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Seulement 58 % des salariés français déclarent avoir déjà utilisé l'IA au travail, tout en redoutant l'obsolescence de leur métiers, contre 66 à 73 % chez leurs voisins européens

Le , par Alex

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Seulement 58 % des salariés français déclarent avoir déjà utilisé l’IA au travail, tout en redoutant l’obsolescence de leur métiers, contre 66 à 73 % chez leurs voisins européens

Si les Français apparaissent moins enthousiastes que leurs voisins européens, ils sont surtout plus attentifs et vigilants sur les usages de l’IA en entreprise. En France, le mouvement est d’abord porté par les PME, plus mobilisées que les grandes entreprises. Les salariés français se distinguent par une forte exigence de sécurité, de fiabilité et de responsabilité dans l’adoption de l’IA.

L’intelligence artificielle gagne peu à peu les bureaux européens, faisant évoluer, à la fois, les pratiques professionnelles et les outils du quotidien. En France, Cegid, un leader européen des solutions de gestion cloud pour les professionnels des métiers de la finance (trésorerie, fiscalité, ERP), des ressources humaines (paie, gestion des talents), de l’Expertise Comptable, du Retail et de l’entrepreneuriat, a souhaité mesurer concrètement la place de cette technologie dans la vie des salariés. Pour cela, OpinionWay a interrogé des collaborateurs en France, en Espagne, au Portugal et en Allemagne afin d’analyser leurs usages, leurs freins et leurs perceptions. Les résultats mettent en évidence une véritable exception française : d’apparence plus réservés que leurs voisins européens, les salariés français se révèlent, en réalité, plus vigilants et plus exigeants quant aux conditions d’adoption de l’IA.

Une adoption sélective et responsable

58 % des salariés français déclarent avoir déjà utilisé l’IA au travail, contre 66 à 73 % chez leurs voisins européens. En apparence plus réservés, les Français se révèlent surtout plus attentifs aux conditions d’usage :

  • Des garanties de sécurité et de fiabilité : un salarié sur deux privilégie des IA intégrées aux outils métier ou internes, jugées plus sûres.
  • Une conscience écologique forte : plus d’un tiers des salariés savent que l’IA est plus énergivore qu’une recherche web, une vigilance particulièrement marquée chez les jeunes.
  • Une exigence d’utilité : au-delà de l’effet “wow” de la première vague, les Français attendent désormais des preuves tangibles d’impact sur la productivité et la performance.

« Face à l’IA, les Français ne sont pas attentistes, ils sont attentifs. Nous sortons de la “saison 1” de l’IA, faite d’expérimentations avec principalement des actions d’assistance, pour entrer dans la “saison 2” : celle des applications métier concrètes : l’IA assiste, alerte et agit sous le contrôle de l’utilisateur au service de son métier. C’est avec cette innovation utile que l’adoption se généralisera », explique Bruno Vaffier, Directeur Général de Cegid.


Les PME françaises en éclaireurs

Contrairement aux autres pays européens où les grandes entreprises mènent l’adoption, la France se distingue par le rôle moteur de ses PME :

  • 70 % de leurs salariés jugent leur entreprise mobilisée sur l’IA, contre 51 % en moyenne.
  • Dans les entreprises perçues comme mobilisées, l’usage bondit à 80 %, contre seulement 58 % au niveau national.

Cette dynamique illustre une réalité : l’IA n’est pas seulement une affaire de grands groupes. Sous la pression de la réglementation (facturation électronique, normes sectorielles) et de la concurrence, les PME françaises ont accéléré l’adoption de l’IA et se positionnent même à l’avant-garde.

« Les PME n’ont pas le luxe d’attendre. Leur capacité d’expérimentation et de décision rapide leur donne une longueur d’avance. Les grandes entreprises doivent repenser leur approche et redescendre au plus près du terrain pour embarquer tous les collaborateurs et réussir la transition », précise Bruno Vaffier.


Un enjeu culturel : l’IA comme levier de performance

La prudence française traduit aussi un rapport culturel particulier à la technologie :

  • Une attention aux impacts sur l’emploi : un salarié sur deux redoute l’obsolescence de certains métiers.
  • Un souci de souveraineté et de cadre réglementaire : la France et l’Europe affichent une réelle volonté d’encadrer l’IA. Cette ambition se concrétise à travers des dispositifs comme le RGPD ou l’AI Act, qui posent les bases d’une adoption durable et responsable. L’étude montre que ces cadres réglementaires, plébiscités par les Français, constituent un levier essentiel pour renforcer leur confiance et accélérer l’adoption de l’IA.



L’action de Cegid

Pour Cegid, cette exigence française n’est pas un frein, mais une condition de succès. Toute l’action de Cegid, qui se traduit dans le déploiement de Cegid Pulse, l’ensemble d’agents intelligents embarqués dans ses solutions, repose sur une conviction - l’IA ne deviendra un véritable levier de performance que si elle est légitimée, accompagnée et sécurisée :

  • Légitimée par une valeur business mesurable et responsable, en privilégiant des cas d’usage concrets et à fort impact sur le métier des clients ;
  • Accompagnée par le développement ciblé des compétences et l’adaptation des pratiques de travail ;
  • Sécurisée grâce à des garde-fous pragmatiques en matière de conformité et de confidentialité.

L’objectif est simple : aider les entreprises de toutes tailles à combiner la performance humaine et la puissance de l’IA pour élever le potentiel de leur activité, dans les conditions les plus sûres et les plus responsables.

Une position qui rappelle les propos du PDG d'Anthropic, Dario Amodei. Il a réitéré son avertissement selon lequel l'intelligence artificielle (IA) pourrait supprimer la moitié des emplois de bureau débutants au cours des cinq prochaines années. Amodei a déclaré que cette technologie était déjà très performante pour les tâches débutantes et qu'elle « s'améliorait rapidement ». Selon lui, les tâches répétitives mais variables dans les cabinets d'avocats, le conseil, l'administration et la finance pourraient bientôt être éliminées, les PDG cherchant à utiliser l'IA pour réduire les coûts.

A propos de Cegid

Cegid est un leader européen des solutions de gestion cloud pour les professionnels des métiers de la Finance (trésorerie, fiscalité, ERP), des Ressources Humaines (paie, gestion des talents), des secteurs de l’Expertise Comptable, du Retail et de l’entrepreneuriat. Avec un solide business model full cloud, Cegid s’engage dans la durée avec ses clients et accompagne la digitalisation des entreprises, de la TPE aux grands comptes, pour une expérience supérieure, distinctive et mémorable en France comme à l’international. Cegid combine une vision prospective et pragmatique des métiers, associée à sa forte capacité d’innovation, la maîtrise des nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle et une connaissance unique du réglementaire. Dans un monde en évolution rapide, Cegid ouvre les possibles et révèle toute la valeur des métiers de ses clients en leur apportant des solutions utiles et innovantes.

Source : Cegid

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Avatar de Anselme45
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 10/09/2025 à 16:03
Comme d'habitude, ce genre d'étude n'a pas la moindre crédibilité statistique... Elle sert simplement à son pseudo-auteur de faire parler de lui!

Par contre, je peux vous donner une statistique réelle qui ne souffre d'aucune contestation: Le 100% des français ayant réalisé une recherche google ont utilisé l'IA pour la bonne est simple raison que Google vous donne en premier maintenant les résultats de son IA...
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Avatar de gabi7756
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 10/09/2025 à 14:05
Quand je vois le support Cegid, je me demande si ca vaut le coup d'accorder du crédit à leur dires ...
A méditer
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