au départ.
Bein oui, quand l'IA sera au point, et ne fera plus de bugs, oh pardon, on doit dire "hallucination" dans le jargon de l'IA.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Les résultats « suggèrent que nous devrions nous attendre à ce que les effets de l'automatisation de l'IA soient moins importants que les effets d'automatisation/destruction d'emplois déjà observés dans l'économie », indique l'étude. « Il n'est pas certain que l'ajout de l'automatisation par l'IA à ces effets existants augmentera de manière substantielle la destruction globale d'emplois. Bien qu'il soit probable que des emplois soient perdus, « nous pensons également qu'une fraction substantielle de l'automatisation des tâches par l'IA se produira dans des domaines où l'automatisation traditionnelle est en cours », observe l'étude du CSAIL.


Comment l'enseignement de l'informatique va évoluer pour aborder l'IA

L'accent mis sur l'intégration de l'IA dans la plupart des secteurs d'activité va également modifier la manière dont l'informatique sera enseignée, offrant des opportunités « tout à fait considérables », selon Risto Miikkulainen, professeur d'informatique à l'université du Texas à Austin et vice-président associé de l'intelligence évolutive chez Cognizant AI Labs.

Avec l'arrivée d'outils tels que le chatbot Copilot de Microsoft, par exemple, certains pourraient se demander pourquoi ils devraient se donner la peine d'apprendre à coder. Miikkulainen pense que les étudiants utilisent Copilot et d'autres chatbots principalement « comme un tuteur pour les devoirs de programmation » afin de suggérer des modifications.

« Tout d'un coup, l'enseignement de la programmation devient beaucoup plus vivant », explique Miikkulainen.

Reid Gordon Simmons, professeur de recherche à l'Institut de robotique de l'université Carnegie Mellon, ajoute que, de la même manière que les compilateurs traduisent le code source d'un langage de programmation en code machine, ce qui évite aux ingénieurs en informatique d'avoir à comprendre les assembleurs, « l'utilisation de l'IA et de la ML rendra de moins en moins nécessaire la compréhension des détails du codage ».

Cependant, il est toujours important d'apprendre aux gens à coder, tout simplement parce qu'une partie du travail d'informaticien consiste à comprendre les processus, a déclaré Simmons. « Mon analogie est d'enseigner l'arithmétique à des enfants de sept ans. Lorsque vous arrivez au collège, plus personne ne fait d'arithmétique à la main ; vous utilisez des calculatrices ».
Faudrait savoir, l'IA va tout pondre via un prompt du marketing ou bien il faudra toujours savoir développer ?

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Même si les calculatrices peuvent faire le travail à votre place, vous devez toujours comprendre les concepts, a-t-il ajouté. « De même, les informaticiens devront comprendre les principes fondamentaux de la programmation afin d'être efficaces dans leur travail, mais tout comme avec les calculatrices, ils n'auront pas à coder beaucoup ».
Et si on demandait à un physicien nucléaire de faire 10 ans d'étude pour connaitre le métier, puis qu'il ne peut que vérifier si l'IA ne se trompe pas ? On ira droit dans le mur, car petit à petit, on fera de plus en plus confiance à l'IA, et quand surviendra un problème à une centrale nucléaire que l'IA ne sait réssoudre, le gars dont on a mit les compétance en veilleuse pendant 20 ans, il ne va forcément bien réagir, ni rapidement, parce le savoir se sera perdu au fil du temps.

C'est finalement comme une tesla AutoPilot FSD qui conduit toute seule (enfin, l'année prochaine, comme c'est promis toutes les années), mais dont l e conducteur doit rester à l'éveil, pour "reprendre la main" en cas de soucis. Reprendre la main en cas de soucis prend plus de temps que si on est concentré sur la conduite au moment de prendre une décision.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
L'IA nécessite l'enseignement de disciplines ou d'aspects entièrement nouveaux de l'informatique, tels que l'IA responsable et la manière d'empêcher l'utilisation abusive de l'IA, a déclaré Miikkulainen. « Il y aura tellement de gens qui utiliseront [les systèmes d'IA] sans comprendre ce qu'il y a sous le capot ».
Ah oui bien sur, l'IA fera tout, mais si ça foire, ce sera pas à cause de l'IA, mais de son utilisateur. Et comment définir ce qu'est une utilisation abusive de l'IA ? Parce que ça m'étonnerait que la réponse soit la même en chine qu'usa on europe ou

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
De nouvelles filières universitaires apparaîtront également dans des domaines tels que la science des données, l'apprentissage automatique, l'expérience utilisateur et l'ingénierie mobile, ainsi que dans des branches spécifiques de l'IA, telles que l'IA générative, les LLM et la vision par ordinateur, a déclaré Ammanath de Deloitte. Cela permettra non seulement de préparer les étudiants aux emplois du futur proche et de les rendre plus commercialisables, mais aussi de maintenir la compétitivité des États-Unis par rapport aux autres pays dans la course mondiale à l'armement en matière d'IA.
Bein si c'est ça le futur, je suis bien content que je ne serait plus là pour le voir. Puisse qu'on parle d'éthique un peut plus haut, si on utilisait l'IA pour libérer l"homme de certaines tâches, et qu'on les laissent s'épanouir sur des choses qu'ils aiment vraiment ? Non, bien évidemment la course à la sacro-sainte "productivité" qui ne profite qu'a une élite bien installée, ce n'est pas l'idée, suis-je bête.

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Les éducateurs face aux hallucinations des LLM : enseigner à être sceptique dans un monde de textes générés par l'IA

Les éducateurs sont prudents, compte tenu de la tendance à l'hallucination du LLM. « Nous devons apprendre aux étudiants à être sceptiques à l'égard des résultats et à s'approprier la vérification et la validation de ces derniers », explique Jeanna Matthews, professeur d'informatique à l'université Clarkson de Potsdam, dans l'État de New York. .

Il ajoute que l'IA générative « peut court-circuiter le processus d'apprentissage des étudiants qui s'y fient trop ». Chang reconnaît que cette dépendance excessive peut être un piège et conseille à ses camarades étudiants d'explorer eux-mêmes les solutions possibles aux problèmes afin de ne pas perdre cette pensée critique ou ce processus d'apprentissage efficace. « Nous devrions faire de l'IA un copilote - et non le pilote automatique - de l'apprentissage », déclare-t-il.

ChatGPT a impressionné le monde par la profondeur de ses connaissances et la fluidité de ses réponses, mais un problème a entravé son utilité : Il n'arrête pas d'halluciner. Oui, les grands modèles de langage (LLM) hallucinent, un concept popularisé par les chercheurs en IA de Google en 2018. Dans ce contexte, l'hallucination fait référence à des erreurs dans le texte généré qui sont sémantiquement ou syntaxiquement plausibles, mais qui sont en fait incorrectes ou absurdes. En bref, vous ne pouvez pas faire confiance à ce que la machine vous dit.

C'est pourquoi, même si le Codex d'OpenAI ou le Copilot de Github peuvent écrire du code, un programmeur expérimenté doit toujours examiner le résultat - l'approuver, le corriger ou le rejeter avant de le laisser se glisser dans une base de code où il pourrait faire des ravages. Les enseignants du secondaire apprennent la même chose. Un rapport de lecture ou un essai historique rédigé par ChatGPT peut être facile à lire, mais peut facilement contenir des « faits » erronés que l'élève était trop paresseux pour déceler.

Les hallucinations constituent un problème sérieux. Bill Gates a imaginé que ChatGPT ou d'autres modèles linguistiques de grande taille pourraient un jour fournir des conseils médicaux aux personnes qui n'ont pas accès à un médecin. Mais on ne peut pas se fier aux conseils d'une machine sujette aux hallucinations.
Mais que tout cela est beau. On va former des chirurgiens qui ne fera que 3 opérations dans leur vie ? Vous croyez vraiment que ça va intéresser quelqu'un ? Non, on jetera sur la personne dans une benne, et vive le soleil vert (les connaisseurs comprendront)

Conclusion

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
L’expérience de Klopfer au MIT offre des leçons précieuses pour l’intégration de l’IA dans l’éducation. Bien que l’IA puisse accélérer la résolution de problèmes, elle ne doit pas remplacer les méthodes d’apprentissage qui encouragent la compréhension et la rétention à long terme. Les éducateurs doivent trouver un équilibre pour tirer le meilleur parti des technologies avancées tout en assurant un apprentissage efficace et durable.

Quelles sont vos pensées sur l’utilisation de l’IA dans l’éducation ? Pensez-vous que les outils d’IA devraient être intégrés davantage dans les programmes scolaires, ou y a-t-il des risques à considérer ? Partagez vos opinions dans les commentaires ci-dessous !

Sources : MIT Scheller Teacher Education Program, Au-delà de l'exposition à l'IA : quelles sont les tâches qu'il est rentable d'automatiser grâce à la vision par ordinateur ?, ACM

Et vous ?

Quels sont, selon vous, les avantages et les inconvénients de l’utilisation de l’IA comme outil d’apprentissage pour les programmeurs ?
Pensez-vous que l’IA pourrait remplacer les méthodes d’enseignement traditionnelles, ou devrait-elle être utilisée en complément ? Pourquoi ?
Avez-vous déjà utilisé des outils d’IA pour apprendre à programmer ? Si oui, comment cela a-t-il influencé votre apprentissage ?
Comment les éducateurs peuvent-ils équilibrer l’utilisation de l’IA avec des méthodes d’apprentissage plus traditionnelles pour garantir une compréhension approfondie des concepts ?
Quels sont les risques potentiels de dépendre trop fortement de l’IA pour l’éducation, et comment pouvons-nous les atténuer ?
Pensez-vous que l’IA pourrait aider à personnaliser l’apprentissage en fonction des besoins individuels des étudiants ? Si oui, comment ?
Comment voyez-vous l’avenir de l’éducation en informatique avec l’intégration croissante de l’IA ?
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Il y a 2 possibilité. Soit l'IA remplace l'fomme et bienvenu dans le monde "d'Idiocratie", Soit l'IA telle que réveé par certains ne sera pas là avant des dizaine d'année si pas des milliers. Sans compter que tout se ressemblera, l'IA n'inventant rien.
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Avatar de OuftiBoy
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 25/09/2024 à 20:58
Citation Envoyé par Jules34 Voir le message
Quelle arrogance de croire qu'ils pourront réparer la nature ou percer les secrets de la physique... Le propre de la science c'est justement de toujours plus se poser de question !
La majorité des avançées scientifiques ont été portées par des "esprits brillants" qui n'acceptaient pas l'immobilisme des choses "en place". C'est un réflexe humain de protection. Si quelqu'un dit que tu as tord, tu vas d'abord te défendre, ne pas admettre tes erreurs, ni te remettre en question. Il faut bien du courage à celui qui pense ou propose "une autre vérité". Face à cette situation, il y a 2 réactions possibles:

  • Soit tu rentre dans le rang, tu oublie ta pensée, met ton arrogance de côté, et tu rentre dans le cercle des camas, et tu auras une vie bien planqué.
  • Soit tu maintient ton propos, tu peaufines tes arguments, tu améliores ton propos, aiguisse tes arguments, et tu repart au combat. C'est un chemin plus difficile, mais bien plus honnorable.


BàT et Peace & Love.
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