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France : la Commission de l'IA publie une liste de recommandations pour faire du pays un champion mondial en la matière,
Les six axes majeurs d'action peuvent-ils permettre de détrôner les GAFA ?

Le , par Patrick Ruiz

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5  0 
Emmanuel Macron annonce un investissement de 500 millions d'euros visant à faire de la France un pôle européen de l'IA
il veut des modèles d'IA français qui rivalisent avec ceux de Google et OpenAI

Le président français Emmanuel Macron a récemment annoncé que son objectif est de faire de la France la plaque tournante de l'IA en Europe, notamment grâce à une enveloppe de 500 millions d'euros pour financer la création en France de centres d'IA d'excellence de rang mondial. Il souhaite que ces efforts facilitent le développement de grands modèles de langage (LLM) français capables de rivaliser avec les modèles d'IA GPT-4 d'OpenAI et Bard de Google. Dans ce domaine hautement concurrentiel, la France sera également confrontée à d'autres acteurs régionaux tels que le Royaume-Uni et l'Allemagne, qui ont également l'ambition de devenir le hub européen de l'IA.

Un financement de 500 millions d'euros pour les startups françaises d'IA

Le président français Emmanuel Macron était présent à l'ouverture du salon Viva Technology (VivaTech) de Paris le 14 juin et a répondu à des questions sur la stratégie française en matière d'IA, un domaine à forte compétitivité. D'emblée, Emmanuel Macron a déclaré que la France est le principal protagoniste dans le domaine de l'IA en Europe et a ajouté que le but du gouvernement français est de travailler à consolider cette position. « Je pense que nous sommes le numéro un [de l'IA] en Europe continentale, et nous devons accélérer. Nous allons investir comme des fous dans la formation et la recherche », a déclaré Emmanuel Macron à Karen Tso, de CNBC.

L'IA revêt un caractère important pour les gouvernements du monde entier depuis plusieurs décennies, mais le lancement du chatbot ChatGPT d'OpenAI en novembre dernier, et son succès immédiat, a déclenché une nouvelle frénésie dans le secteur. Chaque pays cherche à se positionner comme le pôle de l'IA, car cette technologie est considérée comme révolutionnaire et pourrait apporter des changements importants dans divers domaines. L'IA est considérée comme ayant un impact sur des secteurs allant de la finance aux soins de santé, mais elle a également été prise au milieu de la bataille technologique plus large qui se joue entre la Chine et les États-Unis.


L'IA était l'expression sur toutes les lèvres lors du salon VivaTech de cette année. Selon Emmanuel Macron, les États-Unis sont sans aucun doute le leader de l'IA, et il appartient à la France de rattraper son retard. « Croyez-moi, il est clair que les États-Unis sont numéro un, et ce pour une bonne raison : il s'agit d'un énorme marché intérieur. Et je veux que nous comblions le fossé et que nous investissions beaucoup plus, que nous développions beaucoup plus et que nous accélérions beaucoup plus », a déclaré Emmanuel Macron. Lors de ses entrevues, il a annoncé une enveloppe de 500 millions d'euros pour booster la croissance du secteur français de l'IA.

Cette enveloppe est destinée à la création de cinq à dix clusters [pôles régionaux réunissant universités et entreprises] en France et pour avoir deux ou trois centres d'excellence de rang mondial. Emmanuel Macron a déclaré qu'il souhaitait qu'il y ait des LLM français qui rivaliseraient avec GPT-4 d'OpenAI et PaLM de Google. « Nous allons accélérer le rythme pour qu'il y ait d'autres Mistral AI et LightOn », a-t-il déclaré, faisant référence à deux startups françaises qui développent des modèles d'IA. Mistral AI est une startup française fondée très récemment par des ingénieurs de Google DeepMind et de Meta. Elle a levé 105 millions d'euros il y a quelques jours.

LightOn est également une startup française fondée par les chercheurs Igor Carron, Sylvain Gigan, Florent Krzakala et Laurent Daudet. Elle a lancé en mars Paradigm, une plateforme d'IA générative française pour les grandes entreprises et aux ETI, et a l'avantage de prendre en charge les principales langues européennes. Paradigm est présenté comme permettant aux collaborateurs, sur simple requête en langage naturel, d’accélérer ou d’automatiser complètement certaines tâches fastidieuses. Par exemple, selon LightOn, Paradigm pourrait aider les entreprises à rédiger des fiches produits adaptées à différents publics à la place des équipes marketing.

Le modèle pourrait également aider les utilisateurs à produire des textes et des vidéos aux titres accrocheurs pour les services de communication ou créer un système de questions/réponses avec interaction personnalisée pour alléger le travail du support client. En outre, LightOn explique que Paradigm est capable de faire de la veille en ligne, de synthétiser des documents ou encore de retranscrire des réunions. LightOn, créée en 2016 avec l'objectif de concevoir un coprocesseur d'IA photonique, espère se démarquer de ChatGPT en promettant aux utilisateurs le contrôle total de leurs données, car sa solution est déployable sur leur propre infrastructure.

Le financement annoncé est jugé insignifiant dans cette course à l'IA

Les critiques ont qualifié l'enveloppe de 500 millions d'euros annoncés par Emmanuel Macron de "ridiculement bas" comparativement aux milliards de dollars dépensés chaque année par les entreprises chinoises et américaines pour former des modèles d'IA. En outre, Pékin et Washington disposent chacun d'une stratégie nationale en matière d'IA et investissent plusieurs milliards de dollars afin d'asseoir leur domination dans le secteur. La Chine produirait aujourd'hui beaucoup plus d'articles de recherche de haute qualité dans ce domaine que les États-Unis. Cependant, elle serait toujours à la traîne en ce qui concerne les "percées révolutionnaires".


Le premier plan visant à financer la croissance du secteur français de l'IA a été annoncé en 2018 et prévoyait une enveloppe de 1,5 milliard. Dans ce fonds, 400*millions d’euros étaient prévus pour des appels à projets et des défis d’innovation de rupture. Ces fonds étaient issus de redéploiements budgétaires, de fonds publics existants et du nouveau fonds pour l’innovation de 10 milliards d’euros, censés produire 260 millions d’euros de ressources publiques par an. D'un autre côté, une enveloppe de 100 millions d’euros et de 70 millions d’euros les années suivantes sera consacrée à l’amorçage de startup d'IA qui construisent des solutions novatrices.

Cependant, l'on ignore si ce plan a été respecté à la lettre ou si certains efforts ont néanmoins été faits. Lors de son allocution, Emmanuel Macron semblait satisfait de ce nouveau financement de 500 millions d'euros et a déclaré : « le pire scénario serait une Europe qui investit beaucoup moins que les Américains et les Chinois et qui commencerait par créer de la régulation. Ce scénario est possible, mais ce ne serait pas celui que je soutiendrai ». Pourtant, c'est déjà le cas. Rien qu'au niveau des entreprises d'IA, par exemple, Microsoft a investi un milliard de dollars dans OpenAI en 2019 et a rajouté plusieurs milliards de dollars au début de l'année.

En février dernier, Google a investi environ 300 millions de dollars dans la startup d'IA Anthropic. En échange de cet investissement de 300 millions de dollars, Google aurait obtenu une participation de 10 % dans l'entreprise et Anthropic serait tenu d'acheter des ressources de cloud computing à Google. Cette dynamique est quelque peu similaire au partenariat entre Microsoft et OpenAI. Ici, OpenAI fournit l'expertise en matière de recherche, tandis que Microsoft fournit non seulement des milliards de dollars d'investissement, mais aussi l'accès à sa puissante technologie de cloud, nécessaire pour former les derniers modèles d'IA à forte intensité de calcul.

Les entreprises américaines dominent actuellement les débats sur l'IA, avec des noms comme Microsoft - qui a investi dans OpenAI - Anthropic et le fabricant de puces Nvidia. La France n'a pas de géants de l'IA comme les États-Unis, mais elle entend favoriser l'émergence rapide de ses startups pour créer deux ou trois grands acteurs mondiaux dans le domaine de l'IA. Emmanuel Macron a souligné la nécessité de faire de développer des modèles d'IA typiquement français pour se défaire de certains problèmes. « Il faut aussi créer des bases de données en français. Sinon, nous utiliserons des modèles avec des biais hérités des Anglo-Saxons », a-t-il déclaré.

Emmanuel Macron considère l'utilisation de la langue française dans l'IA comme un enjeu de souveraineté et un exemple de soft power culturel. « Pour que l'IA prenne de l'ampleur, l'État français devra ouvrir ses bases de données. Nous croyons à l'open source », a-t-il déclaré. Il rejoint ici des acteurs comme Linagora, Mistral AI ou Meta (la maison mère de Facebook et Instagram), qui estiment que rendre les logiciels accessibles est plus favorable à l'innovation et à la sécurité que d'en garder le contrôle, comme l'a souligné le président de la Commission européenne. Bien sûr, Emmanuel Macron a également donné son avis sur la réglementation de l'IA.

Des règles trop strictes ralentiront le développement de l'IA en Europe

Lors du salon VivaTech, le président français a déclaré qu'il partageait les "préoccupations" selon lesquelles les projets européens de réglementation de l'IA nuiraient à l'innovation. Il a laissé entendre que les projets actuels en Europe pourraient freiner l'innovation. « Avec l'IA, la priorité est à la fois de réguler et d'innover », a déclaré Emmanuel Macron. Le Parlement européen vient d'approuver la loi sur l'IA (EU AI Act), une réglementation de grande envergure, la première du genre, sur l'IA. Cette loi n'est pas encore entrée en vigueur, mais si elle est adoptée, elle introduira une approche de la réglementation fondée sur les risques dans l'ensemble de l'UE.

Le projet de règles de l'UE a été critiqué par un certain nombre d'acteurs du secteur de l'IA, notamment le PDG d'OpenAI, Sam Altman, qui juge la législation beaucoup stricte. Altman a menacé de retirer OpenAI de l'UE (même s'il n'a pas un siège officiel dans l'UE) si les Européens ne trouvaient pas le juste milieu entre innovation et réglementation. La France est considérée comme un partisan d'une réglementation stricte en matière de technologie, mais elle s'est opposée à certaines parties de la loi de l'UE sur l'IA, qu'elle considère comme trop strictes. La législation adoptée par l'UE pourrait être modifiée pendant les négociations avec les États membres.

« Mon inquiétude est que ces dernières semaines, le Parlement européen a adopté une position très ferme sur la réglementation de l'IA, utilisant, dans un certain sens, cette loi sur l'IA comme un moyen d'essayer de résoudre trop de problèmes à la fois », a déclaré Jean-Noël Barrot, le ministre français de la Transition numérique et des Télécommunications, à propos des dispositions relatives à l'IA générative. En outre, la France souhaite une réglementation mondiale sur l'IA, qu'elle espère obtenir par l'intermédiaire du groupe G7, qui comprend les États-Unis et la Grande-Bretagne, ainsi que l'Organisation de coopération et de développement économiques.

« De mon point de vue, je pense que nous avons besoin d'une réglementation et tous les acteurs, même les acteurs américains, sont d'accord avec cela. Je pense que nous avons besoin d'une réglementation mondiale », a déclaré Emmanuel Macron. Par ailleurs, les ambitions de Paris sont confrontées à une rude concurrence, même en Europe ou au sein de l'Union européenne. « La France a certainement une chance d'être le leader en Europe, mais elle est confrontée à une forte concurrence de la part de l'Allemagne et du Royaume-Uni », a déclaré Anton Dahbura, codirecteur de l'Institut Johns Hopkins pour l'autonomie assurée, à CNBC par courriel.

Récemment, le Premier ministre britannique Rishi Sunak a plaidé pour que son pays devienne un centre mondial de l'IA. L'Allemagne fait aussi des efforts dans ce sens. Selon Dahbura, pour que la France réussisse, elle...
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Avatar de smarties
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 23/05/2024 à 12:49
- Doubler le nombre de talents français
- Sécuriser la puissance de calcul et les infrastructures sur le sol français
- Revoir les financements de l’écosystème à la hausse.
- Nous le ferons en diffusant l’IA partout et pour tous au travers de l’État et des services publics
- Protéger les citoyens français et construire la gouvernance mondiale qui le permet
Pour sécuriser la puissance de calcul sur le sol français, il faudrait déjà que les entreprises autre le fassent car je vois souvent de l'AWS ou du GCP.

Pour doubler les talents, il faudrait investir en partie dans la recherche car les chercheurs passent plus de temps à chercher des financements. Le salaire doit aussi rester attractif avec des conditions de travail adaptées (rester ouvert au télétravail car au sein d'une ville ça limite fortement si la personne ne déménage pas).

Diffuser l'IA dans les services publics ? Pourquoi faire ? Si c'est pour résumer, ça ne sert à rien.
Quand on voit ce que le service public devient. Pour la DDE/DRE/DREAL/... (ça a changé de nom plusieurs fois en 30 ans, les missions aussi), la gestion des routes et de l'urbanisme a une grosse partie traitée par le privé... pour pas forcément moins cher ni mieux fait.
La santé : on voit l'état de l’hôpital, les pénuries de médicament car on ne fait plus rien en France et le peut de recherche qui aboutit est acheté et breveté par des américains.

Le dernier point est trop abstrait je trouve.
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Avatar de Jules34
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 23/05/2024 à 14:35
Le roi des menteurs en action :
Doubler le nombre de talents français
Pour ça il faudrait déjà qu'ils n'aient pas envie de partir une fois le diplôme obtenu, peut-être en rendant le pays attractifs, bon courage quand on ne contrôle pas les finances de son pays ni son commerce ou encore qui rentre et sort dans ledit pays...

Sécuriser la puissance de calcul et les infrastructures sur le sol français
Même remarque qu'en haut, on parle du mec qui a vendu le nucléaire, le train et bon nombre de savoir faire ultra qualitatif Français aux Américains. Il fera rien à part acheter de la puissance de calcul US ou les faires venir à nos frais.

Revoir les financements de l’écosystème à la hausse.
Revoir quoi ? Ta plus un sous et tu courbe le dos sous le régime de Bruxelle qui t'impose de maitriser ton déficit et de finir de saccager le service public alors que dans le même temps tu arroses l'Ukraine et tout ce qui chiale dans le reste du monde à grand renfort de milliard d'euros, quand t'en donne péniblement 160 millions aux agriculteurs qui disparaissent les uns après les autres (et a qui tu fais les mêmes promesses).

Nous le ferons en diffusant l’IA partout et pour tous au travers de l’État et des services publics
La par contre pour rendre les Français encore plus teubé je te fais confiance, je te fais encore plus confiance pour creuser encore un peu plus la tombe du service public en y glissant l'IA.

Protéger les citoyens français et construire la gouvernance mondiale qui le permet
Celle la c'est la meilleure ! Protégeons nous en déconstruisant la nation et en l'incorporant dans une gouvernance mondiale qui se fout de ce pays sauf si elle peut le saigner.

Le niveau de foutage de gueule est haut.

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Avatar de jeanbart
Futur Membre du Club https://www.developpez.com
Le 11/02/2025 à 12:14
« Notre chance est que notre réseau électrique est fiable, bien entretenu, parfaitement dimensionné pour accueillir ce type d’investissement, bien connecté aux câbles sous-marins et à la fibre, et décarbonné » grâce au parc nucléaire français, souligne l’Élysée. Ailleurs dans le monde, les entreprises évoluant dans le secteur se tourne plutôt vers des centrales à gaz ou à charbon.
Le 22 février 2020, la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) a été définitivement arrêtée. Cette centrale a été entièrement rénovée et était considéré comme une des plus sures du parc nucléaire français.

Le 31 décembre 1998 le gouvernement de M. Jospin ferme superphenix. Cette centrale à neutron rapides était en avance de 10 ans. Elle aurait permis de recycler les déchets des autres centrales et nous aurait assuré une quasi indépendance énergétiques si cette filière était poursuivie.
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Avatar de d_d_v
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 24/05/2024 à 9:23
Emmanuel Macron affiche à nouveau sa volonté de faire de la France un leader incontesté en matière d'IA, qu'elle diffusera partout et pour tous
Bonne idée ! Le premier poste où je verrais bien de l'IA, c'est au sein du gouvernement: on dégage tous les ministres et leurs sous-fifres, et on les remplace par de l'IA. Le résultat ne pourra pas être pire.
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Avatar de JC_DENTON
Membre du Club https://www.developpez.com
Le 11/02/2025 à 9:28
L'essentiel des fonds devrait être consacré à la construction de centres de données, qui constituent l'architecture physique de l'intelligence artificielle.
Un peu dommage que dans cette course, on propose seulement des autoroutes pour que les autres y roulent.

« De l’autre côté de l’océan, nous avons un bon ami qui dit "Drill baby Drill". Ici, c’est "Plug, baby Plug". L’électricité est disponible, c’est prêt. Et je peux vous le dire, nous allons aller vite, très vite », a indiqué Emmanuel Macron.
Comment peut-on dire ça alors qu'il n'y a même pas deux semaines le PDG de Michelin France disait exactement le contraire en affirmant que la France avait un coût énergétique plus élevé que l'Espagne et quasiment similaire a l'Allemagne ?!? Que l'Europe n'était absolument pas compétitive a cause d'un coût énergétique BEAUCOUP trop élevé.

Je pense que derrière tout ça on veut juste profiter de l'expertise des ingénieurs français qu'on paye a bas prix, dont les salaires sont en chute libre depuis le covid.

Pour moi cette annonce est pleine de contradictions mais montre que l'Europe assume sa perte de vitesse et sa dépendance aux fortunes étrangères.
2  0 
Avatar de
https://www.developpez.com
Le 11/02/2025 à 14:38
C'est vrai, après tout, l'électricité n'a jamais été aussi bon marché que ces 3 dernières années, les Français, les Suisses, toute l'Europe en sait quelque chose!

Jupiterien un jour, Jupiterien toujours.
2  0 
Avatar de phil995511
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 23/05/2024 à 16:50
Des IA pourraient remplacer les élus corrompus
2  1 
Avatar de pierre-y
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 23/05/2024 à 19:58
Macron a déja 100 millios d'euro balancé poures voiture électrique dont personne ne veut et qu'il ne peut pas rembourser alors l'IA... Vraiment ça part en couille de tout les côté avec lui.
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Avatar de weed
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 29/06/2024 à 8:13
[Mode TROLL]
Tout dépendra des résultats des logislatives, certains partis sont plus fan de taxes que d'autres ...
[/Mode TROLL]
0  0 
Avatar de denisys
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 10/12/2024 à 18:05
Les réglementations de l'Union européenne , sont les pires boulets, pour chaque pays membre de l'Union européenne .
Quelque soit le domaine
Si tu veux avancer.
être libre .
Il faut sortir de l'Union européenne !!!
Aujourd'hui .
Même les Polonais commencent a ressentir ce goût d'amertume !!!.
Eux aussi rêvent de liberté d'avancer !!!
Comme nous!!!
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