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Le Bresil engage OpenAI pour réduire les coûts des procès dans un contexte de débats sur l'adoption de l'IA
Capable de gagner contre des avocats humains et d'inventer des cas de jurisprudence comme ChatGPT

Le , par Patrick Ruiz

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Le Brésil a apparemment engagé OpenAI dans le but d'aider les procureurs à mieux traiter les affaires et à faire économiser de l'argent à l'administration via l’intégration de ChatGPT à leur flux de travail. La décision intervient dans un contexte de débats autour de l’adoption de l’intelligence artificielle dans la filière. En effet, l’intelligence artificielle est capable de gagner contre des avocats humains mais de l’autre côté d’inventer des cas de jurisprudence.

C’est Microsoft qui se chargera de fournir lesdits services d’intelligence artificielle au travers de sa plateforme d’informatique dans le nuage – Microsoft Azure. Ce type d’adoption est une espèce de redite étant donné que la Chine a procédé à la présentation d’une intelligence artificielle juge aux apparences d’une femme en 2019. Ce sont plutôt les avantages et les inconvénients de telles décisions qui font désormais l’objet de débats.

Vingt avocats expérimentés perdent face à une intelligence artificielle lors d’un test détection de problèmes juridiques

En effet, une étude a soumis une vingtaine d’avocats à un test au cours duquel ils devaient déceler les problèmes dans cinq accords de non-divulgation qui constituent une base contractuelle pour la plupart des transactions commerciales. Pour le test, les vingt avocats experts en révision de contrats se sont retrouvés opposés à une intelligence artificielle, LawGeex AI. Ladite intelligence artificielle à laquelle les avocats ont été confrontés, a réussi à atteindre un taux de précision moyen de 94 %, un chiffre largement supérieur à celui des avocats qui s’élevait à 85 %. Il a fallu en moyenne 92 minutes aux avocats pour mener à bien la recherche contre 26 secondes pour l’intelligence artificielle.

Au nombre des vingt avocats, certains ont souhaité se faire entendre après le test. « Le test a mis en évidence les problèmes généralement contenus dans les accords de confidentialité et les problèmes auxquels les avocats doivent prêter attention lors de la rédaction et de la révision des accords de confidentialité. En ce qui concerne l'automatisation, je pense que cela aiderait les clients à obtenir de meilleurs prix et permettrait aux avocats de se concentrer sur des projets plus complexes. Cependant, je pense que le test et la technologie d'intelligence artificielle doivent être très approfondis pour y parvenir, et que les clients professionnels préfèrent peut-être qu'un avocat spécialiste des droits humains examine et prenne soin de leurs préoccupations professionnelles », avait déclaré Samantha Javier, une diplômée de la Lewis & Clark Law School autorisée à pratiquer le droit en Oregon.

« Participer à cette expérience m'a vraiment fait prendre conscience à quel point il est ridicule que les avocats consacrent leur temps (ainsi que l'argent de leurs clients) à créer ou à réviser des documents tels que des NDA qui sont si fondamentalement similaires. Disposer d'un outil capable d'automatiser ce processus permettrait aux avocats qualifiés de consacrer leur temps à des tâches de niveau supérieur sans avoir à faire appel à un technicien juridique (ce qui rendrait les services qu'ils offrent plus compétitifs à long terme) », avait déclaré Grant Gulovsen, avocat avec plus de 15 ans d'expérience.

« Nous assistons à des perturbations dans de nombreux secteurs par des utilisations de plus en plus sophistiquées de l'intelligence artificielle. Le domaine du droit ne fait pas exception. L'identification correcte des principes juridiques de base dans les contrats est le type de tâche routinière susceptible d'être automatisée. Utiliser l'IA pour repérer les problèmes courants dans les accords de non-divulgation pourrait constituer un développement utile, qui permettrait de gagner du temps et d'économiser de l'argent pour le secteur juridique dans son ensemble », selon Seun Adebiyi, ancien avocat d'entreprise chez Goldman Sachs.

« Bien que la catégorisation des clauses rende le processus d’examen de la NDA un peu plus rapide dans mon propre cabinet, je ne pense pas que le véritable examen juridique puisse être réalisé par Amnesty International. Cependant, je considère l'application de l'IA comme un outil utile permettant de gagner du temps », avait indiqué Abigail Peterson, avocate auprès du fabricant américain de dispositifs médicaux DeRoyal Industries.

« L’intelligence artificielle a un potentiel énorme en ce qui concerne la réduction du temps nécessaire pour passer en revue les contrats standard et rendre les conseils juridiques accessibles et abordables pour tous. LawGeex m'a demandé d'examiner l’accord de non-divulgation de manière logique et crédible, à l'instar de la façon dont j'ai examiné des documents en tant qu'ancien avocat dans un cabinet d'avocats international », avait souligné Hua Wang, cofondatrice de SmartBridge, ex-avocate chez K & L Gates et Proskauer, avocate interne chez Cisco Systems et boursière mondiale à la Kauffman Foundation.

« En tant qu'administrateur de contrats, je pense que l’intelligence artificielle sera utile et réduira le temps passé sur les révisions de contrats. Si ce n'est déjà fait, des modèles ou des clauses de contrat standard devraient être insérés dans la base de données du logiciel et provoquer des divergences dans les documents à examiner en fonction des moyens du contrat. Bien que les contrats puissent être très similaires les uns des autres, ils ont tous un objectif spécifique, ce qui appelle une attention particulière pour l'utilisation de balises. Je trouve que l'IA est logique et crédible dans le but de réduire le temps d'examen des contrats, ce qui permet de hiérarchiser d'autres tâches fastidieuses », avait indiqué Deja Colbert, administratrice de contrats chez Omega Rail Management.



[B]Le juge de la Cour suprême US met néanmoins en garde contre les dangers de l’IA dans le travail judiciaire[...
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Avatar de Matthieu Vergne
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 12/11/2025 à 0:36
Remplacez le jargon des avocats par celui des développeurs et vous aurez un autre article criant de vérité :
L’automatisation du développement logiciel

Ce que révèle cette crise, c’est la mutation d’un métier fondé sur la précision, la nuance et la responsabilité. L’usage d’outils comme GPT, Claude ou Copilot promet de gagner du temps, d’améliorer la clarté ou de simplifier la recherche de code. Mais le revers de la médaille, c’est la perte du contrôle intellectuel.

Là où le développeur devrait interpréter, il se contente parfois de recopier. Là où il devrait peser chaque instruction, il laisse l’algorithme formuler des généralités verbeuses. Le « slop coding » n’est pas qu’un problème de style : il est la preuve d’une déresponsabilisation progressive, d’un glissement où le code devient une simple sortie de modèle statistique.

Et dans le domaine logiciel, une erreur de raisonnement ou une valeur inventée ne se corrige pas comme une coquille dans un e-mail : elle peut fausser une décision, nuire à un client, voire porter atteinte à la société.
Pas plus tard que vendredi je parlais avec mes collègues de faire la distinction entre ceux qui sont rigoureux et ceux qui ne le sont pas :
  • les rigoureux peuvent tirer de l'IA les principaux avantages, car leur rigueur s'assure qu'ils vérifient derrière et comprennent ce qu'ils font, l'IA peut alors faire gagner un peu de temps sur les parties à écrire qu'on maîtrise déjà (peu de temps de vérification nécessaire) ou beaucoup pour les juniors qui peuvent focaliser leur temps d'apprentissage sur ce qui marche (moins de recherches infructueuses, qui peuvent apprendre des trucs mais moins pertinentes à l'instant T), et pour le reste rend surtout le job plus fun
  • les non-rigoureux par contre ont toutes les chances de donner une fausse impression de gros coup de pouce sur le court terme, en se contentant de copier sans vraiment réfléchir à ce qu'ils font, donnant l'impression qu'ils exploitent mieux l'IA alors qu'en fait les conséquences néfastes ne s'en ressentiront que plus tard, introduisant des coûts qui gomment les avantages illusoires de court terme. Quant au long terme, à force de se laisser aller à l'IA, ils ne forgeront pas leur propre expertise, se contentant de rester dépendants d'outils qu'ils ne maîtrisent pas et de stagner à leur niveau. Rendant le renouvellement des générations de dévs précaire.


En tant que développeurs, c'est à nous de nous assurer que nos juniors et nos employeurs ne tombent pas dans le panneau.

Pour les ingénieurs français, inscrits au répertoire des Ingénieurs et Scientifiques de France (IESF), il en va de notre responsabilité d'informer et de former :
https://www.iesf.fr/752_p_49680/char...ingenieur.html
Citation Envoyé par Charte IESF
En tant que membres d’un collectif de travail, l'ingénieur et le scientifique :
  • se mettent au service de leurs commanditaires et les informent des risques et contraintes (sociaux, environnementaux, économiques) des solutions proposées (Sens du service),
  • ...
  • participent à l'adaptation des activités de leur collectif de travail aux évolutions de la société et de l’environnement (Agilité),
  • encouragent la montée en compétences techniques et scientifiques de leurs collaborateurs et équipes (Management),
  • travaillent méthodiquement afin d’assurer la traçabilité des résultats et des données qui fondent les décisions de leur collectif de travail (Transparence),
  • participent activement à la gouvernance de leur collectif de travail (Engagement),
  • ...
  • signalent, de bonne foi et de manière désintéressée, les risques et les atteintes graves envers les droits humains, les libertés fondamentales, la santé et la sécurité des personnes, ainsi que l’environnement, résultant des activités de leur collectif de travail (Intégrité).
Citation Envoyé par Charte IESF
En tant que membres de la société toute entière, l’ingénieur et le scientifique :
  • ...
  • adoptent une posture active dans la société en éclairant l'opinion publique sur les problématiques qui nécessitent une vision de l'ingénieur ou du scientifique (Citoyenneté),
  • transmettent leur savoir scientifique et leur expérience, en les rendant accessibles au plus grand nombre (Vulgarisation),
  • ...
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Avatar de PascalC67
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 11/11/2025 à 1:29
entre les réponses approximatives façon profession de foi ("vous nous avez demandé si... nous certifions que" sans aucune réf juridique) et les inventions c'est catastrophique. dans les cas les plus fréquents l'IA est co... comme une b... quel écran de fumée, tout ça pour facturer. Un bon vieux moteur de recherches qui pointe vers des données validées... pas photo. ça c'est pire que tout.
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 14/11/2025 à 7:35
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
Ça répond déjà à un besoin, aux usa celui qui veut pas mettre 500€ dans une consultation médicale ou un avocat utilise déjà chatgpt et se débrouille.
Et soigne sa dépression en se pendant.
l'école de mes gosses et payante mais c'est 15 élèves dans la classe avec 2 profs, la oui y'a une value d'avoir un humain. Mais cela a un prix.
Bienvenue dans le capitalisme : tu veux sortir du lot? Payes.
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Avatar de Jules34
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 13/06/2024 à 14:08
26 secondes pour que l'IA analyse le contrat et 94 minutes pour un avocat. OK, combien de temps passés à programmer l'IA pour qu'elle soit aussi efficace sur ce segment spécifique d'une analyse de documents ? Remplacer le contrat de non divulgation par un babar l'éléphant et le truc ne sait déjà plus ou il habite non ?

Quoiqu'il en soit ça laisse songeur. J'aimerais bien pouvoir passer moins de temps à la rédaction et la vérification et si l'IA pouvait s'assurer que je fasse pas de bourde dans les chiffres ou une clause particulière c'est vrai qu'au final ce serait pas mal.

Après comme d'habitude ça soulève plus d'interrogation que de solution et évidemment tout le monde se lance dedans tête baissée
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 12/11/2025 à 16:01
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Un mouvement se développe au sein de la profession pour recenser les affaires inventées par l'IA utilisées par leurs confrères

Aux États-Unis, les tribunaux commencent à crouler sous des documents juridiques « slopifiés » – des textes générés ou fortement assistés par des intelligences artificielles qui déforment la logique, inventent des jurisprudences et brouillent le langage du droit. Ce phénomène, dénoncé par des juristes eux-mêmes, marque une dérive inquiétante : celle d’une profession qui, en cédant trop vite à la tentation de l’IA, met en péril la rigueur de sa propre parole.
Vraie question bête : est il si compliqué de développer une IA qui vérifie ces plaidoiries.
Les gars écrivent des plaidoiries en 5 min?
On est pas capable de les détruire à peine plus lentement?
Surtout que les gens doivent donner des sources (articles, jurisprudence du xx/xx/xxxx etc).
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Avatar de Matthieu Vergne
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 12/11/2025 à 20:37
Citation Envoyé par totozor Voir le message
Vraie question bête : est il si compliqué de développer une IA qui vérifie ces plaidoiries.
Elle te générera, comme les autres, un texte plausible. Correct quand tu as de la chance, avec des illusions quand tu en as moins, genre elle invente des bons points ou des mauvais points que la plaidoirie n'a pas, ou de vrais critiques mais sur la base de raisons inventées. Si on pouvait faire ça, on pourrait tout aussi bien faire des plaidoiries qui tiennent la route. Tu ne peux jamais rien "vérifier" avec un LLM, quel que soit le prompt. Tu peux générer une analyse plausible, mais il faut toujours repasser derrière pour confirmer, sinon tu ne sais pas quand tu te baseras sur du bullshit.

Et si par IA tu parles d'autre chose que du LLM, le soucis est que c'est une tâche de traitement du langage en premier lieu, là où justement les LLM sont bons. Le truc est qu'il faut combiner ça avec de la logique (juridique, pour le coup) ce qui est hors de leur portée. À voir avec les futures technos en cours de construction (JEPA ?).
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 13/11/2025 à 8:05
Citation Envoyé par Matthieu Vergne Voir le message
Tu ne peux jamais rien "vérifier" avec un LLM, quel que soit le prompt.
Et si par IA tu parles d'autre chose que du LLM, le soucis est que c'est une tâche de traitement du langage en premier lieu, là où justement les LLM sont bons. Le truc est qu'il faut combiner ça avec de la logique (juridique, pour le coup) ce qui est hors de leur portée. À voir avec les futures technos en cours de construction (JEPA ?).
je comprends bien qu'on a besoin d'un LLM à la base pour identifier les sources mais ça ne doit pas être la mer à boire. Nous arrivons à développer des IA qui identifient des exigences ou retrouvent des sujets dans nos procédures alors que ce n'est pas notre coeur de métier, en grande partie parce que les documents sont très normalisés et les mots clés sont facile à retrouver ("jurispridence" "article" par exemple pour le juridique).
Ne peut-on pas se contenter ensuite d'un "moteur de recherche automatisé" pour aller chercher les références? L'objectif premier est d'identifier les plaidoiries avec des fausses sources.
On peut ensuite remettre une couche de LLM pour extraire le texte des source identifiée et sortir un facteur de corrélation.

Je vois bien que la première étape est pas si évidente et le risque (qu'on voit chez les élèves) d'uniformisation des plaidoiries.
Mais on se retrouve quand même face à des gens qui protègent leur profession de l'IA pour à la fin se transformer en porte parole de celles ci et qui ne se donnent même pas le mal de les relire et faire leur boulot.
je suis sincèrement pour que les professionnels puissent se protéger des IA mais je pense aussi qu'il faut être sans pitié pour ceux qui se cache derrière ça mais n'assurent pas leur travail à la fin. Et si la vague est si grosse alors il faut combattre le feu par le feu ou embaucher une armée de "légicheckeurs" qui seront les légistes fraudeurs de demain
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Avatar de AoCannaille
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 13/11/2025 à 10:32
Personnellement, ce qui m'étonne c'est que les avocats utilisent des LLM qui génère du bullshit alors que des IA du type systèmes experts existent et sont bien plus fiable (sans être parfaite).
J'imagine qu'il y a la place pour une combinaison des deux : L'avocat entre une série de faits dans le système expert, qui sort ensuite une série de texte de lois applicables, les fourchettes des peines encourues et la jurisprudence sur ces cas là, puis le LLM synthétise ces résultat là, rien d'autre.

Reste que la jurisprudence, c'est pas magique, c'est consigné par une poignée d'éditeurs qui doivent facturer cher l'accès à leur BDD.
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Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 13/11/2025 à 11:31
ce n'est pas prêt de s'arreter.

l'avocat peux traiter plus rapidement des affaires donc augmenter son ca.
il peut aussi décider de baisser les couts pour élargir sa clientèle.

A la fin ca fera une justice bien plus engorgé. On pourrais imaginer ici une ia pour traiter les affaires les moins graves et si appel cela passerait par des humains.
Une maison squatter par exemple, une ia pourrait très bien ordonné l'expulsion du squatteur dans la seconde, pas la peine de déranger un juge humain pour ça.

Dans un monde parfait, bien sur la solution serait que l'avocat fasse bien son travail, il faudrait engager plus de juge/magistrat, mais la justice en france c'est un très petit budget qui ne peut être étendue (au détriment d'autre chose sinon) il faut trouver des solutions avec des moyens limité.
et dans ce monde, les petits avocats vont préférer augmenter leurs CA quitte à bâcler le travail que de faire de la qualité. Surtout pour des affaires banals et répétitive (divorce, conflit voisinage, squat...)
Pour les gros cabinet prestigieux, c'est la réputation du cabinet qui est en jeu donc je pense que la qualité primera.
le génie logiciel c'est pareil, on ait des choix pour rester dans le budget, réduction des tests, on bâcle l'optimisation, on supprime certaines fonctionnalités utilisé...etc.

ce n'est qu'une question de temps mais les métiers de comptable, avocat, et même médecin seront tot ou tard plus protégé par les états et ce sera open bar pour les ia. d'ici 10-20ans je pense qu'avoir une ia comptable, une ia avocat et une ia médecin généraliste sera la norme.
Ça répond déjà à un besoin, aux usa celui qui veut pas mettre 500€ dans une consultation médicale ou un avocat utilise déjà chatgpt et se débrouille.
Je connais nombre d'étudiants qui se forme avec chatgpt, le prof ne sert juste qu'a donner des polycopier et surveiller la salle pendant les examens. Beaucoup prefere la qualité d'un cours personnalisé avec chatgpt que un cours magistrale. Un prof qui parle à 30 élèves dans un collège ou 200dans un fac, ca ne sert à rien.
J'ai même déjà vu des facs engorgé en france, un amphi avec le prof et un autre amphi c'est une grosse télé avec le cours en direct. Des étudiants ont même cassé cette télé pour empêcher la moitié de la promo d’accéder aux cours et d'avoir un avantage au concours, seul ceux qui se levait à 5h du mat et faisait la queue devant l'amphi avait une chance.

l'école de mes gosses et payante mais c'est 15 élèves dans la classe avec 2 profs, la oui y'a une value d'avoir un humain. Mais cela a un prix.
prix que peu peuvent/veulent mettre, déjà que les profs en france se plaignent d’être pas assez bien payé.

Il y'a les dur réalités économique qui forceront ces secteurs encore protégé a s'ouvrir à l'ia.
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