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OpenAI lève plus de 6,5 milliards de dollars et atteint une valorisation de 157 milliards de dollars.
L'entreprise demande aux investisseurs de ne pas soutenir la concurrence comme xAI d'Elon Musk

Le , par Stéphane le calme

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5  0 
OpenAI a récemment clôturé une nouvelle levée de fonds impressionnante de 6,6 milliards de dollars, portant sa valorisation à 157 milliards de dollars, soit près du double de son évaluation précédente de 86 milliards de dollars. Cette levée de fonds, l’une des plus importantes jamais réalisées dans le secteur privé, renforce la position d’OpenAI parmi les startups avec les plus valorisées au monde, aux côtés de SpaceX et ByteDance.

Ce tour de table est assorti de conditions : les investisseurs ont le droit de retirer leur argent si OpenAI ne parvient pas à passer du statut d'organisation à but non lucratif (avec une division à but lucratif) à celui d'entreprise à but entièrement lucratif. En outre, OpenAI a demandé aux investisseurs de ne pas soutenir des start-ups concurrentes telles que xAI d'Elon Musk.


« Nous avons levé 6,6 milliards de dollars de nouveaux fonds, pour une valorisation de 157 milliards de dollars, afin d'accélérer les progrès de notre mission. Ce nouveau financement nous permettra de renforcer notre leadership dans la recherche fondamentale sur l'IA, d'augmenter notre capacité de calcul et de continuer à créer des outils qui aident les gens à résoudre des problèmes difficiles ».

Bien qu'OpenAI n'ait pas nommé les investisseurs dans le communiqué de presse de mercredi, une personne au courant de l'affaire a déclaré que le tour de table était mené par Thrive Capital et comprenait la participation du bailleur de fonds existant Microsoft ainsi que du fabricant de puces Nvidia, de SoftBank et d'autres.

La société de capital-risque Thrive Capital a mené le tour de table avec un investissement de 1,25 milliard de dollars. Microsoft, qui soutient depuis longtemps OpenAI à hauteur de 13 milliards de dollars, a contribué à ce dernier tour de table à hauteur d'un peu moins d'un milliard de dollars. De nouveaux investisseurs ont rejoint le tour de table, notamment SoftBank avec un investissement de 500 millions de dollars et Nvidia avec 100 millions de dollars.

La société MGX, basée aux Émirats arabes unis, a également investi dans OpenAI lors de ce tour de table. MGX a été très actif dans le domaine de l'IA récemment, en rejoignant le mois dernier un partenariat d'infrastructure d'IA dirigé par Microsoft.

Apple était notamment en pourparlers pour investir, mais n'a finalement pas participé. Le WSJ rapporte que l'investissement minimum requis pour examiner les documents financiers d'OpenAI était de 250 millions de dollars. En juin, OpenAI a embauché son premier directeur financier, Sarah Friar, qui a joué un rôle important dans l'organisation de ce cycle de financement, selon le WSJ.

OpenAI demande aux investisseurs de ne pas soutenir des start-ups concurrentes telles que xAI d'Elon Musk

Cependant, cette levée de fonds s’accompagne de conditions strictes. Au cours des négociations, la société a clairement indiqué qu'elle attendait un accord de financement exclusif, selon trois personnes ayant eu connaissance des discussions. OpenAI a demandé à ses investisseurs de ne pas soutenir les startups concurrentes, notamment xAI, la nouvelle entreprise d’Elon Musk. Cette stratégie vise à protéger les intérêts d’OpenAI et à maintenir son avance dans le domaine de l’IA.

La recherche de relations exclusives avec les investisseurs limite l'accès des rivaux aux capitaux et aux partenariats stratégiques. La démarche du fabricant de ChatGPT risque d'attiser les tensions existantes avec ses concurrents, notamment Musk, qui poursuit OpenAI en justice.

Les sociétés de capital-risque ont accès à des informations sensibles sur les entreprises dans lesquelles elles investissent, et des relations étroites avec une entreprise peuvent rendre difficile ou litigieux le fait de soutenir également un rival.

Toutefois, les sociétés de capital-risque insistent rarement sur l'exclusivité, et de nombreuses sociétés de premier plan ont réparti leurs investissements dans certains secteurs. Sequoia Capital et Andreessen Horowitz, par exemple, ont soutenu plusieurs start-ups dans le domaine de l'IA, notamment OpenAI et xAI de Musk.

OpenAI peut bénéficier de conditions inhabituelles et d'une évaluation surévaluée parce que les investisseurs pensent que l'entreprise pourrait dominer la prochaine vague d'innovation en matière d'IA, qui, selon eux, constituera un changement de comportement des consommateurs aussi important que l'internet ou la téléphonie mobile.

Le tour de table ayant été sursouscrit, OpenAI a dit aux investisseurs : « Nous vous donnerons une allocation, mais nous voulons que vous soyez impliqués de manière significative dans l'entreprise, de sorte que vous ne puissiez pas vous engager auprès de nos concurrents » », a déclaré une personne au courant de l'opération.

Un partenaire d'une grande société de capital-risque a fait remarquer que l'application de covoiturage Uber avait une politique similaire « lorsqu'elle était en pleine domination mondiale », ajoutant : « Si une entreprise a toutes les cartes en main, elle peut forcer les gens à faire des choses anormales ».


Altman aurait engagé des pourparlers pour détenir des actions, alors qu'il avait précédemment déclaré qu'il ne souhaitait pas le faire

Les investisseurs ont dû prendre en compte les récentes turbulences de l'entreprise, y compris un coup d'État au sein du conseil d'administration il y a un an, au cours duquel le fondateur Altman a été brièvement évincé. La semaine dernière, Mira Murati, directrice de la technologie, a annoncé à la surprise générale qu'elle quittait l'entreprise, dernier départ en date d'une série de départs de cadres supérieurs cette année.

OpenAI travaille également sur une restructuration de l'entreprise qui éloignerait la start-up de ses origines en tant qu'organisation à but non lucratif et permettrait aux investisseurs de profiter davantage des bénéfices si la start-up devenait rentable.

Selon des personnes au fait de ces discussions, Altman avait engagé des pourparlers en vue de détenir des actions de la société dans le cadre de la nouvelle levée de fonds, alors qu'il avait précédemment déclaré qu'il ne souhaitait pas prendre de participation dans le groupe.

Toutefois, il a qualifié de « ridicules » les informations selon lesquelles il obtiendrait une participation de 7 % dans la nouvelle entité à but lucratif, qui vaudrait plus de 10 milliards de dollars, lors d'une réunion du personnel.

Néanmoins, le président d'OpenAI, Bret Taylor, a déclaré aux médias la semaine dernière que le conseil d'administration avait discuté de la question, mais qu'aucun chiffre précis n'avait été mis sur la table. « Le conseil d'administration a discuté de la question de savoir s'il serait bénéfique pour l'entreprise et notre mission de rémunérer Sam avec des actions, mais aucun chiffre spécifique n'a été discuté et aucune décision n'a été prise », a déclaré Taylor.

Musk, qui a cofondé et aidé à financer OpenAI en 2015 mais s'est retiré trois ans plus tard, a intenté une action en justice en août, alléguant que la start-up a abandonné sa mission originale à but non lucratif au profit de l'humanité lorsqu'elle a convenu d'un partenariat commercial avec Microsoft. Musk a accusé Altman de « tromperie aux proportions shakespeariennes » et l'action en justice vise à annuler l'accord avec Microsoft, qui fait également l'objet d'une enquête de la part des autorités de régulation antitrust américaines et européennes.

Bien qu'OpenAI soit la plus grande entreprise de la Silicon Valley financée par le capital-risque, elle est dépassée en termes de valorisation par la société chinoise ByteDance et SpaceX, située dans le sud de la Californie et fondée par Musk.


Malgré cette levée de fonds massive, OpenAI fait face à des défis importants.

L'augmentation des achats d'unités de traitement graphique

La société prévoit de générer 3,6 milliards de dollars de revenus cette année, mais avec des pertes dépassant les 5 milliards de dollars. Tous ces revenus sont extrêmement coûteux, car OpenAI doit augmenter ses achats d'unités de traitement graphique (GPU) de Nvidia pour entraîner et faire fonctionner ses grands modèles de langage.

La société a généré 300 millions de dollars de revenus en septembre 2024, soit une hausse de 1 700 % depuis le début de l'année 2023, et s'attend à réaliser un chiffre d'affaires de 11,6 milliards de dollars pour l'année 2025. Cette croissance rapide est alimentée par la popularité de ChatGPT, qui compte désormais 250 millions d’utilisateurs actifs hebdomadaires.

Il y a également 11 millions d'abonnés à ChatGPT Plus et 1 million d'utilisateurs professionnels payants sur ChatGPT, a déclaré une personne proche de l'entreprise.

« L'IA personnalise déjà l'apprentissage, accélère les progrès dans le domaine de la santé et stimule la productivité », a déclaré Sarah Friar, directrice financière de l'entreprise, dans le communiqué. « Et ce n'est qu'un début ».


La perte de cadres clés

OpenAI connaît de nombreuses difficultés de croissance, notamment la perte de cadres clés, une tendance qui s'est poursuivie la semaine dernière....
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Avatar de edrobal
Membre averti https://www.developpez.com
Le 26/11/2024 à 11:49
Mais ces gens ne peuvent pas créer de l'intelligence, seulement accumuler des données ce qui n'est pas de l'intelligence. Cela rappelle le débat entre Montaigne et Rabelais : une tête bien pleine ou une tête bien faite. Je prêche dans le vide mais je répète que l'IA cela n'existe pas, c'est juste un habillage de marketing pour des algorithmes de traitement de masses de données.
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Avatar de petitours
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 14/03/2025 à 10:31
L'art de vouloir le beurre , l'argent du beurre et la crémière, le tout en tuant la poule aux œufs d'or

Tout ceci ne fait que montrer que l'IA n'a pas de valeur, seuls ceux qui créent la donnée produisent de la valeur.

Pourquoi n'évoque t-il pas le fait logique et simple de rémunérer les créateurs de valeur ?
7  0 
Avatar de petitours
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 14/03/2025 à 15:04
Citation Envoyé par Artaeus Voir le message
[...] les ayants droits [...]
oui les ayants droits

Citation Envoyé par Artaeus Voir le message
J'ai beaucoup de mal avec cette idée que les ayants droits doivent toujours toucher de l'argent pour un entrainement d'IA ...

L'IA est un simple réseau de neurone qui ne reproduit pas l'oeuvre, tout comme un être humain peu s'inspirer d'un film/livre.
A-t-on payer un "droit" quand les robots ont remplacé les caissières ou les ouvriers ? Ont-ils eut la moindre compensation ? Pourquoi les artistes (en vrai, les ayants-droits) auraient ce privilèges ?

A la rigueur, l'IA devrait payer une fois l'oeuvre comme un humain, et c'est tout, pour éviter que les ayants-droits aient encore une rente supplémentaire.
L'IA ne reproduit pas l'oeuvre mais elle fait du beurre grace à l'oeuvre et dans ce cas précis elle met en difficulté l'auteur qui ne peut plus se rémunérer.

Un exemple pour aider à comprendre : les films. Qui produirait des films s'il fallait dépenser des millions pour les faire et ne jamais rien toucher en retour ?

Pour la caissière c'est malheureux et la remplacer par un robot une vraie ânerie sociétale, mais son sujet a absolument rien à voir avec le problème du droit d'auteur.

Et ça ne concerne pas que les artistes, ça concerne tous ceux qui produisent du contenu de valeur. S'ils ne peuvent plus se rémunérer (= vivre) ils font comment ?
6  0 
Avatar de OuftiBoy
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 03/12/2024 à 16:08


Citation Envoyé par edrobal Voir le message
Je prêche dans le vide mais je répète que l'IA cela n'existe pas, c'est juste un habillage de marketing pour des algorithmes de traitement de masses de données.
Oui, l'IA n'existe pas. C'est juste, comme tu le dis bien, un habillage marketing, où l'on remplace le terme "Algorithme" par le terme "IA". La différence de perception, seuls des gens sachant de quoi ils parlent savent la comprendre.

Mr. et Md. "tout-le-monde" y croyent car avant on leur parlait de "technique", et ça leur passait au-dessus de la tête. Renommer algorithme par IA, et ça les touchent un peu plus, car dans le terme IA, il y a "intelligence", chose qu'ils "comprennent mieux".

Quand on me parle de l'IA, je finis toujours par : "Et à fin, il y a un 'IF'. Un oui ou non.

Mais l'IA est une "nouvelle" sorte d'algo, qui fait un énorme traitement, d'une toute aussi énorme masse de données, et utilisant une gigantesque quantité d'énergie. Cette manière de procéder est nouvelle, dans le sens où elle n'était (par des limites matérielles) pas possible auparavant.

Comme beaucoups d'autres "inventions", il y aura du bon et du mauvais. Cette manière de procéder sera adaptée à certains domaines, et n'apportera rien dans d'autres domaines. Cela dépendra aussi de la qualité et de la pertinence des données que pourra traiter une IA.

Un peu d'histoire...

  • L'imprimerie en tant que "technique" ne faisait rien de "miraculeux", mais ça a aidé à diffuser le "savoir". L'imprimerie étant plus rapide qu'un moine copiste.
  • La radio ne créait rien non plus, mais a permis une plus grande diffusion du savoir.
  • Internet, à ses débuts, a aider à partager le savoir.
  • Les moteurs de recherche on permis de "trouver plus vite" le savoir.
  • L'IA va aider a mettre en pratique un savoir, et c'est là le danger. L'IA ne va rien "inventer", mais va permettre à des "non initiés" de "(re)produire" des "choses" qu'ils ne maîtrissent pas. Où est le danger ? Pour moi, l'écart va se creuser entre ceux "qui savent" et d'autres "qui font".


En résumant, ce n'est pas parce que l'on sait utiliser une calculatrice, qu'il ne faut pas continuer a apprendre les mathématiques.

BàV et Peace & Love.
4  0 
Avatar de Gluups
Membre expert https://www.developpez.com
Le 15/03/2025 à 14:02
Citation Envoyé par Artaeus Voir le message
pour éviter que les ayants-droits aient encore une rente supplémentaire.
Est-ce que ce n'est pas justement ce qu'il convient de ne pas éviter ?

Il a bien fallu quelqu'un pour que l'œuvre existe.
4  0 
Avatar de fodger75
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 29/04/2025 à 10:25
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
je ne cautionne pas le surmenage et le management par le stress.
mais:

On est quand même la sur des problèmes de riches.

Se plaindre de faire 40h/semaines et ne pas avoir le repas de midi gratos... le réveil est brutal pour certains
Moi je faisais ma gamelle la veille en France, et désormais je bosse 46/semaines, j'ai par contre 2j de télétravail. Je ne m'en plains pas.

Mais au bout du compte le plus important c'est le ratio travail/salaire. Il aurait été intéressant de connaitre le salaire de ces salariés par rapport à leurs valeurs moyenne sur le marché.
Si ils sont en haut, ça me semble normal de beaucoup travailler.
Je suis perso à +16000€/mois pour 46h de taff, je préfère cela a mon ancien travail en France moins stressant et mes 35h en France payé 3000€ net.

Il parait que Macron a invité les chercheurs américains a venir en France, donc venez en france faire vos 35h tranquille.
Mais faudra accepter aussi le salaire qui va avec

Je connais pleins de sud coréens et d'indiens qui viendront prendre votre place et salaire aux usa.

Bref il manque pas mal d'information sur ces salariés pour vraiment les plaindre ou pas.
Problème de riche... il va falloir relire la définition.

Tes 16 ke / mois si tu es toujours en France, c'est que tu es dans les 1% de la population et oui dans ce cas toi tu es riche.

Si tu as accepté n'importe quoi c'est ton problème, ça ne veut pas dire que les autres doivent le faire aussi et surtout au 21 ème siècle.
Tout en sachant que 90% de la richesse qu'on produit ne profite en réalité qu'à une poignée.

Hors de question de mettre sa santé en jeu, nous ne sommes pas des esclaves.

Cet article est complètement orienté et propre aux états-unis.

La France, les citoyens subissent une injustice fiscale intolérable, 80 milliards d'évasion par an.
400 Milliards d'aide public absorbés par les grands groupes sans aucun impact sur l'emploi.

L'union fait la force, c'est tout l'Europe, la France qui doit dire stop.
5  1 
Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 12/12/2024 à 23:44
C'est toujours la même chose : ceux qui prônent une économie dérégulée et qui chient sur un état qui les contraint dans leurs mouvements sont les premiers à venir pleurer auprès de l'état quand ce ne sont pas eux qui sont en position de force.

"Un marché libre, oui, mais à condition que je sois toujours gagnant."

Qu'il soient fabricants de voitures, d'avions ou d'ordinateurs, c'est le même scénario.
2  0 
Avatar de Nym4x
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 15/03/2025 à 6:03
C’est juste du pillage de connaissance et
d’œuvres à des fins commerciales. C’est un peu comme si je me mettais à photocopier des livres, puis à découper des passages des photocopies pour les assembler afin de faire un nouveau livre pour ensuite le vendre à d’autres personnes en me faisant un max d’argent. Le tout de façon automatisée et massive. Vu le sacro saint droit de propriété aux États Unis, je ne pense pas que le pilllage dure encore bien longtemps…
2  0 
Avatar de vertex.3F
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 07/05/2025 à 14:07
Citation Envoyé par fodger75 Voir le message
Problème de riche... il va falloir relire la définition.

Tes 16 ke / mois si tu es toujours en France, c'est que tu es dans les 1% de la population et oui dans ce cas toi tu es riche.

Si tu as accepté n'importe quoi c'est ton problème, ça ne veut pas dire que les autres doivent le faire aussi et surtout au 21 ème siècle.
Tout en sachant que 90% de la richesse qu'on produit ne profite en réalité qu'à une poignée.

Hors de question de mettre sa santé en jeu, nous ne sommes pas des esclaves.

Cet article est complètement orienté et propre aux états-unis.

La France, les citoyens subissent une injustice fiscale intolérable, 80 milliards d'évasion par an.
400 Milliards d'aide public absorbés par les grands groupes sans aucun impact sur l'emploi.

L'union fait la force, c'est tout l'Europe, la France qui doit dire stop.
Bonjour, je pense que je suis d'accord avec ce que tu avances.

Malheureusement aujourd hui j'ai l'impression que dans le monde ce sont les systemes économiques libéraux qui ont pris le dessus sur les autres systemes un peu plus régulés et equilibrés. Les individus comme les organisations et les états sont pris au piège de nombreuses contradictions.

Les humains doivent-ils etre au service des systemes économiques ou bien au contraire les systemes économiques ne devraient-ils pas retrouver leur finalité d'origine qui est de servir la cause humaine ?

L'humain qui désirerait un systeme économique libéral devrait aussi accepter d'être considéré par l'entreprise economique comme une simple ressource. Au meme titre qu'une machine.
Je simplifie mais je crois que je n'ai pas besoin de developper. Ni de rappeler l'intox qui consiste pour certains parasites à faire l'amalgame entre le libéralisme philosophique ( le libéralisme prône une société fondée sur la liberté d'expression des individus dans le respect du droit, du pluralisme et du libre échange des idées https://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme ) et le libéralisme économique (le fameux capitalisme, jadis bénéfique mais aujourd hui défaillant et ravageur pour les ressources humaines https://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3...C3%A9conomique ).
2  0 
Avatar de Mat.M
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 01/01/2025 à 20:20
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
les "talents" devrait urgemment trouver du taff ailleurs car il n'ont plus aucun avenir chez amazon, surement plus aucune augmentation de salaire et des conditions de travails qui vont se dégrader.
hhhmm je pense que chez Amazon c'est surtout des caristes, des préparateurs de commande, des manutentionnaires oui dont on a besoin et non pas des salariés de la tech..
et si ça ne recrute plus dans la tech vous seriez prêt à travailler comme manutentionnaire chez Amazon ?
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