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La Deutsche Bank avertit que la bulle de l'IA est la seule chose qui maintient l'économie US à flot et que, lorsque cette bulle éclatera, la réalité sera bien plus dure que ce que tout le monde imagine

Le , par Anthony

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La Deutsche Bank avertit que la bulle de l'IA est la seule chose qui maintient l'économie américaine à flot et que, lorsque cette bulle éclatera, la réalité sera bien plus dure que ce que tout le monde imagine

La Deutsche Bank avertit que la dynamique actuelle de l'économie américaine est dangereusement liée à un cycle d'investissement dans l'intelligence artificielle (IA) en plein essor, qui pourrait ne pas être durable. Les analystes mettent en garde contre le fait que la forte augmentation des dépenses d'investissement, en particulier dans les centres de données d'IA, gonfle la croissance sans que cela ne s'accompagne de revenus durables. Les gains du marché étant fortement concentrés dans les valeurs technologiques, et les experts prévoyant une correction douloureuse, l'essor de l'IA pourrait déclencher un ralentissement économique brutal lorsque la bulle de l'IA éclatera.

Les préoccupations de la Deutsche Bank font écho aux avertissements précédemment lancés par d'éminents économistes. En juillet dernier, Torsten Slok, économiste en chef chez Apollo Global Management, affirmait que la bulle de l'IA à Wall Street était pire que la bulle Internet de 1999. Il a souligné que les dix principales actions liées à l'IA sont beaucoup plus éloignées de la réalité que ne l'étaient les géants de la technologie dans les années 1990, et que l'histoire est sur le point de se répéter.

Ces avertissements ont été renforcés par Sam Altman, le PDG d'OpenAI, qui a ouvertement admis qu'une bulle s'était formée autour de l'IA en raison de la surexcitation des investisseurs pour cette technologie. Dans une récente interview, il a comparé l'enthousiasme des investisseurs à celui qui régnait à l'époque des dotcoms, lorsque les valorisations des start-ups Internet avaient atteint des sommets avant de s'effondrer en 2000. Il a ajouté qu'il trouvait « insensé » que certaines start-ups spécialisées dans l'IA, composées de « trois personnes et d'une idée », reçoivent des financements à des valorisations aussi élevées.

Ainsi, les inquiétudes grandissent quant à la fragilité potentielle de l'« économie de l'IA », et les avertissements se multiplient quant au caractère non viable de sa trajectoire d'investissement actuelle. Les analystes financiers suggèrent que l'expansion rapide du secteur pourrait masquer des vulnérabilités économiques sous-jacentes, préparant le terrain pour un ralentissement important lorsque la bulle éclatera inévitablement.


L'avertissement sévère de la Deutsche Bank sur le boom de l'IA

Selon une récente note de recherche de la Deutsche Bank, l'essor actuel de l'IA agit comme un tampon essentiel, empêchant l'économie américaine de sombrer dans la récession. Cependant, cette croissance, alimentée principalement par des dépenses d'investissement massives, ne devrait pas se poursuivre indéfiniment.

George Saravelos, responsable mondial de la recherche sur les devises étrangères chez Deutsche Bank, a souligné que sans les dépenses substantielles consenties par les géants de la technologie dans de nouveaux centres de données d'IA, les États-Unis seraient probablement confrontés à un ralentissement économique cette année. Saravelos a déclaré que ces « machines IA » soutiennent actuellement l'économie américaine, mais qu'un tel modèle de croissance exige une augmentation perpétuelle des dépenses, ce qui n'est pas réaliste à long terme.

Nvidia, l'un des principaux fournisseurs d'accélérateurs IA puissants, a largement bénéficié de ces dépenses, qui ont probablement contribué pour une part importante à la récente croissance économique. Cependant, George Saravelos a mis en garde : « La mauvaise nouvelle, c'est que pour que le cycle technologique continue à contribuer à la croissance du PIB, les investissements en capital doivent rester exponentiels. Cela semble très improbable. »

L'illusion de la croissance : capital contre contribution

L'analyse de la Deutsche Bank révèle en outre qu'une part considérable de cette expansion économique est attribuable à la construction de nouvelles installations physiques par des travailleurs humains. En revanche, le secteur des technologies et des services liés à l'IA n'a pas encore apporté de contribution significative au produit intérieur brut (PIB). Cette distinction suggère qu'une grande partie des avantages économiques immédiats provient du développement des infrastructures traditionnelles plutôt que de l'innovation directe en matière d'IA.

L'institution financière a également averti que près de la moitié des gains enregistrés par l'indice S&P 500 ont été générés par les actions liées aux technologies. Torsten Sløk, d'Apollo Management, partage cet avis. Il a souligné que les investisseurs en actions sont « considérablement surexposés » aux investissements dans l'IA, ce qui indique un risque concentré au sein du marché.

Le déficit budgétaire imminent et l'exubérance irrationnelle

Malgré les dépenses d'investissement colossales, les analystes de Bain & Co. prévoient que l'IA ne générera probablement pas suffisamment de revenus pour soutenir ses initiatives de croissance actuelles. Ils estiment que d'ici 2030, la demande prévue en services d'IA nécessitera 2 000 milliards de dollars de revenus annuels, ce qui laissera un déficit mondial considérable de 800 milliards de dollars.

Les principaux acteurs continuent d'investir massivement dans ce secteur. Nvidia s'est récemment engagé à verser 100 milliards de dollars à OpenAI pour augmenter la capacité de calcul de l'IA, tandis qu'OpenAI prévoit de mettre en place un vaste réseau de nouveaux centres de données dédiés à l'IA. Ironiquement, le PDG d'OpenAI, Sam Altman, a publiquement reconnu que les investisseurs dans l'IA faisaient preuve d'un comportement irrationnel, laissant entendre que des pertes financières importantes étaient inévitables pour certains participants.

Les leaders du secteur mettent en garde contre une correction imminente

La question demeure : les dépenses d'investissement dans l'IA peuvent-elles poursuivre leur ascension fulgurante malgré des chiffres vertigineux et des prévisions de revenus qui semblent impossibles à atteindre ? Robin Li, PDG de Baidu, a récemment fait une prédiction sans appel : 99 % des entreprises dites « spécialisées dans l'IA » ne survivront pas à l'éclatement imminent de la bulle. Il a également souligné que les entreprises légitimes gaspillent actuellement des capitaux et des gains de productivité potentiels en tentant d'intégrer l'IA dans toutes les tâches possibles, parfois sans avantages stratégiques clairs.

Ces avertissements soulignent une préoccupation croissante parmi les experts financiers et les leaders du secteur : si l'IA promet un potentiel transformateur, la frénésie d'investissement actuelle pourrait créer une bulle économique non viable, dont l'éclatement éventuel pourrait avoir des conséquences graves et de grande ampleur.

Ces mises en garde soulignent par ailleurs que les risques vont bien au-delà de la simple surévaluation des cours boursiers. Selon les analystes, il n'existe pas une seule bulle de l'IA, mais trois dynamiques distinctes qui se chevauchent : la bulle spéculative classique, la bulle d'infrastructure correspondant aux investissements colossaux dans l'IA, et la bulle médiatique qui traduit les promesses irréalistes autour de cette technologie. Alors que les leaders du secteur se préparent discrètement à un ralentissement, l'économie dans son ensemble reste exposée.

Source : La Deutsche Bank

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?
Trouvez-vous les avertissements de la Deutsche Bank crédibles ou pertinents ?
Selon vous, l'engouement actuel pour l'IA est-il bénéfique ou néfaste sur le plan économique, à long terme ?

Voir aussi :

Dites adieu à la bulle de l'IA et préparez-vous au krach : plusieurs analystes soulignent les signes avant-coureurs de son éclatement imminent, Sam Altman lui-même le reconnait à demi-mot

L'éclatement de la bulle de l'IA pourrait anéantir les sociétés de capital-risque de la Silicon Valley et provoquer la chute des marchés publics, ainsi qu'un effondrement de l'économie dans son ensemble

« L'IA est en fait inutile et elle a créé une bulle "faire semblant jusqu'à ce que ça marche" qui pourrait se solder par un désastre », prévient un observateur chevronné des marchés

Goldman Sachs : l'IA ne pourra pas croître éternellement et un ralentissement pourrait coûter 20% au S&P 500, la banque alerte sur l'excès d'optimisme autour de l'IA, évoquant une désillusion financière massive
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Avatar de Fagus
Membre expert https://www.developpez.com
Le 29/09/2025 à 9:50
Citation Envoyé par OuftiBoy Voir le message
Ok, mais cela laisse plusieurs questions en suspend. C'est étrange qu'avant 1973, pas un seul pays européens n'avait de dette. On a su créer la sécurité sociale alors que nos pays étaient ruinés après 45, avant quel argent (puisqu'en 73, il n'y a avait pas de dette).

Ceux qui ont la plus grosse dette, sont les américains en fait, et de loin, les japonais sont à 250% du PIB de dette, mais c'est loin d'être un pays pauvre ou en développement... En Europe, si ont dépasse les 100%, c'est tragique, pourquoi ?
...
Sur le cas Français :
Financer un modèle redistributif (retraites..) était facile quand la pyramide des âges était dans l'autre sens.
La dette japonaise est essentiellement détenue par des Japonais. C'est un problème interne à leur pays mais il ne faut pas croire que ce n'est pas un problème : il sont en situation de stagflation et les économistes ignorent comment s'en sortir. De plus, à chaque fois qu'un haut politique annonce quelque chose qui déplait au marché, les taux fluctuent à la hausse. L'homme politique fait alors un contre communiqué en rigolant sur le fait que c'était un quiproquo et annule la mesure.
La dette française est essentiellement détenue par des étrangers, ce sont eux qui prennent peu à peu une influence décisionnelle.
La source de l'argent n'est pas virtuelle. C'est l'assurance vie, les fonds de pension étrangers (et non français à cause de la retraite redistributive), entre autres.
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Avatar de Anselme45
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 29/09/2025 à 10:55
QUOTE=OuftiBoy;12097389]Qu'importe, ce que je cherche a savoir, vus que "tous" les pays sont "endettés", qui sont ceux qui peuvent "prêter" ces milliards de milliards ? .[/QUOTE]

Il n'y a pas des pays qui prêtent à des pays endettés!!!

Les pays empruntent pour financer leur dettes sur le marché... Ce sont des investisseurs privés, des assurances, des fonds de pension, des banques. etc qui placent leur actifs sur des emprunts d'état pour faire fructifier leur argent...

Un emprunt d'état est plus sûr qu'une action en bourse, même s'il est arrivé que des pays fassent faillite comme la Russie ou l'Argentine
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Avatar de smarties
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 28/09/2025 à 14:31
J'avais vu il y a quelque temps des choses à ce sujet. Cette dette que nous avons à travers différents emprunts, et bien, la France rembourse les prêts contractés après 7-8 ans en contractant de nouveaux emprunts.
Donc même si la dette augmente car nous avons besoin de plus emprunter et bien les précédents emprunts sont remboursés à leur échéance.
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Avatar de OuftiBoy
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 28/09/2025 à 15:04


Citation Envoyé par smarties Voir le message
J'avais vu il y a quelque temps des choses à ce sujet. Cette dette que nous avons à travers différents emprunts, et bien, la France rembourse les prêts contractés après 7-8 ans en contractant de nouveaux emprunts.
Donc même si la dette augmente car nous avons besoin de plus emprunter et bien les précédents emprunts sont remboursés à leur échéance.
Ok, mais cela laisse plusieurs questions en suspend. C'est étrange qu'avant 1973, pas un seul pays européens n'avait de dette. On a su créer la sécurité sociale alors que nos pays étaient ruinés après 45, avant quel argent (puisqu'en 73, il n'y a avait pas de dette).

Ceux qui ont la plus grosse dette, sont les américains en fait, et de loin, les japonais sont à 250% du PIB de dette, mais c'est loin d'être un pays pauvre ou en développement... En Europe, si ont dépasse les 100%, c'est tragique, pourquoi ?

J'ai bien ma petite idée sur la réponse, mais je la garde pour moi...
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Avatar de Matthieu Vergne
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 28/09/2025 à 16:20
Citation Envoyé par OuftiBoy Voir le message
Ceux qui ont la plus grosse dette, sont les américains en fait, et de loin, les japonais sont à 250% du PIB de dette, mais c'est loin d'être un pays pauvre ou en développement... En Europe, si ont dépasse les 100%, c'est tragique, pourquoi ?
A moitié trollesque :
- parce que les américains se font mousser sur "qui a la plus grosse" (dette)
- parce que les japonais respectent la hiérarchie, donc suivent le grand frère américain mais sans le détrôner
- parce que les européens n'ont pas les moyens de rivaliser

Au delà de ça, ces comparatifs sont compliqués car ce sont des résultats multi-factoriels : géographie, géopolitique, culture, type de population, type de modèle social, etc.

Les temps changent, les BRICS sont en train de rebattre les cartes, et cela introduit des incertitudes qu'on n'avait pas avant. Les modèles d'antant sont donc mis à mal et il faut repenser tout ça. Mais c'est un jeu à info partielle où chacun essaye de tirer la couverture, les actions des uns influençant les actions des autres, et ou chacun prévoit les actions suivantes à sa manière... Un vrai bordel.
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Avatar de Artaeus
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 28/09/2025 à 17:03
Je penses qu'on peut se passer de l'analyse des banques qui ont ruiné l'Europe avec leur politiques ...
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Avatar de OuftiBoy
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 29/09/2025 à 11:08


Merci à tout ceux qui ont répondu à mes questions. Je prend note de vos réponses, sans tout comprendre (toujours pratiquement rien en fait) cependant à cette mécanique.

Bah, c'était justes des interrogations pour tenter de comprendre.
Mais on ne peut pas tout comprendre. Je vais donc "faire avec...".

Encore merci à ceux qui ont prit le temp de me répondre.

BàV et Peace & Love.
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Avatar de OuftiBoy
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 28/09/2025 à 14:05


Une phrase a retenu mon attention:

Saravelos a déclaré que ces « machines IA » soutiennent actuellement l'économie américaine, mais qu'un tel modèle de croissance exige une augmentation perpétuelle des dépenses, ce qui n'est pas réaliste à long terme.

Si je reprend la même phrase, mais en remplaçant juste quelques mots...

Saravelos a déclaré que ces « machines IA » "exploitation des ressources naturelles" soutiennent actuellement l'économie américaine, mais qu'un tel modèle de croissance exige une augmentation perpétuelle des dépenses de l'"exploitation des ressources naturelles", ce qui n'est pas réaliste à long terme.

N'avons nous pas la même problématique que pour le "capitalisme" non régulé ? C'est à dire qu'un système "capitaliste" (non régulé) n'est pas viable à long terme ?

Je ne pas "contre" le capitalisme, qui a un moment donné de l'histoire a été nécessaire pour faire évoluer nos sociétés, mais n'allons nous pas trop loin actuellement ? Tout comme à un moment donné de l'histoire, le "socialisme" a été nécessaire pour sortir la "majorité" des gens de la misère.

C'est peut-être un sujet qui n'a rien à voir, je ne suis pas un économiste, mais on nous bassine avec "la dette", que l'on finance (rien que pour le remboursement des intérêt de celle-ci) en "empruntant" sur les "marchés". Qu'est-ce qui se cache derrière ce mot "marché" ? Si la France a besoin de 300 milliards, qui "prête" cette somme ? Il y aurais donc une immense fortune détenue par "le marché" (des gens ? des familles ?), qui savent "sortir 300 milliards" du jour au lendemain ?

Tous les pays sont endettés. C'est donc des milliards de milliards dont ont parle. Qui (exactement) détient cette "dette", se serait facile à savoir puisque chaque année nous "remboursons" les fameux intérêts de cette dette. A qui remboursons-nous cette argent ? Où est sa destination finale de ces milliards ?

Autre petite réflexion, n'est-ce bien "pratique" de ne rembourser que les intérêts ? Cela est en somme une "rente" perpétuelle, non ? Ne devrions-nous pas faire une "pause drastique/rude/difficile" et rembourser la dette en elle-même ? Pour "repartir" ensuite sur une base plus saine ?

Ou alors, il n'y a en fait "personne" (au sens humain) qui détient cette "dette" ? Et ce serait alors juste un système de "turn-over" perpétuel ? Qui maîtrise ce "système", dans quel but ? Par "turn-over", je pense à un système ou A doit 300 milliards à B, B en doit 300 à C, et C en doit 300 à A. La boucle est bouclée, mais une "dette" passe de main en main et les "endettés" alimentent ce système, via le travail de sa population ?

On entend aussi dire souvent que tout ce "système" ne peut "tenir" que via la "confiance" qu'on veut bien lui donner. Un peut comme les banques qui ont l'aire, à ce que je peux comprendre, de n'être en fait que des "pyramides de ponzi" légales/autorisées ? Parce que les banques n'ont pas les liquidités pour rembourser tout ce qu'elles "possèdent" (elles ont environs 11% de liquidité). Si tout le monde veut reprendre son argent en même temps, c'est la faillite, l'épargne qui s'envole, et un grand "collapse" total, et les "garanties" de "l'état" ne seront d'aucuns secours.

La "dette" c'est de l'"usure" et l'"usure" n'était pas autorisée avant que l'on passe de l'argent "or" à l'"argent papier" et les reconnaissances de "dettes" apparues vers 1400/1500, avec le développement du commerce...

Encore une fois, je ne connais rien à tout cela, et je suis apolitique, car tout cela me dépasse et de très loin. Mais quelqu'un plus au fait que moi peut-il répondre à ces questions ?

Je suis peut-être Hors Sujet, mais comme on parle de bulle qui va éclater, je tente de mettre cela en // avec notre système monétaire tel qu'il me semble qu'il existe aujourd'hui.

BàV et Peace & Love.
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Avatar de OuftiBoy
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 28/09/2025 à 17:03
Matthieu,

Citation Envoyé par Matthieu Vergne Voir le message
A moitié trollesque :
- parce que les américains se font mousser sur "qui a la plus grosse" (dette)
- parce que les japonais respectent la hiérarchie, donc suivent le grand frère américain mais sans le détrôner
- parce que les européens n'ont pas les moyens de rivaliser
C'est un peu plus qu'a moitié trollesque

Citation Envoyé par Matthieu Vergne Voir le message
Au delà de ça, ces comparatifs sont compliqués car ce sont des résultats multi-factoriels : géographie, géopolitique, culture, type de population, type de modèle social, etc.

Les temps changent, les BRICS sont en train de rebattre les cartes, et cela introduit des incertitudes qu'on n'avait pas avant. Les modèles d'antant sont donc mis à mal et il faut repenser tout ça. Mais c'est un jeu à info partielle où chacun essaye de tirer la couverture, les actions des uns influençant les actions des autres, et ou chacun prévoit les actions suivantes à sa manière... Un vrai bordel.
Qu'importe, ce que je cherche a savoir, vus que "tous" les pays sont "endettés", qui sont ceux qui peuvent "prêter" ces milliards de milliards ? Soit c'est de l'argent réel, et on peut donc savoir qui donne combien à qui, soit c'est de l'argent "virtuelle" (comme la valorisation d'une entreprise "surcotée") et dans ce cas, on rembourse avec de l'argent "réel" de l'argent "virtuel", ce qui doit bien être intéressant pour quelques uns, car l'argent "réel" est le fruit d'un travail (en l'occurrence celui Mr et Md "tout le monde"), travail taxé et retaxé en plus, et le but est alors que 99% de la population soit au service d'1% (quelque soit le système).
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