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« Les membres du personnel des laboratoires secrets de pointe planifient sérieusement leur vie en fonction de l'existence de "dieux numériques" en 2027 »,
Selon un doctorant en sciences de l'information

Le , par Mathis Lucas

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De nombreux chercheurs en IA prédisent l'arrivée imminente d'une IA avec des capacités supérieures à celles des humains. Leopold Aschenbrenner, ancien chercheur en sécurité de l'équipe Superalignment d'OpenAI, affirme qu'il est tout à fait plausible que d'ici 2027, des modèles soient capables de faire le travail d'un chercheur ou d'un ingénieur en IA. Sam Altman, PDG d'OpenAI, et Dario Amodei, PDG d'Anthropic, ont également fait allusion à ce calendrier. Cependant, les limites actuelles de l'IA jettent un sérieux doute sur ce calendrier et d'autres pionniers de l'IA, tels que Yann LeCun, affirment que l'AGI ne sera pas l'œuvre des modèles de langage actuels.

Des spécialistes en IA se prépareraient à l'arrivée de "dieux numériques" en 2027

Quand l'IA sera-t-elle assez intelligente pour surpasser l'homme ? D'une certaine manière, certains experts en IA expliquent que c'est déjà le cas. À d'autres égards, cela dépend de la définition que vous donnez à l'expression "être plus intelligent". L'AGI représente un grand pas en avant par rapport à l'IA actuelle. Contrairement à l'IA actuelle (dite faible), qui se limite souvent à des tâches spécifiques, l'AGI (dite forte) sera capable de comprendre, d'apprendre et d'appliquer ses connaissances à un large éventail de tâches. Et des avancées majeures ont été réalisées dans le domaine de l'IA au cours de ces dernières années.

Tablant sur de nouvelles avancées majeures dans les années à venir, des acteurs de l'industrie tels que Sam Altman, PDG d'OpenAI, et Dario Amodei, PDG d'Anthropic, Demis Hassabis, PDG de Google DeepMind, affirment que l'AGI est possible dans "quelques années seulement". Les travaux de recherche et de développement d'OpenAI et de ses rivaux repoussent les limites de ce que l'IA peut faire. Les employés d'OpenAI sont confiants dans leur horizon temporel basé sur les avancées actuelles. Nombre de ces dirigeants de la technologie sont très optimistes et s'attendent au développement d'une forme d'AGI d'ici à 2027.

Alors que ces dirigeants tentent de prédire tant bien que mal l'arrivée de l'AGI, James Campbell, doctorant à l'université Carnegie Mellon (CMU), a récemment évoqué l'arrivée imminente, d'ici à 2027, de modèles superintelligents comparables à "des dieux numériques". Il a déclaré que les membres du personnel des entreprises d'IA les plus avancées se préparent déjà à l'arrivée d'une superintelligence. Dans un billet sur X (ex-Twitter), Campbell a déclaré :


Je suis tout à fait d'accord pour que chacun se fasse sa propre idée de l'AGI et de ce qu'il faut faire pour y parvenir, mais la charge de la preuve vous incombe lorsque la plupart des membres du personnel des laboratoires secrets de pointe planifient sérieusement leur vie en fonction de l'existence de dieux numériques en 2027.

Compte tenu de ce que disent les experts, je pense qu'il est raisonnable de dire par défaut que l'AGI sera disponible dans quelques années et d'actualiser cette estimation au fur et à mesure que l'on se forge sa propre opinion.
Cependant, cette déclaration fait l'objet de controverses, les critiques affirmant qu'il ne s'agit que d'un battage médiatique. « C'est un argument peu convaincant, du battage médiatique. Je me souviens qu'en 2018, tous les experts nous disaient que les voitures entièrement autonomes seraient un problème résolu et commenceraient à être produites en masse avant 2020. Aujourd'hui, en 2024, nous n'y sommes toujours pas et les estimations sont maintenant plus proches de 2030. Et les voitures à conduite autonome semblent un problème plus facile à résoudre qu'une superintelligence », peut-on lire dans les commentaires.

« On pourrait penser qu'un étudiant entrant à la CMU comprendrait des notions simples comme "l'argument d'autorité" et "la charge de la preuve incombe au croyant", en particulier lorsque les personnes qui crient le plus fort à ce sujet s'apprêtent à faire fortune en faisant croire à d'autres personnes qu'elles sont dignes de confiance. », a écrit un critique. Un autre souligne : « pensez à l'effet papillon (la théorie populaire plutôt que la réalité). Vous pouvez envisager des résultats terribles bien avant qu'ils n'arrivent. Le fait d'avoir peur de ce qui va arriver ne signifie pas que c'est en train d'arriver maintenant/imminemment ».

« C'est une mise en accusation de l'ensemble du système éducatif que d'être un étudiant en doctorat lorsque vous placez la charge de la preuve sur la mauvaise partie. Ce sont les auteurs des affirmations qui doivent fournir des preuves, et non ceux qui les critiquent. Réfléchissez de manière critique à la partie qui a une incitation financière à mentir », lit-on dans les commentaires. Selon les critiques, cette prédiction relève plus de la science-fiction que la réalité.

Les limites actuelles de l'IA remettent en cause les prédictions sur l'arrivée de l'AGI

Lors de son discours de clôture de l'événement "Beneficial AGI Summit" de cette année au Panama, Ben Goertzel, mathématicien et chercheur américain en IA, a déclaré que même si l'homme ne construira probablement pas d'IA de niveau humain ou surhumain avant 2029 ou 2030, il y a une chance que cela se produise dès 2027. Il a ajouté que l'AGI pourrait évoluer rapidement vers une superintelligence artificielle (ASI), qu'il définit comme une IA dotée de toutes les connaissances combinées de la civilisation humaine. Le discours de Goertzel semble toutefois alambiqué. Il a notamment été fortement critiqué par la suite.

Goertzel a déclaré : « personne n'a encore créé d'intelligence artificielle générale de niveau humain ; personne ne sait vraiment quand nous y parviendrons. Je veux dire qu'il y a des inconnues connues et probablement des inconnues inconnues. D'un autre côté, il me semble tout à fait plausible que nous puissions parvenir à une IAG de niveau humain d'ici, disons, les 3 à 8 prochaines années ». Goertzel est loin d'être le seul à tenter de prédire quand l'AGI verra le jour. Mais ce calendrier audacieux se heurte à plusieurs défis, et des experts pensent qu'il n'est pas certain que l'industrie arrive à tous les surmonter de sitôt.

L'un de ces défis est le mur de données : les sources de données pour la formation des modèles commencent à manquer. Cela pourrait signifier que, très bientôt, l'approche naïve consistant à préentraîner des modèles plus grands sur des données plus volumineuses pourrait commencer à se heurter à de sérieux goulets d'étranglement. En outre, Jeffrey Funk, professeur à la retraite et consultant sur les nouvelles technologies, souligne que les entreprises d'IA ont dépensé d'énormes sommes d'argent pour lutter contre les hallucinations (lorsque les systèmes d'IA inventent des faits), mais n'ont pas résolu le problème.

Il explique : « les revenus ne sont pas encore là et ne viendront peut-être jamais. Les valorisations anticipent des marchés de plusieurs milliards de dollars, mais les revenus actuels de l'IA générative se chiffrent, selon les rumeurs, à quelques centaines de millions. Ces revenus pourraient réellement être multipliés par 1000, mais il s'agit là d'une hypothèse très spéculative. Nous ne devrions pas nous contenter de le supposer ». Funk prévient également que le rythme de l'innovation dans le domaine de l'IA générative semble ralentir. Il a cité de nombreux facteurs qui sont à l'origine du ralentissement de l'innovation.

Il a déclaré : « pensez aux PC ou à l'iPhone. Les premières années ont été marquées par d'importantes améliorations des performances du système, qui ont diminué au fil du temps malgré des améliorations annuelles de 40 % du rapport performance/prix de la mémoire et des puces de processeur ». Dans le même temps, la loi de Moore s'étant considérablement ralentie au cours des 5 à 10 dernières années, les fabricants de puces ne peuvent en attendre beaucoup plus, et ceux qui s'inquiètent de la grande consommation d'énergie de l'IA générative ne manqueront pas de faire pression en faveur d'une réglementation stricte.

L'AGI ne sera pas uniquement l'œuvre des grands modèles de langage actuels

Les chercheurs de Meta pensent qu'une AGI ne sera pas possible tant que l'IA ne sera pas dotée d'un corps physique. Il s'agit de l'hypothèse de l'IA incarnée. Selon cette approche, une IA de niveau humain ne peut émerger que si elle est capable de sentir et de naviguer dans un environnement physique, comme le font les bébés. À travers ce corps, l'IA peut interagir avec le monde physique et en tirer des enseignements. Cette hypothèse suscite de nombreuses discussions et pousse plusieurs investisseurs et entreprises à investir massivement dans les entreprises qui fabriquent des robots humanoïdes à usage général.

Yann LeCun, lauréat du prix Turing et responsable de l'IA chez Meta, affirme que l'AGI est inéluctable, mais qu'elle n'arrivera pas d'ici à un an. Il a également déclaré que l'AGI n'émanera pas des grands modèles de langage (LLM) actuels, bien qu'ils puissent en constituer une composante. Selon lui, ces modèles ne sont pas en mesure de résoudre les défis cognitifs tels que le raisonnement, la planification, la mémoire persistante et la compréhension du monde physique.

« Il s'agit de quatre caractéristiques essentielles de l'intelligence humaine - et de l'intelligence animale, d'ailleurs - que les systèmes d'IA actuels ne peuvent pas réaliser », explique-t-il. D'après LeCun, sans ces capacités, les applications de l'IA restent limitées et sujettes aux erreurs. Les véhicules autonomes ne sont toujours pas sûrs sur les routes publiques. Les robots domestiques se débattent avec les tâches ménagères de base. Nos assistants intelligents ne peuvent accomplir que des tâches élémentaires. Ces lacunes intellectuelles sont particulièrement évidentes dans les LLM qui propulsent actuellement l'IA.

Selon LeCun, les LLM sont limités par leur dépendance à l'égard d'une forme de connaissance humaine : le texte. « Nous sommes facilement amenés à penser qu'ils sont intelligents en raison de leur maîtrise du langage, mais en réalité, leur compréhension de la réalité est très superficielle. Ils sont utiles, cela ne fait aucun doute. Mais sur le chemin qui mène à une intelligence de niveau humain, un LLM est essentiellement une rampe de sortie, une distraction, un cul-de-sac », a-t-il déclaré. En gros, LeCun estime que les LLM ne sont qu'un début et qu'une nouvelle approche est nécessaire pour atteindre l'AGI.

Par ailleurs, le matériel nécessaire à l'AGI est encore en cours de développement. La puissance de calcul requise est immense. Toutefois, les experts estiment que les progrès dans ce domaine sont rapides. Ces progrès sont essentiels pour que l'AGI devienne une réalité.

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?
Pensez-vous qu'une forme de superintelligence surpassant l'homme arrivera d'ici à 2027 ?
Cette prédiction est-elle réaliste au regard de l'état actuel de la technologie ?
Selon vous, pourquoi le domaine de l'IA est-il sujet à un battage médiatique aussi intense ?
L'humanité doit-elle se préparer à l'arrivée d'une AGI ? Si oui, quelles sont les dispositions à prendre selon vous ?

Voir aussi

« L'AGI est le mensonge de l'année. L'intelligence artificielle générale n'existe pas », selon un critique qui affirme que ce mensonge est raconté pour des raisons financières et politiques

Dario Amodei, PDG d'Anthropic, affirme que la formation des modèles d'IA coûtera jusqu'à 100 milliards de dollars d'ici 2027 et qu'ils seront "meilleurs que la plupart des humains pour la plupart des choses"

Shane Legg, cofondateur de Google DeepMind, est convaincu depuis 2009 qu'il y a 50 % de chances de parvenir à l'intelligence artificielle générale d'ici à 2028 et maintient cette conviction à date

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Avatar de Jules34
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 24/07/2024 à 9:34
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
Sans t'en rendre compte avec ton commentaire, on a déjà dépassé ce cap et en a peine 1 siècle, tu prends 1 citadin, il sera incapable de survivre si tu le balance dans la nature.
Les 1er écris retrouvé dans l'histoire de l'humanité était des livres comptables pour les céréales. la plupart des occidentaux ne savent plus chasser ou cultiver des céréales, donc la prochaine étape serait de plus savoir écrire
ça en arrangerait plus d'un qu'on laisse tomber les bouquins et qu'on demande à CHATGPT pour qui voter

De la même manière que ça en arrangé plus d'un qu'on quitte les champs pour aller dans les usines.

Le problème avec le progrès c'est qu'il impose sa vision de l'histoire en nous faisant croire que ce qui a changé c'était pour notre bien, alors que c'est juste une subjugation de plus, une dépossession de quelque chose qui nous rendait indépendant pour nous rendre dépendant d'une énième chose artificielle. Chose artificielle qui est bien sûr la propriété de quelqun.

Si vous voyez ou je veux en venir. Le loup et le troupeau.
10  0 
Avatar de PhilippeGibault
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 30/07/2024 à 17:32
Quand j'étais prof de Physique (dans une autre vie, j'en ai un exécrable souvenir), j'expliquais que la calculatrice est outil formidable. Mais qu'il ne dispense pas de savoir faire les calculs à la main.

En résumé, la calculatrice est un outil qui permet de gagner du temps, mais il ne dispense pas de savoir faire les calculs à la main.

C'est la même chose avec l'IA générative. Il génère peut-être le code, mais ça ne dispense pas d'avoir un esprit critique, et donc de fait des bases solides, notamment en architecture de code.

C'est aussi le cas avec des frameworks comme Hibernate. Celui-ci ne dispense pas d'avoir des notions solides en BDD, sinon, bonjour la catastrophe (notamment au niveau des performances).
6  0 
Avatar de ciola
Membre du Club https://www.developpez.com
Le 24/07/2024 à 8:01
Les enfants devraient-ils apprendre à calculer à l'heure des calculatrices?
Les enfants devraient-ils apprendre à lire à l'heure des applications text to speech?
Etc.
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Avatar de Ryu2000
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 24/07/2024 à 18:52
Citation Envoyé par Artemus24 Voir le message
La mise en place de cette réduction de la natilité
Bon courage pour convaincre les femmes des pays comme Niger, Burundi, Mali, Somalie, Ouganda, Burlina Faso, de faire moins d'enfants.
Elles ont tendance à en faire 6.

Ou alors peut-être un truc "on vous paie pour vous stériliser".
Pour la blague :
Ou leur donner de la nourriture ou des vaccins qui rendent stérile.
4  1 
Avatar de kain_tn
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 24/07/2024 à 19:11
Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
Bon courage pour convaincre les femmes des pays comme Niger, Burundi, Mali, Somalie, Ouganda, Burlina Faso, de faire moins d'enfants.
Elles ont tendance à en faire 6.

Ou alors peut-être un truc "on vous paie pour vous stériliser".
Pour la blague :
Ou leur donner de la nourriture ou des vaccins qui rendent stérile.
Pourquoi les femmes et pas les hommes? Elon Musk a 12 enfants avec des femmes différentes, et il n'est originaire ni du Niger, ni du Burundi, ni du Mali, ni de l'Ouganda, ni du Burkina Faso.
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Avatar de walfrat
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 25/07/2024 à 11:11
Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message

Bon déjà les gens qui vivent dans des pays riches sont de moins en moins fertile.
Beaucoup de femmes sont devenu carriériste et ne souhaitent pas faire d'enfant. En même temps elles n'ont pas trop le choix car l'ancien modèle de l'homme qui va travailler et ramène suffisamment d'argent pour faire tourner la maison est extremement difficile à réaliser aujourd'hui car les travailleurs ne gagnent plus suffisamment et de toute façon il faut se préparer au divorce et la femme seule avec les enfants n'aura peut-être pas assez de la pension alimentaire.

......

Bon courage pour convaincre les femmes des pays comme Niger, Burundi, Mali, Somalie, Ouganda, Burlina Faso, de faire moins d'enfants.
Elles ont tendance à en faire 6.

Ou alors peut-être un truc "on vous paie pour vous stériliser".
Pour la blague :
Ou leur donner de la nourriture ou des vaccins qui rendent stérile.
Déjà arrête de mélanger les choux et les carottes, la fertilité et le nombre d'enfant que "veulent" les gens ce n'est pas la même chose.

La principale "baisse" de "fertilité" dans les pays occidentaux c'est la volonté, et la possibilité de contrôler le nombre d'enfants qu'on peut avoir et ce pour plusieurs raisons :

  • Les femmes qui peuvent étudier et faire carrière
  • L'augmentation des attentes en matières des parents sur l'éducation/budget à consacrer pour leur enfants.
  • La baisse de mortalité infantile/jeune depuis le début du 20ème à aussi jouer sur le nombre d'enfant que "voulaient" les couples pour pouvoir subvenir à a famille.


J'ai 7 oncles/tantes du côté de mon père, eux même ont tous entre 2-4 enfants. Ma grand mère l'a dit elle même que si elle avait eu le moyen de contrôler elle n'en aurait pas eu autant.

Bref les pays d'afriques sont avant tout "décaler" en matière d'avancé de civilisation et ton commentaire sur les femmes africaines est techniquement vrai mais la forme frise méchamment le préjugé raciste. Et si les pays d'Afrique galère autant à "rattraper" la "civilisation occidentale" c'est surtout parce que beaucoup de pays n'ont aucun intérêt à ce que ça arrive.
4  1 
Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 26/07/2024 à 8:28
Citation Envoyé par totozor Voir le message
Quel pays fait la promotion de l'homosexualité et de la transidentité?
Les pays occidentaux, dont le notre.
4  1 
Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 26/07/2024 à 9:56
@Totozor, cité Macron, c'est risible. Ce type est capable de dire le contraire le lendemain s'il pense que ça peut lui servir.

Ensuite, mes propos n'ont rien d'anti LGBTXXXXX, au cas où tu l'imaginerais. C'est juste une constatation.
3  0 
Avatar de OuftiBoy
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 10/09/2024 à 2:50
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Un professeur d'informatique du MIT teste l'impact de l'IA sur la formation des programmeurs :
l'attention constante portée à l'intégration de l'IA dans la plupart des secteurs d'activité modifie la manière dont l'informatique est enseignée

L’intelligence artificielle (IA) transforme de nombreux secteurs, y compris l’éducation. Une récente expérience menée par Eric Klopfer, professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), a exploré comment l’IA influence l’apprentissage des programmeurs.

L'automne dernier, Eric Klopfer a décidé de mener une expérience dans son cours d'informatique de premier cycle au Massachusetts Institute of Technology (MIT). Il a divisé la classe en trois groupes et leur a donné une tâche de programmation à résoudre en langage Fortran, qu'aucun d'entre eux ne connaissait.

Chaque groupe avait accès à différents outils pour résoudre le problème :
  • Un groupe a été autorisé à utiliser ChatGPT pour résoudre le problème;
  • le deuxième groupe a été invité à utiliser le grand modèle linguistique (LLM) Code Llama de Meta ;
  • et le troisième groupe n'a pu utiliser que Google, sans assistance d’IA.

L’objectif était de comparer non seulement la rapidité avec laquelle chaque groupe pouvait résoudre le problème, mais aussi la qualité de leur compréhension et leur capacité à retenir les informations.


Les résultats

Les résultats ont montré que le groupe utilisant ChatGPT a résolu le problème le plus rapidement, suivi par le groupe utilisant Code Llama, et enfin le groupe utilisant Google, qui a mis encore plus de temps, car il a dû décomposer la tâche en plusieurs éléments.

Cependant, lorsque les étudiants ont été testés sur leur capacité à résoudre le problème de mémoire, les résultats ont été inversés : le groupe ChatGPT « ne s'est souvenu de rien et a échoué », se souvient Klopfer, professeur et directeur du programme de formation des enseignants Scheller du MIT et de The Education Arcade. En revanche, la moitié du groupe Code Llama a réussi le test. Le groupe qui a utilisé Google ? Tous les élèves ont réussi.

« Il s'agit d'une leçon éducative importante », a déclaré Klopfer. « Travailler dur et se battre est en fait une façon importante d'apprendre. Lorsqu'on vous donne une réponse, vous ne vous débattez pas et vous n'apprenez pas. Et lorsque le problème devient plus complexe, il est fastidieux de revenir au début d'un grand modèle de langage pour tenter de comprendre et l'intégrer. »
C'est le vrai problème que causera l'IA au niveau du métier de développeur. Le métier de développeur n'aura plus aucune saveur. Et petit à petit ce "savoir" se perdra. Tout simplement parce qu'il n'intêressera plus personne. Se "former" pour devenir un bon développeur, puis ensuite ne se servir de se savoir que rarement, et en fait surveiller la sortie de l'IA n'a aucun intêret.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
En revanche, la décomposition du problème en éléments permet d'utiliser un LLM pour travailler sur de petits aspects, au lieu d'essayer d'utiliser le modèle pour l'ensemble d'un projet, ajoute-t-il. « Ces compétences, qui consistent à décomposer le problème, sont essentielles à l'apprentissage ».
Généralement, c'est le "chef de produit" qui s'occupe soit bien de ce travail (car il a au départ une formation de développeur), soit mal (car il n'a pas eu au départ une formation de développeur). Mais actuellement, c'est le développeur qui implémente une partie d'un morceau du soucis, soit s'arrache les cheveux pour essayer de comprendre ce qu'essayé d'exprimer un "chef de projet" qui ne connait rien au métier de développeur.

Mais c'est déjà une "pratique" qui existe maintenant. Avant, il y avait un développeur qui s'occupait de tout le code. Puis les projet se sont complexifiés, pas forcément par nécessité, mais pour des raisons de "marketing" et "segmentation" de marché. Et le développeur ne s'occupe plus de l'ensemble du projet, ce qui est très néfaste pour son impliquation dans le projet. Avant, il créait quelque chose, et maintenant il doit construire des brique sans vue d'ensemble du projet, il ne sait plus s'approprier le projet, et c'est très frustrant. Et puis surtout, ça ne sert pas à grand chose.

Il n'y a pas si longtemps, une équipe de 3 personnes gérait un projet et sortait le produit en 1 ans. Maintenant, c'est 9 personnes qui s'occupe d'un projet, et le produit prend 3 ans a être au point.

C'est la triple peine, des équipes plus grosses, plus de communication, plus de réunions, et des gens démotivés car il savent plus se sentir responsable des bout de code qu'on leur donne à faire. Et celui qui est le mieux placé pour faire avancer le schilblick, c'est le développeur. Parce qu'on peut décrire ce qu'il y a à faire, (mais c'est souvent incompréhensible pour le développeur qui doit partir à la recherche d'information).

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Cet exemple a permis à Klopfer de conclure avec confiance que l'informatique n'est pas condamnée à l'heure où l'IA se fraye un chemin dans tous les secteurs d'activité. D'autres experts en informatique conviennent que plus l'IA sera utilisée, plus la nature des emplois changera, et qu'il faudra donc continuer à enseigner aux humains des concepts de base tels que les statistiques et la connaissance du fonctionnement des systèmes.
Vu de cette manière, ça retire tout l'intêret du métier.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
« Il faut toujours les bases pour être des informaticiens et des ingénieurs logiciels efficaces », a déclaré Beena Ammanath, responsable de l'IA digne de confiance et de la technologie éthique chez Deloitte.
Je le redit, ça n'intéressera plus personne, car ce ne sera plus valorisant pour la personne. Et permettez-moi de rire un bon coups quand j'entend de tel dénomination de fonction: responsable de l'IA digne de confiance et de la technologie éthique. Beaucoup de mots mais se qu'ils signifie reste plus que flou. Déjà parce qu'actuellement, il n'y a aucune IA digne de confiance, et j'aimerai qu'on me dise ce qu'est une technologie "éthique" ? La technologie est ce qu'elle est, c'est ce qu'on en fait qui est éthique ou pas.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Malgré toutes les craintes concernant les suppressions d'emplois dues à l'IA, une étude récente du Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory (CSAIL) du MIT a révélé que l'automatisation des emplois humains pourrait prendre plus de temps qu'on ne le pensait auparavant. Selon l'étude, seuls 23 % environ des salaires liés aux tâches de vision pourraient être remplacés de manière rentable par l'IA, ce qui indique que le déplacement des emplois dû à l'IA, en particulier dans le domaine de la vision par ordinateur, risque de se produire plus lentement qu'on ne l'avait envisagé au départ.
Bein oui, quand l'IA sera au point, et ne fera plus de bugs, oh pardon, on doit dire "hallucination" dans le jargon de l'IA.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Les résultats « suggèrent que nous devrions nous attendre à ce que les effets de l'automatisation de l'IA soient moins importants que les effets d'automatisation/destruction d'emplois déjà observés dans l'économie », indique l'étude. « Il n'est pas certain que l'ajout de l'automatisation par l'IA à ces effets existants augmentera de manière substantielle la destruction globale d'emplois. Bien qu'il soit probable que des emplois soient perdus, « nous pensons également qu'une fraction substantielle de l'automatisation des tâches par l'IA se produira dans des domaines où l'automatisation traditionnelle est en cours », observe l'étude du CSAIL.


Comment l'enseignement de l'informatique va évoluer pour aborder l'IA

L'accent mis sur l'intégration de l'IA dans la plupart des secteurs d'activité va également modifier la manière dont l'informatique sera enseignée, offrant des opportunités « tout à fait considérables », selon Risto Miikkulainen, professeur d'informatique à l'université du Texas à Austin et vice-président associé de l'intelligence évolutive chez Cognizant AI Labs.

Avec l'arrivée d'outils tels que le chatbot Copilot de Microsoft, par exemple, certains pourraient se demander pourquoi ils devraient se donner la peine d'apprendre à coder. Miikkulainen pense que les étudiants utilisent Copilot et d'autres chatbots principalement « comme un tuteur pour les devoirs de programmation » afin de suggérer des modifications.

« Tout d'un coup, l'enseignement de la programmation devient beaucoup plus vivant », explique Miikkulainen.

Reid Gordon Simmons, professeur de recherche à l'Institut de robotique de l'université Carnegie Mellon, ajoute que, de la même manière que les compilateurs traduisent le code source d'un langage de programmation en code machine, ce qui évite aux ingénieurs en informatique d'avoir à comprendre les assembleurs, « l'utilisation de l'IA et de la ML rendra de moins en moins nécessaire la compréhension des détails du codage ».

Cependant, il est toujours important d'apprendre aux gens à coder, tout simplement parce qu'une partie du travail d'informaticien consiste à comprendre les processus, a déclaré Simmons. « Mon analogie est d'enseigner l'arithmétique à des enfants de sept ans. Lorsque vous arrivez au collège, plus personne ne fait d'arithmétique à la main ; vous utilisez des calculatrices ».
Faudrait savoir, l'IA va tout pondre via un prompt du marketing ou bien il faudra toujours savoir développer ?

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Même si les calculatrices peuvent faire le travail à votre place, vous devez toujours comprendre les concepts, a-t-il ajouté. « De même, les informaticiens devront comprendre les principes fondamentaux de la programmation afin d'être efficaces dans leur travail, mais tout comme avec les calculatrices, ils n'auront pas à coder beaucoup ».
Et si on demandait à un physicien nucléaire de faire 10 ans d'étude pour connaitre le métier, puis qu'il ne peut que vérifier si l'IA ne se trompe pas ? On ira droit dans le mur, car petit à petit, on fera de plus en plus confiance à l'IA, et quand surviendra un problème à une centrale nucléaire que l'IA ne sait réssoudre, le gars dont on a mit les compétance en veilleuse pendant 20 ans, il ne va forcément bien réagir, ni rapidement, parce le savoir se sera perdu au fil du temps.

C'est finalement comme une tesla AutoPilot FSD qui conduit toute seule (enfin, l'année prochaine, comme c'est promis toutes les années), mais dont l e conducteur doit rester à l'éveil, pour "reprendre la main" en cas de soucis. Reprendre la main en cas de soucis prend plus de temps que si on est concentré sur la conduite au moment de prendre une décision.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
L'IA nécessite l'enseignement de disciplines ou d'aspects entièrement nouveaux de l'informatique, tels que l'IA responsable et la manière d'empêcher l'utilisation abusive de l'IA, a déclaré Miikkulainen. « Il y aura tellement de gens qui utiliseront [les systèmes d'IA] sans comprendre ce qu'il y a sous le capot ».
Ah oui bien sur, l'IA fera tout, mais si ça foire, ce sera pas à cause de l'IA, mais de son utilisateur. Et comment définir ce qu'est une utilisation abusive de l'IA ? Parce que ça m'étonnerait que la réponse soit la même en chine qu'usa on europe ou

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
De nouvelles filières universitaires apparaîtront également dans des domaines tels que la science des données, l'apprentissage automatique, l'expérience utilisateur et l'ingénierie mobile, ainsi que dans des branches spécifiques de l'IA, telles que l'IA générative, les LLM et la vision par ordinateur, a déclaré Ammanath de Deloitte. Cela permettra non seulement de préparer les étudiants aux emplois du futur proche et de les rendre plus commercialisables, mais aussi de maintenir la compétitivité des États-Unis par rapport aux autres pays dans la course mondiale à l'armement en matière d'IA.
Bein si c'est ça le futur, je suis bien content que je ne serait plus là pour le voir. Puisse qu'on parle d'éthique un peut plus haut, si on utilisait l'IA pour libérer l"homme de certaines tâches, et qu'on les laissent s'épanouir sur des choses qu'ils aiment vraiment ? Non, bien évidemment la course à la sacro-sainte "productivité" qui ne profite qu'a une élite bien installée, ce n'est pas l'idée, suis-je bête.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message


Les éducateurs face aux hallucinations des LLM : enseigner à être sceptique dans un monde de textes générés par l'IA

Les éducateurs sont prudents, compte tenu de la tendance à l'hallucination du LLM. « Nous devons apprendre aux étudiants à être sceptiques à l'égard des résultats et à s'approprier la vérification et la validation de ces derniers », explique Jeanna Matthews, professeur d'informatique à l'université Clarkson de Potsdam, dans l'État de New York. .

Il ajoute que l'IA générative « peut court-circuiter le processus d'apprentissage des étudiants qui s'y fient trop ». Chang reconnaît que cette dépendance excessive peut être un piège et conseille à ses camarades étudiants d'explorer eux-mêmes les solutions possibles aux problèmes afin de ne pas perdre cette pensée critique ou ce processus d'apprentissage efficace. « Nous devrions faire de l'IA un copilote - et non le pilote automatique - de l'apprentissage », déclare-t-il.

ChatGPT a impressionné le monde par la profondeur de ses connaissances et la fluidité de ses réponses, mais un problème a entravé son utilité : Il n'arrête pas d'halluciner. Oui, les grands modèles de langage (LLM) hallucinent, un concept popularisé par les chercheurs en IA de Google en 2018. Dans ce contexte, l'hallucination fait référence à des erreurs dans le texte généré qui sont sémantiquement ou syntaxiquement plausibles, mais qui sont en fait incorrectes ou absurdes. En bref, vous ne pouvez pas faire confiance à ce que la machine vous dit.

C'est pourquoi, même si le Codex d'OpenAI ou le Copilot de Github peuvent écrire du code, un programmeur expérimenté doit toujours examiner le résultat - l'approuver, le corriger ou le rejeter avant de le laisser se glisser dans une base de code où il pourrait faire des ravages. Les enseignants du secondaire apprennent la même chose. Un rapport de lecture ou un essai historique rédigé par ChatGPT peut être facile à lire, mais peut facilement contenir des « faits » erronés que l'élève était trop paresseux pour déceler.

Les hallucinations constituent un problème sérieux. Bill Gates a imaginé que ChatGPT ou d'autres modèles linguistiques de grande taille pourraient un jour fournir des conseils médicaux aux personnes qui n'ont pas accès à un médecin. Mais on ne peut pas se fier aux conseils d'une machine sujette aux hallucinations.
Mais que tout cela est beau. On va former des chirurgiens qui ne fera que 3 opérations dans leur vie ? Vous croyez vraiment que ça va intéresser quelqu'un ? Non, on jetera sur la personne dans une benne, et vive le soleil vert (les connaisseurs comprendront)

Conclusion

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
L’expérience de Klopfer au MIT offre des leçons précieuses pour l’intégration de l’IA dans l’éducation. Bien que l’IA puisse accélérer la résolution de problèmes, elle ne doit pas remplacer les méthodes d’apprentissage qui encouragent la compréhension et la rétention à long terme. Les éducateurs doivent trouver un équilibre pour tirer le meilleur parti des technologies avancées tout en assurant un apprentissage efficace et durable.

Quelles sont vos pensées sur l’utilisation de l’IA dans l’éducation ? Pensez-vous que les outils d’IA devraient être intégrés davantage dans les programmes scolaires, ou y a-t-il des risques à considérer ? Partagez vos opinions dans les commentaires ci-dessous !

Sources : MIT Scheller Teacher Education Program, Au-delà de l'exposition à l'IA : quelles sont les tâches qu'il est rentable d'automatiser grâce à la vision par ordinateur ?, ACM

Et vous ?

Quels sont, selon vous, les avantages et les inconvénients de l’utilisation de l’IA comme outil d’apprentissage pour les programmeurs ?
Pensez-vous que l’IA pourrait remplacer les méthodes d’enseignement traditionnelles, ou devrait-elle être utilisée en complément ? Pourquoi ?
Avez-vous déjà utilisé des outils d’IA pour apprendre à programmer ? Si oui, comment cela a-t-il influencé votre apprentissage ?
Comment les éducateurs peuvent-ils équilibrer l’utilisation de l’IA avec des méthodes d’apprentissage plus traditionnelles pour garantir une compréhension approfondie des concepts ?
Quels sont les risques potentiels de dépendre trop fortement de l’IA pour l’éducation, et comment pouvons-nous les atténuer ?
Pensez-vous que l’IA pourrait aider à personnaliser l’apprentissage en fonction des besoins individuels des étudiants ? Si oui, comment ?
Comment voyez-vous l’avenir de l’éducation en informatique avec l’intégration croissante de l’IA ?
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Il y a 2 possibilité. Soit l'IA remplace l'fomme et bienvenu dans le monde "d'Idiocratie", Soit l'IA telle que réveé par certains ne sera pas là avant des dizaine d'année si pas des milliers. Sans compter que tout se ressemblera, l'IA n'inventant rien.
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Avatar de Jules34
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 24/07/2024 à 11:47
J'ai dit 2 000 ans pour avoir un point de référence, l'idée que je voulais développer c'est que l'IA c'est juste un prolongement des golem en terre des juifs, la première métaphore de la religion du livre qui explique qu'on peut contrôler les humains avec des créations de l'esprit artificielle.

Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
Ok mais il faut vivre comme en 1600.
Oubliez les ordinateurs, les smartphones, les avions, les voitures, les climatisations, etc.

Le système finira par s'effondrer.
Ça veut dire que l'euro, le dollar, etc perdront la quasi intégralité de leurs valeurs.
Et ça va être comme en Allemagne en 1928.

Il y a une histoire de "great reset" et en gros vous allez perdre votre épargne, il va y avoir des pénuries, des épidémies, des famines, des guerres, etc.
À cause de la crise économique.
A l'échelle individuelle je pense que c'est la meilleure chose qui pourrait arriver. Et je pense que ça pourrait être beaucouuuuup moins catastrophique que ce qu'on veut bien nous en laisser penser. Sinon on va nous emmener de force dans un monde que je n'ai pas vraiment envie de cotoyé ni de près ni de loin.

bref ce n'est pas parce qu'un truc n'est jamais arrivé qu'il ne va jamais arriver
Bin si justement, et c'est pas une fois qu'on aura la chaine autour du cou, la puce dans le bras pardon, qu'il faudra se dire que c'était mieux avant.
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